Philippe Côté 1957 - 2011
Une des rues de Montréal portera ton nom.
Quand je t'ai vu la première fois il y a plus de 20 ans, tu m'apparaissais fou. Je n'entendais rien et je ne comprenais rien de ce que tu disais. Monsieur savait tout. Un savoir dont je ne distinguais pas la tête du pied. Je ne voulais plus te revoir. Dieu merci, ce vœux n'a pas été exaucé. Quand je t'ai revu pas très longtemps après, j'ai ressenti déjà à ton égard une irrésistible amitié. Il faut dire que j'ai fais...