Les Canadians et les Américains qui lisent le français, il y en a beaucoup plus qu’on pense, se rendent compte qu’il n’y a pas à intervenir au Québec pour bloquer l’accès
à la souveraineté et l’indépendance. Les Québécois n’ont pas besoin d’ennemis: ils sont eux-mêmes leurs pires ennemis. Donc, il n’y a qu’à leur laisser toute la corde dont ils
ont besoin pour se pendre et ils n’y manqueront pas.
Première erreur majeure: se battre pour des opinions et des idées.
Les opinions et les idées n’ont rien d’opératif. Elles ne se traduisent pas en Acte. Elles passent, disparaissent et sont remplacées par d’autres opinions et d’autres idées.
Il existe une différence majeure entre opinion, idée et certitude en ce sens que toute certitude est opérative et se traduit en Acte. Par exemple, est-ce que vous vous laissez opérer
par des gens qui ont des idées et des opinions sur votre maladie et la manière de procéder pour une opération, plutôt que des gens qui savent ce qu’ils font? De même pour la
construction de votre maison, l’entretien et la réparation de votre voiture, la gérance de vos finances, l’éducation des enfants.
Comment se fait-il que, dans les questions de grande envergure, comme l’économie politique, le développement durable et surtout le statut du Québec, “dans le sein ou en dehors du sein” du Canada(sic), les
opinions et les idées sont emportées par la surenchère au détriment de raisonnements exigeants et fondés sur des certitudes?
Toute certitude est existentielle et se rapporte aux faits de l’existence comme telle. Elle est relationnelle. Elle n’est pas rationnelle au sens cartésien du terme.
Qu’est-ce qui est fait et accompli au Québec? C’est le Québec lui-même, qui, sur papier, est province d’empire inféodée au gouvernement post-impérial d’Ottawa mais DANS LES FAITS, A ACQUIS LA STATURE
D’UN VÉRITABLE ÉTAT. Comme d’ailleurs plusieurs autres provinces et au moins 40 états américains qui tendent à se réclamer du statut d’État avec la majuscule, c’est-à-dire avec pleins pouvoirs.
Ce sont des certitudes vérifiables sur le terrain et dans les communications, ce qui dépasse les mots jetés sur les papiers officiels.
L’État est déjà offert au Québec par les circonstances actuelles et parce que, au terme de 400 ans de travail et d’investissement territorial, les Québécois ont construit les assises d’une Nation, laquelle
est déjà reconnue, et d’un État à reconnaitre. Ce ne sont ni des idées ni des opinions mais des faits accomplis et des certitudes qui attendent des reconnaissances de STATUTS.
Tout comme les STATUTS REFONDUS DE WESTMINSTER DE 1931 reconnaissent à Ottawa presque pleins pouvoirs d’État, ainsi LES STATUTS REFONDUS DE 2020 RECONNAITRONT LE QUÉBEC
ET PROBABLEMENT TOUTES LES AUTRES PROVINCES COMME AUTANT D’ÉTATS AVEC LA MAJUSCULE.
Ottawa devra abandonner ses prérogatives et devenir ce qu’est devenu le gouvernement de Kalmar en Scandinavie: un musée. Il restera aux habitants d’Ottawa de trouver une autre vocation
pour leur ville.
Ce ne sont pas des opinions mais des certitudes et voilà ce qui fait réellement peur aux enfants mais n’inquiète pas les adultes qui savent se préparer à de telles éventualités.
JRMS
Stériles querelles d'idées
Tribune libre 2011
René Marcel Sauvé217 articles
J. René Marcel Sauvé, géographe spécialisé en géopolitique et en polémologie, a fait ses études de base à l’institut de géographie de l’Université de Montréal. En même temps, il entreprit dans l’armée canadienne une carrière de 28 ans qui le conduisit en E...
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J. René Marcel Sauvé, géographe spécialisé en géopolitique et en polémologie, a fait ses études de base à l’institut de géographie de l’Université de Montréal. En même temps, il entreprit dans l’armée canadienne une carrière de 28 ans qui le conduisit en Europe, en Afrique occidentale et au Moyen-Orient. Poursuivant études et carrière, il s’inscrivit au département d’histoire de l’Université de Londres et fit des études au Collège Métropolitain de Saint-Albans. Il fréquenta aussi l’Université de Vienne et le Geschwitzer Scholl Institut Für Politische Wissenschaft à Munich. Il est l'auteur de [{Géopolitique et avenir du Québec et Québec, carrefour des empires}->http://www.quebeclibre.net/spip.php?article248].
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14 commentaires
Jean-François-le-Québécois Répondre
15 juin 2011@ Stepheinstein:
La fameuse Loi sur la clarté, de ce roquet prétentieux de Stéphane Dion, ne tiendrait pas devant une cour de niveau international. Cette odieuse «loi», est une création d'un professeur de sciences politiques biaisé et très présomptueux, qui compterait sur notre présumée ignorance du droit international, tel que reconnu par les Nations Unies.
La majorité, dans le cadre d'un exercice démocratique concernant le destin, et le droit à se gouverner lui-même, d'un peuple, c'est 50% des voix, plus une voix. Et cela n'appartient pas au gouvernement central d'une nation de rednecks comme le ROC, que de prétendre autre chose.
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011Vous marquez là un excellent point de vue dont j'aborde en partie dans mon dernier texte sans pourtant l'énoncer clairement, je m'en excuse.
Le savoir (l'information ponctuel), c'est notre responsabilité à tous. Et j'ose ajouter aussi allez dans des sphères dont nous ne sommes pas formés. S'il faut se fier uniquement aux 'spécialistes', ou s'y l'on veut aux 'bâtards de voltaires' de John Saul, il faudra obligatoirement donner raison à Stéphane Dion le politologue quand à sa 'loi sur la clarté référendaire'!
Une idée qui doit vous sembler tous nauséabonde autant que pour moi même si l'on n'est pas un 'spécialiste' comme lui!
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011Je ne voudrais pas paraitre un moraliste à 1 ¢, mais cette délibération à savoir pourquoi le Pq ne tient pas ce discours, ses problèmes de type philosophiques & identitaire, et ses aboutissants est à côté de la plaque des faits structurelles, culturelles et matérielles du Québec d'aujourd'hui (qu'on le veuille l'admettre ou non).
Le point initial de Mr. Sauvé a marqué dans son analyse ne peut être conclu par une simple volonté d'être affirmatif sur la volonté de clamer politiquement haut et fort 'souveraineté pour tous les québécois' et de l'exiger de nos élites!
Peut-être que les puissants confondent être et avoir, mais ils ont un atout fondamentale entre le mains: l'information sur l'état des chose au Québec. État des institutions démocratiques qu'ils exploitent, état des données matricielles sur les industries et leurs besoins, grilles de distributions et appareils de services divers pour vous tous. État de nos forces mais également de nos 'dépendances'! Créées et/ou amplifiées depuis l'échec de Meech? Surtout celui de l'après 30 octobre 1995? Ne pas y réfléchir, c'est de s'y condamner à une forme d'ignorance. l'élite le sait très bien, tout comme John James Charest.
On n'est pas membre de plusieurs conseils d'administrations seulement pour la paye(Les Affaires a déjà rapporté qu'en moyenne un gestionnaire québécois assiste à environ 150 conseil d'administration différents par année): on a accès a ces énoncés de contextes logistiques, statistiques et économiques. L'avoir et l'information sont très proche dans le politique et le capitalisme. C'est un triste constat mais pourtant elle est là n'en déplaise aux ferrures de philosophie (j'en suis un adepte).
Si personne ne se lève pour énoncer les raisons du désir d'indépendance à l'origine du fondement du PQ (en 70?), ses accomplissement et échecs lors des 2 premiers mandats de 76 à 85, les échecs du renouveau constitutionnel canadien et aboutissants, l'échec référendaire de 95 et la longue suite de déconstruction de certains de nos institutions et idées du Québec, comment peut-on faire naître le désir et énoncer clairement (sans distorsion ou mastication linguistique) un processus amenant à la souveraineté? Comment peut-on exiger cela aux dirigeants du PQ actuel sans pour autant l'exiger à nous-même?
Comme je l'ai écris précédemment, décrire l'état de notre délibération de notre société sur tout ses aspects (les gains et pertes, les mauvais coups lors des 2 derniers mandats du PQ) est quasi-obligatoire. C'est un fait psychologique et surtout sociologique. Lorsque l'on connais le constat de notre situation évolutive (ou dévolutive selon les aspects analysés), l'idée centrale, la planification et l’exécution de ce plan menant à la souveraineté s'imposera d'elle-même.
Non le contraire! Al Pacino en avocat John Milton dans le film L'AVOCAT DU DIABLE a aussi clamer à son fils Kevin ignorant son propre égoïsme et vanité 'I REST MY CASE'!
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011On est jamais aussi bien servi que par soi-même.
Pour savoir s'ils savent, il faut savoir sois-même. Le médecin a besoin d'un diagnostique et d'opinions.
On vois où nous mène la croyance au "savoir" des économistes par les médias ! Autrefois les hommes construisaient eux-mêmes leur maison et en étaient fiers.
Ma voisine répare elle-même sa voiture et si la job est trop compliquée elle sait tout de même ce que le mécanicien doit faire. Il ne peut la tromper.
Non, le savoir, c'est la responsabilité de tous.
C'est à ça qu'ils servent les médias. Nous présenter ceux auxquels il faut croire qu'ils savent et que nous devons suivre.
Les peuples n'embarquent plus.
Michel Laurence Répondre
15 juin 2011Vraiment, merci beaucoup monsieur Sauvé et comme dirait Shakespeare : "I rest my case".
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011Si le PQ ne tient pas ce discours, c'est parce qu'il ne le
connaît pas.
S'il ne le connaît pas, comme une vaste majorité des gens
d'aujourd'hui, c'est parce que ses membres ont appris
l'accessoire(l'avoir) au détriment de l'essentiel(L'Être).
Cette forme de raisonnement peut vous étonner mais je
vous étonnerai davantage en vous disant que je l'ai
apprise chez les Britanniques.
C'est en partie le To Be or not To Be de Shakespeare.
JRMS
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011Les puissants confondent avoir et être monsieur Tremblay.
Il est vrai d'une part, que par notre nature, nous ne
pouvons être sans avoir. Sauf que pour être, un minimum
d'avoir suffit. Trop d'avoir n'augmente pas l'être mais
le diminue.
Parce que l'existence étant relation en acte et en
puissance, l'avoir vient confirmer ou dégrader cette
relation.
Pour une collectivité, l'être, c'est-à-dire l'État,
comprend le territoire, l'histoire(le temps ou la période
formative), le savoir ( qui relie l'avoir et l'être), le
pouvoir, ce qui veut dire pouvoir d'agir en pleine
conscience de faits et de principes, en pleine liberté
en somme et le vouloir, qui signifie vouloir être
davantage par le moyen de relations plus étendues.
Les riches et puissants se privent au point de finir
par perdre tout sens de la relation. C'est ce qui arrive
lorsque l'avoir écrase l'être.
JRMS
Michel Laurence Répondre
15 juin 2011Merci M Sauvé,
Très intéresant.
Mais vous ne répondez toujours pas à ma question.
Pourquoi le PQ ne nous tient-il pas ce discours ? Est-ce un manque de confiance envers les Québécois ? Personne ne veut savoir si un autre référendum aura lieu ou pas, et si oui, on se fout de la date ; ce n’est pas ça qui importe. L’essentiel c’est la démarche et c’est précisément cela qu’on nous cache ou, pire, qu’on n’a pas encore élaboré. Et je ne veux pas qu’on me réponde de croire aveuglément au PQ, que c’est ce qu’il va faire. Si on attend des Québécois qu’ils agissent en adulte, il faut impérativement les traiter en adultes.
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011Si c'était vrai, M. Sauvé, les puissants ne mettraient pas autant d'importance et de moyens à posséder tous les médias.
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2011Parce que, monsieur Laurence, géopolitique et principes
de stratégie d'État sont une seule et même discipline
ontologique, c'est-à dire qui se rapporte à l'existence
comme telle et non aux idées pour les idées.
L'existence et l'Être sont ce qu'il y a de plus universel.
L'existence est relation en acte et en puissance et
l'Être est Relation en Acte pur. Chacun et chacune le
perçoit et le voit dans sa nature propre, peu importe
le temps et le lieu dans lesquels il ou elle vit et
évolue. Ce qui veut dire que l'existence et l'Être
sont è la fois infiniment multiples et infiniment
Une.
L'ontologie, connaissance de l'existence comme telle
et de l'Être, n'est pas une discipline d'idées mais
de faits. Dans l'existence, nous sommes tous FAITS.
Quant à l'Être, il EST sans être fait.
Le Multiple et l'Un, la Puissance et l'Acte, sont les
bases raisonnées de l'ontologie, fondement nécessaire
aux connaissances géopolitique et stratégique.
La connaissance de la géopolitique et des principes
qui gouvernent la genèse, le progrès et la stratégie
des États (ceux qui existent) se tient d'une seule
pièce dont le but est d'entrer de plein pied dans
l'existence telle que donnée et accordée et qui nous
conduit jusqu'à notre fin dernière et ultime: l'Être
qui Est. Appelez-le comme vous voudrez.
Cette discipline concrète, fondée sur le tangible et
l'intangible, est essentielle pour toute collectivité
qui veut se donner un État, afin d'agir d'un seul tenant
pour le plus grand bien de tous, ceux et celles qui
vivent l'État et ceux et celles avec qui ils entrent
en relation.
Car l'existence est relation en acte et en puissance.
Elle n'est ni idée ni théorie.
Bonne journée monsieur Laurence.
JRMS
Michel Laurence Répondre
15 juin 2011Merci M Sauvé, pour votre réponse à ma 2e question. Je pense comme vous en ce qui concerne Harper. C'est pourquoi je trouve très téméraires tous ceux qui se flattent la bedaine avec le fait que le Québec n'a jamais entériné la constitution canadienne; ils défient le sort. Plus ils l'écrivent, plus ça donnera l'idée à Harper d'organiser un vote sur le sujet au Québec et, vous savez quoi, dans les circonstances et celles à venir, je ne suis pas certain qu'il ne gagnerait pas.
Mais à la première question, vous répondez quoi. Pourquoi le PQ ne nous tient-il pas le même discours que vous ?
Encore merci.
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2011Monsieur Laurence,
J'ai écrit statuts refondus de 2020 comme simple
référence, sans idée préconçue.
Ces statuts peuvent être reconnus et refondus
lorsque tout le monde sera prêt et qu'il n'y aura
vraiment rien d'autre à faire. Vous n'êtes pas
obligé de me croire mais je crois voir chez
Harper une tendance dans ce sens,bien qu'il se
garde de le manifester par crainte des réactions
infantiles et colériques qu'il risque de subir.
JRMS
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2011Vous marquez un point saisissant et ciblez un problème existentielle que plusieurs québécois vivent lors de discussions cordiales avec leurs proches et amis.
Les idées, c'est comme la religion: celui qui peut véhiculer ses idées sans heurts commande la motivation vitale des gens et par conséquent leur obéissance.
Pourquoi personne ne peut dire les gains ET pertes (il y en a beaucoup malheureusement) que le Québec a vécu depuis les 40 dernières années? Pourquoi cette pudeur (ou cette honte tout dépendant de l'angle dont on regarde)? Peut-être que le réalisme de la situation québécoise dans son ensemble (institutions, économies sectoriels, mécanismes de cohésion social) est moins enviable que ce que les combats d'idées au PQ laissent paraître?! Personne n'ose regarder, se prononcer sur la mise en situation claire de notre nation et nous dire qu'il y a des pots cassés et des loups cachés dans le placard.
Dans le manufacturier et les services, on ne peut créer des idées (ou des procédés) sans analyses de causes à effets et conséquences, estimer le ratio coûts/bénéfices et, après approbation des équipes concernés, implémenter le plan sans distorsions de tâches de la part des décideurs et acteurs concernés.
Les réformes sociaux de Chavez au Venezuela, les gains commerciaux et financiers des grandes corporations de ce monde (je ne suis par corporatiste en affirmant ce fait), et même les fausses-guerres humanitaires des USA & OTAN pour des questions de géo-politiques ont des ratio préparations/exécutions plus enviable que tous ces grands 'penseurs' petits faiseurs dans le tragicomique PQ actuel et passé.
Le plus grand piège à mon avis que le PQ vit est le manque d'évaluation des gains/pertes lors des 21 dernières années (après-Meech). Quand on s'obstine à renier les mauvais coups des péquistes lors des 2 derniers mandats au gouvernement, on ne peut défendre une idée aussi louable que la souveraineté du Québec et continuer à utiliser le fait accompli de la gouvernance (sous le régime fédéral). John James Charest le sait (on ne peut commander une supériorité morale avec le seul susurrement du mot 'souveraineté' et être en même temps aussi bas dans les magouilles que celui-ci) et plusieurs Québécois en on une perception informe mais pourtant négative. Ils attendent encore un sauveur. Hier c'était Mario Dumont. Aujourd'hui c'est peut-être François Legault? Comme chez les danseuses, on ne montre pas ses meilleurs atouts en partant! On se laisse désirer et on ne dévoile rien aux adversaires d ce qui est fondamentales.
Un projet de société est comme un projet de vie, de carrière ou de famille. On regarde les gains/pertes, on analyse les besoins, on dresse un plan, on implémente le plan et on réactualise une fois de temps en temps pour corriger le tir.
On ne reste pas dans les idées et dans leurs multiples articulations, distillations et interprétations?!
Michel Laurence Répondre
14 juin 2011Sur l'essentiel, je suis d'accord avec vous. Mais deux questions me turlupinent.
1 - Pourquoi le PQ ne nous tient-il pas ce discours ? Est-ce un manque de confiance envers les Québécois ? Personne ne veut savoir si un autre référendum aura lieu ou pas, et si oui, on se fout de la date; ce n'est pas ça qui importe. L'essentiel c'est la démarche et c'est précisément cela qu'on nous cache ou, pire, qu'on n'a pas encore élaboré. Et je ne veux pas qu'on me réponde de croire aveuglément au PQ, que c'est ce qu'il va faire. Si on attend des Québécois qu'ils agissent en adulte, il faut impérativement les traiter en adultes.
2 - Vous parlez des « STATUTS REFONDUS DE 2020 ». Pourquoi 2020 ?
Merci de me répondre.