Les attentats de Paris du 13 novembre ont démontré que, même si l'Occident prend en grippe le président syrien Bachar el-Assad, en le qualifiant de "boucher sanglant", sa démission a été néanmoins reléguée au second plan.
Il semblerait que l'Occident commence à réaliser que l'armée de Bachar el-Assad est l'unique force capable de regagner les territoires occupés par les terroristes du groupe djihadiste Etat islamique, estime le rédacteur du journal Foreign Policy, Emile Simpson.
Les forces armées du président syrien n'avaient à ce jour pas pu parvenir à atteindre de bons résultats militaires car les pays occidentaux et les pays du golfe Persique soutenaient des combattants de toutes provenances aspirant à renverser le régime de Damas et à dérouter ses troupes, souligne le journaliste.
Cependant, l'Occident est en train de comprendre que la Syrie n'a d'autre alternative que Bachar el-Assad. Quel que soit le sort du président syrien en exercice, le renversement de son régime aboutirait à un chaos complet, conclut l'analyste.
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