En réponse à cet article : http://www.vigile.net/Plus-d-anglais
Bonjour Monsieur,
Hum, voilà qui fait beaucoup d'affirmations péremptoires et d'amalgames en peu de lignes.
Un commencement d'argumentation et de démonstration ne nuirait pas à votre crédibilité.
Prenons d'abord les baby-boomers. Comme vous probablement, j'en connais et en côtoie un nombre considérable. Eh bien, j'en rencontre rarement, sinon jamais, qui soient " amers envers les anglophones ". Des gens qui s'inquiètent de l'avenir du français, qui en déplorent le recul et le mauvais état, oui. Fâchés contre les anglos, non. Il faudrait que vous donniez quelques exemples de ce dont vous parlez. Du reste, quand on connaît la proverbiale " ouverture " canadienne à notre égard, est-ce qu'on peut se permettre un minimum d'exercice de notre sens critique ?
Quant à l'anglais et " l'ouverture sur le monde ", que vous confondez allègrement avec le commerce, pouvez-vous expliquer ce principe ?
Pensons un instant, disons, aux États-Uniens : Ils sont anglophones -- on pourrait difficilement l'être davantage -- et font beaucoup de commerce, c'est le moins que l'on puisse dire. Sont-ils plus " ouverts sur le monde " que nous, les Suédois, les Français ou les Grecs ? Je vous laisse le soin d'en juger. Du reste, si vous pensez que oui et voulez m'en faire la démonstration, bonne chance.
Si vous avez un tant soit peu voyagé, et ce, en dehors du cadre infiniment restreint des hôtels et circuits pour Américains et Canadiens et des zones qui leur sont limitrophes, vous aurez constaté que l'anglais vous est de peu de secours. Or, cela empêche-t-il de " s'ouvrir " aux autres ? Du reste, vous aurez vu, aussi, qu'on parle aussi le français, ailleurs dans le monde, et parfois mieux qu'au Québec...
Tout anglophile et anglophone que je suis, moi qui adore aussi l'espagnol et l'italien, notamment, j'ai fraternisé avec des gens d'autres pays qui ne baragouinaient guère plus que yes, no, et parfois goodbye, dans la langue à laquelle vous prêtez tant de vertus. J'ai rencontré leurs familles, j'ai vu leurs maisons, leur ville, j'ai vu comment ils s'organisent. Je me suis " ouvert sur eux " cent-mille fois plus que le plus anglo des anglos dans son lobby d'hôtel à quelques kilomètres de là.
Remarquez aussi que la France, que je cite puisqu'elle parle français, est la cinquième puissance du monde. Comparez son taux de maîtrise de l'anglais à celui du Québec. Faites le même exercice avec, disons, l'Allemagne ou le Japon... Bonne chance.
Enfin, je vous mets au défi de démontrer deux choses que vous avancez, que je me permets de qualifier gratuitement -- une fois n'est pas coutume -- comme grossières, sinon carrément grotesques : Le bannissement, rien de moins, de l'anglais au Québec, et le fait que la " culture anglophone " soit " si peu connue " ici. Là, franchement, bonne chance.
À quelques kilomètres des États-Unis, et sous tutelle canadienne, il faut s'attendre à ce qu'une certaine proportion de Québécois maîtrise l'anglais. Justement, cette proportion est plus élevée ici qu'à-peu-près partout dans le monde non-anglophone ( c'est-à-dire l'immense majeure partie de la planète ). À cet égard, d'ailleurs, le Québec est quelque chose comme trois fois plus bilingue que le Canada, et sept fois plus trilingue ( ces données sont à vérifier mais c'est de cet ordre-là ).
À l'heure où nos voisins du sud, anglophones il va sans dire, sont aux prises avec une crise économique cataclysmique, une culture générale vascillante et des niveaux de pauvreté dignes du tiers-monde, libre à vous de penser qu'il faut que le Québec parle encore plus anglais pour mieux se " développer ", comme vous dites.
Quant à moi, je postule plutôt que la force du Québec réside dans son talent, sa créativité, son esprit d'entreprise, et sa capacité d'assumer une culture et une identité qui lui sont propres. Quant à sa langue nationale, comme pour toutes les nations du monde, elle est un outil de cohésion et de rassemblement. Sauf qu'il y a plus : On parle ici d'une langue internationale prestigieuse, parmi les plus parlées du monde, pétrie de culture et d'histoire. En ce sens, il ne peut pas ne pas y avoir d'avantages, pour le Québec, à promouvoir et assumer pleinement le rôle unique qui lui revient de pôle francophone d'Amérique.
Merci de me lire,
N.P.
Plus d'anglais ?
Réponse à M. Patelli, publié en Une de Vigile
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10 commentaires
Archives de Vigile Répondre
16 décembre 2010La controversée présidente de l'Office de la langue française, France Boucher, a été mutée à la tête de la Régie du cinéma.
Mme Boucher quittera l'Office pour la Régie le 10 janvier. Elle sera remplacée par Louise Marchand, depuis 2007 membre et présidente de la Commission de l'équité salariale.
Source ; Antoine Robitaille,Le Devoir,17 décembre 2010
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14 décembre 2010La ministre de la Charte de la langue française,a dit,13/12/2010,que les francophones sont minoritaires dans l'île de Montréal.
Archives de Vigile Répondre
13 décembre 2010Les propagandistes canadians de British Concil confondent malicieusement le Globish avec l'anglais et ceci en dévalorisant le 600 millions d'êtres humains qui parlent français et les 600 universités du monde qui possèdent une facultée francophone.
Alain Raby Répondre
12 décembre 2010Avec la publication d'un tel éditorial, L'Oie Blanche devient une honte pour toute la région de Montmagny.
Alain Raby
Archives de Vigile Répondre
12 décembre 2010Anecdote: j'entre dans un magasin à Milan, Italie. J'ai vu quelque chose qui m'intéresse dans la vitrine que je ne retrouve pas sur les étalages. « Parla francese?», que je demande au patron. «No», dit-il. «Parla inglese?», que je redemande. «Non», dit-il encore. Et il ajoute (traduction en substances, parce que je parle pas italien, mais que j'y étais depuis un mois et que j'avais donc intégré pas mal de la langue de Garibaldi): «Pourquoi parlerais-je français, anglais ou allemand? Nous sommes ici en Italie et la langue d'ici est l'Italien. je suis Italien et c'est la langue de l'Italie que je parle».
Bravo fier Italien!
Archives de Vigile Répondre
12 décembre 2010Allez voir son Twitter:
http://twitter.com/#!/YannickPatelli
On dirait qu'il est débarqué à Montréal pour trouver des anglophones!!! C'est clair! Après quelques mois, on dirait que Patelli est déçu du Québec parce qu'on parle trop français, c'est plutôt ça. Patelli, si tu voulais que ça parle davantage anglais, pourquoi t'es venu t'installer au Québec? T'aurais pu aller t'installer à Ottawa. Toi qui se vantes d'être bon en anglais, t'aurais pas pu te trouver une job là-bas? Est-ce que tu comprends "job", c'est en anglais. Tu préfères que je dise du "taf" peut-être? Ou bien on ne voulais pas de ton accent français quand tu parles en anglais? Tu les aimes les anglos? Va vivre un an à Toronto et on s'en reparlera. C'est au Québec que t'arrivais, pas au Canada "putain"!
Et nous y voiciLoge desjardins Quelques hot dogs et le spectacle peut commencer
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Direction centre bell après le festival des maserati. Ferrari et autres sur crescentUn petit de la rue du sentier a paris
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Ca jase un peu dans toutes languesLa diversite du nouveau quebec dans tout2son expression
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Sur crescentLes terrasses L'ete avant On benirait presque les changements climatiques
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Le charme de mtl opere comme tjrs
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une vieille dame quebecoise de tres bonne humeur avec cette chaleur plombante
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à un fancais fort sympa qui nous souhaite de joyeuses Pâques
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Je passe la montagne de westmount a outremont je parle à un anglophone
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Ce soir les canadiens contre les sabres Eux vont parler anglais
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Arrivée au marché AtwaterPremier contact On me parle en francais Le monsieur est quebecois Point d'invasion a l'horizon
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Me voilà a mtl Premier contact pour plein d'essenceÇa parle fançais et arabe C'est exotique Pas d'anglophones à l'horizon
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j'irai aussi au marché Atwater voir si en même temps si les anglais continuent l'envahissement...
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Je quitte à Montreal à l'Instant pour un match des Canadiens ce soir...
Archives de Vigile Répondre
12 décembre 2010«Why global English may mean the end of English as a Foreign Language’?» se demande David Graddol dans un texte publié par le British Council.
Ça va passablement plus loin que les insignifiances du jeune homme, qui devrait lire avant de publier...
Voici la référence que je recommande à tous de consulter :
http://www.britishcouncil.org/learning-research-english-next.pdf
Archives de Vigile Répondre
12 décembre 20101) 90% des êtres humains ne parlent pas anglais et font le commerces en d'autres langues
2) il existe une seule langue internationale et c'est la langue nationale de chaque pays et plus de 95% des pays n'ont pas l'anglais comme langue nationale
3) Au Québec les parlant anglais c'est déjà près de 40% des Québecois et plus de 10% c'est non pas du bilinguisme mais de l'assimilation anglicisation, en plus d'être une fermeture sur le monde non anglosaxon .
4) Au Québec plus de 60% des médias offerts et permis par le CRTC sont unilingues anglais pour 8% d'anglophones, en France il n'y a pas de médias unilingues anglais
5) Au Québec toutes nos institutions nous détruisent en s'adressant en anglais aux étrangers donc aux immigrants, en France toute est unilingue français
ETC
Archives de Vigile Répondre
12 décembre 2010Je commente le texte de Patelli
Le débat sur le bilinguisme est dans le vent au Québec. On parle de cegep bilingue, de plus en plus de familles francophones souhaitent que leur progéniture aille à l’école anglaise pour qu’elle soit parfaitement bilingue et en adéquation aussi avec la culture anglophone, si peu connue au Québec.
Commentaire: De quelle culture anglophone? Quand notre langue maternelle est le français, on s'intéresse en premier lieu à la culture qui est en français. Ce n'est pas parce qu'un Québécois n'est pas parfaitement bilingue que ça fait de lui une personne fermée sur le monde. Il y a la France, la Belgique, la Suisse, les anciennes colonies africaines... Pas mal de culture à consommer! Je suis quadrilingue français-anglais-italien-suédois. L'anglais me sert pour espionner les anglos dans leurs blogues du ROC et faire des vidéos comme ceci http://ecoeurement.com/2010/12/12/the-albertan-clown-loves-quebec-girls/ Pour moi, l'anglais, c'est une langue "putasse". Pour apprendre une langue, de toute façon, ça se fait très rapidement lorsque l'on est en immersion totale. Pas besoin de faire son primaire, son secondaire et son Cégep en anglais pour ça. La seule chose que je changerais au Québec, c'est le doublage. Plutôt que de doubler les films, ce serait seulement des sous-titres. On ne double pas la musique, alors... Juste en faisans cela, le niveau d'anglais s'améliorerait grandement. Pas besoin de rien changer d'autre. Même en Suède, les Suédois ne peuvent pas aller à l'école publique en anglais car il n'y en a pas. Pourtant, il est vrai, ils sont très bon en anglais les Suédois. Mais cela est lié au fait que, à part pour les enfants de moins de six ans environ, il y a des sous-titres plutôt que du doublage. Et vraiment, il est vrai pourquoi doubler? J'ai vu des centaines de film de partout dans le monde avec des sous-titres, dans plusieurs langues. Le doublage pour moi c'est pour le télévisuel et le cinéma, je n'aime pas ça. On perd trop de l'essence du film. Donc, juste en cessant de faire du doublage, on règle améliore l'anglais, mais aussi l'italien, l'espagnol... En Suède, il y a des films en français chaque semaine à la télévision publique, mais aussi en d'autres langues, et c'est avec des sous-titres. Fin du commentaire
Seuls les parents québécois prêts à investir beaucoup d’argent peuvent se permettre de mener leurs enfants vers le bilinguisme, tant l’anglais est peu valorisé dans la société québécoise.
Commentaire: Je ne suis jamais allé à l'école en anglais. J'ai appris l'anglais en Angleterre en voyageant et en travaillant et mes parents n'ont pas payé mon voyage. Je viens de Victoriaville et il n'y a pas de Cégep en anglais. Fin du commentaire.
La nouvelle génération de Québécois ne veut rien savoir du sentiment d’amertume que tant de baby-boomers entretiennent envers les anglophones. Il est temps que les deux communautés se parlent.
Commentaire: Oui, en français, ce n'est pas compliqué.Moi je l'ai découvert la communauté anglophone à Montréal, et je m'ennuyais de l'Angleterre et de l'Écosse. Leur culture, c'est la culture américaine. La culture des anglos à Montréal, c'est de parler anglais dans une culture francophone. Les Canadiens anglais trouvent ça "so cool Montrealllllllllll because there is that French thing overthere". Autrement, ça se tient au centre-ville et ça joue au New Yorkais. Fin du commentaire.
La langue française n’en mourra pas pour autant. On ne peut pas vouloir une ouverture sur le monde et bannir la langue première des échanges commerciaux. Le combat pour défendre la langue française se fait ailleurs dans le cercle de la francophonie. Le Québec a plus à gagner à promouvoir la langue anglaise au sein de la province pour sa réussite dans son développement que de la bannir. Dans le monde, tant de gens rêvent de vivre à proximité du Canada et des États-Unis. Pour le premier, nous sommes dedans, pourquoi ne pas en profiter ?
Commentaire: Dans le monde, j'ai voyagé pas mal en Europe, et on s'en fout pas mal des États-unis. J'ai bel et bien rencontré des gens qui voulaient aller vivre au Canada, mais je les ai tous découragé. Mettons que je ne suis pas un très bon Ambassadeur pour le Canada :) Fin du commentaire
L’anglais est une force intrinsèque du Québec non exploitée dans le passé pour des raisons politiques. Les temps ont changé et il est temps que le Québec du futur (il faut dire "Québec de l'avenir", du "futur" est un emprunt à l'anglais") passe au bilinguisme voire au trilinguisme car même indépendant, s’il y parvient un jour, il sera confronté à la réalité de la mondialisation. Des échanges entre écoles anglophones et francophones dès le plus jeune âge pourraient-ils permettre une meilleure compréhension des deux communautés ?
Commentaire: les Québécois se débrouillent très bien en anglais. Pas aussi bien que les pays scandinaves et l'Allemagne puis la Hollande, mais du reste, il bat le reste des pays européens. Le Québec est déjà pour les entreprises où l'on a besoin de gens bilingues et trilingues LA PLACE en Amérique du Nord. Je le sais pour avoir travaillé à Montréal. Et je répète que de cesser le doublage des films, et de projeter davantage de films du reste du monde à la télé avec des sous-titres, ça aiderait pas mal pour améliorer l'anglais, mais aussi d'autres langues.Fin du commentaire.
Bien sûr certains vous serviront les arguments du recul du français même en France.
Commentaire: bla bla bla. On s'en fout à la limite de la France. Surtout quand c'est Sarkozy l'Américain à sa tête. Fin du commentaire.
Jean-François Lisée dans Québec 89 fait état de la présence des mots anglais en France. La France trouve ça « fashion » et « marketing ». Que pouvons-nous y faire si des entreprises de l’hexagone font de meilleures affaires en utilisant quelques mots de la langue de Shakespeare ?
Commentaire: J'ai plusieurs amis français. Ils aimeraient vraiment que les Français fassent comme les Québécois et se respectent un peu plus. Ils m'admirent quand je dis fin de semaine au lieu de Weekend et stationnement au lieu de parking. Et quand j'entends un Français dire "c'est trop pipole", "C'est top fashion", c'est d'un ridicule!!! Et je ne me gêne pas pour leur expliquer pourquoi ils ont l'air ridicule. Enfin, il suffit de regarder "Les Guignols de l'info" pour comprendre que bien des Français trouvent cette nouvelle "fashion" totalement ridicule. Fin du commentaire
Lisée a répertorié que la chaîne d’alimentation Champion devient Carrefour Market, son concurrent Auchan devient Simply Market, et le groupe Casino aussi dans l’alimentation lance Leader Price. La carte fidélité d’Air France s’appelle Flying Blue. Le nouveau slogan de Marseille est Marseille on the move… Les aéroports de Lyon ont voulu s’appeler Lyons Airports, là tout de même, un arrêt préfectoral a empêché la nouvelle dénomination. Le plus incroyable - même la conférence des évêques de France a lancé une campagne de publicité intitulée : « Jesus is my boss ».
Commentaire: Parce que les Français le font, pour vous, ça justifie de faire comme eux? Ce n'est pas un argument. S'ils ne se respectent pas, c'est leur problème. Et en passant, j'ai la carte "Flying Blue". Vous avez omis de préciser que cette carte est pour AirFrance et KLM. Donc, pas un gros problème, c'est vrai, ni hollandais ni français. Ils ont choisi l'anglais. Fin du commentaire.
J’ajouterai qu’une grande école de commerce de la Côte d’Azur donne maintenant tous ses cours en anglais, mais n’est-ce pas ça aussi comprendre le développement du monde pour s’adapter à la réalité du travail dans ce domaine ? Rassurez-vous, mes compatriotes achètent encore leur baguette en français, écoutent la télé en français, manifestent en français et s’engueulent en français !
Commentaire: Eh bien, moi mes amis français, s'ils vous lisaient (parce que vous dites "mes compatriotes", ça veut dire que vous êtes Français, non?) ils vous diraient d'aller vous faire foutre petit parisien à la con. Comme vous trouvez ça "cool" l'anglais, moi je vais le dire avec une insulte écossaise anglophone: your dad is a sheep shagger. Façon de dire que t'es un petit mouton. T'es vraiment super pipole cool nice" Patelli! Fin du commentaire.
Rhéal Mathieu Répondre
11 décembre 2010Je viens de répondre à cet inculte le texte suivant :
"Il est temps que les deux communautés se parlent." Oui, se parlent, et en français! C'est quoi cet aplatventrisme?
La langue première des échanges commerciaux, c'est le chinois. Vous ne le saviez pas. Sortez un peu de votre petite cabane au Canada !
"Les temps ont changé et il est temps que le Québec du futur passe au bilinguisme voire au trilinguisme car même indépendant, s'il y parvient un jour, il sera confronté à la réalité de la mondialisation."
Mais vous êtes vraiment déconnecté !! L'anglais ne permet de rejoindre que 13% de la population mondiale. Tandis que l'espagnol et le chinois, en plus du français que nous parlons déjà nous permettent de rejoindre 45% du monde entier.
Vous avez vraiment besoin de consulter, ceci :
http://populationsdumonde.com/classements/les-10-langues-les-plus-parlees-dans-le-monde/