Le bonhomme sept heures référendaire est revenu à titre de Premier Ministre du Québec et ce dernier n'a rien perdu de sa démagogie légendaire quand il se sent menacé.
Quatorze ans après le rendez-vous de 1995 la même cassette
ressort du placard.
Le P.Q. veut faire mal au Québec
Les pyromanes ont pris le contrôle du Parti Québécois
Pauline Marois a perdu le contrôle de son propre parti
Bravo à Jacques Parizeau qui a encore su dire une vérité que ses adversaires voient comme une opportunité pour repartir la cassette fédéraliste.
Pourtant la crise provoquée par l'échec du Lac Meech à laquelle le dilueur Jean Charest s'était frottée a donné la création du Bloc Québécois comme rapport de force indispensable au Québec.
Dans un autre ordre d'idée la présente crise financière oblige la communauté internationale à règlementer un système qui nous a littéralement plongé dans un gouffre financier à l'échelle planétaire.
Il n'y a rien de trop sorcier à dire que les crises peuvent provoquer des changement positifs tout comme de dire que la nécessité est mère de toutes les inventions.
Vaudrait mieux que Jean Charest s'efforce à avoir plus de classe et de rigueur intellectuelle dans l'argumentation de son idéologie fédéraliste. Les Québécois ne se laissent plus intimider par ce genre d'argumentaire démagogique.
Des incontournables référendums sectoriels pour faire avancer le Québec semblent être un médicament efficace contre la stratégie endormitoire fédéraliste de Jean Charest.
Là où ça fait mal!
et ne pas oublier aussi que pour Jean Charest
La vérité choque!
La démagogie à son meilleur
Bravo à Jacques Parizeau qui a encore su dire une vérité que ses adversaires voient comme une opportunité pour repartir la cassette fédéraliste
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
2 commentaires
Jacques Bergeron Répondre
13 juin 2009Merci monsieur Wilkins d'avoir écrit ce que des millions d'indépendantistes et de Québécoises et de Québécois croient et pensent.Bien sûr que le «Démagogue» (avec un «D» majuscule)et chef du PLQ et de notre gouvernement a profité de cette belle occasion de ne rien dire pour accentuer son assujettissement devant ses amis «fédéralistes» d'Ottawa, qui,avec son aide ont volé un pays aux Québécois en 1995, par leurs nombreux scandales et leurs plus nombreuses malversations qui ont permis à plus de «400,000» personnes de voter illégalement. Mais, lorsqu'on est John «ditJean» Charest on ne s'enfarge pas dans les fleurs du tapis pour accuser ses adversaires en utilisant tous les maux et les mots dont il souffre pour exprimer sa pensée, si pensée il peut y avoir chez cet individu.Pourtant, ce triste individu,prochainement «Siré par la reine d'Angleterre»,(si son parrain Paul Desmarais y met un peu de son influence, comme celle qu'il a exercée auprès de «Nicolas 1er», «ditSarkozy», aurait dû profiter de la sortie de ce «grand monsieur de la politique», Jacques Parizeau en l'occurrence, pour inviter Ottawa à répondre à ses exigences (s'il peut en avoir) et à celles du Québec , ce qui lui aurait,probablement, valu d'avoir la reconnaissance de son peuple et peut-être un peu d'admiration pour l'avoir défendu. En lieu et place, il a choisi d'attaquer, démagogiquement et bassement, Mme Marois par le biais de la déclaration de Jacques Parizeau, ce qui est du plus mauvais goût quant on a la petite stature politique et intellectuelle de John «ditJean» Charest. Il faut convenir que les «collaborateurs et les esclaves» ont souvent,sinon toujours, les mêmes comportements. Entretemps,on doit remercier Messieurs Landry et Michaud,et plusieurs autres citoyens du Québec, comme vous M. Wlikins, d'avoir appuyé M. Parizeau.Merci à ceux et celles qui ont su préserver notre honneur, par leurs propos justes et remplis de fierté et d'élégance.
Michel Guay Répondre
12 juin 2009Je le répète répète et répète il n'est pas question de référendum sectoriel mais il est question de se faire élire sur ces questions .