L'État doit prendre une position ferme

La charte des valeurs: outil de prévention des abus

Tribune libre


Le débat actuel sur la Charte des
valeurs québécoises montre à quel point la population tient à ses
valeurs et à son mode de vie. C'est là une saine prise de
conscience qui laisse entrevoir une Charte qui protégera nos acquis
et qui s'opposera vigoureusement aux forces de régression venues d'ailleurs qui nous
assaillent et auxquelles nous n'avons nullement à nous soumettre
sous aucun prétexte.
Plusieurs interrogations surgissent
dans l'évaluation du projet.
Évitons le marasme européen actuel.
Les Européens se sont laissés berner par le mirage du
multiculturalisme à forte composante tiersmondiste et le regrettent amèrement
lorsqu'ils constatent actuellement les ravages qu'il a causés chez
eux et dont ils ne pouvaient prévoir la portée au plan des dégâts
à la cohésion sociale et à l'identité de la nation qui est une source d'unité. Plusieurs pays comme la France, L'Angleterre, l'Allemagne
et les Pays-Bas ont reconnu leur erreur et condamnent ouvertement
cette idéologie inepte qui divise.
C'est pour éviter une telle
détérioration du tissu social que la Charte doit frapper haut et
fort et ne laisser rien passer qui serait à l'avantage de ceux qui
refusent toute intégration à nos façons de faire.

Actuellement, le projet québécois est
même inférieur à la loi française qui interdit certains voiles
sur la place publique. Que le gouvernement se tiennent droit et
impose l'interdiction de toutes les formes de voile, signes abjects
de l'infériorisation de la femme tel qu'imposé par de mauvaises
interprétations de préceptes religieux aux mains de mâles
dominateurs.

Gardons à l'esprit qu'il n'existe pas
de voile plus « léger » que d'autres. Ils sont tous à
rejeter dans toute société évoluée qui n'acceptera jamais qu'un
femme s'infériorise de la sorte, de son plein gré ou non. Et
lorsqu'elle prétend le faire sans pression extérieure, c'est qu'elle adopte le
langage fallacieux de l'endoctrinée au cerveau lavé.
Ce sont les signes ostentatoires étrangers qui doivent être enrayés, pas les nôtres bien entendu. C'est notre pays après tout, et l'arrivant doit respecter tous les éléments qui forment notre identité collective, et cela comprend tous les signes de notre tradition catholique. Personne ne doit nous forcer à cacher ou retirer des éléments de notre environnement quotidien qui ont traversé les âges et qui nous représentent.
La Charte sera l'outil de prévention
par excellence pour empêcher le lent glissement de nos règles de
vie commune vers celles imposées par des étrangers qui cherchent à
changer la société au profit de leurs objectifs rétrogrades. C'est
pourquoi il ne faut rien laisser passer. Autant qu'elle soit plus
forte que faible, plus ferme que molle.

Les droits collectifs de la nation dépasse en primauté les droits individuels en raison du bien supérieur de cette nation.

En se différenciant nettement des
préceptes canadiens discutables pour ne pas dire condamnables, notre propre Charte sera un élément supplémentaire
qui fera du Québec une société encore plus distincte et qui le
deviendra de plus en plus avec le temps, jusqu'à ce que
l'indépendance apparaisse aux yeux de tous comme une nécessité
logique et inévitable pour reconnaître et consacrer un état de choses aussi évident.
Le gouvernement ne doit pas reculer sur
la Charte, car c'est la société des Québécois qui ne doit pas
reculer.
Référence: Tir groupé européen contre le multiculturalisme: http://www.libertepolitique.com/Actualite/Le-fil/Tir-groupe-europeen-contre-le-multiculturalisme

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Réjean Labrie880 articles

  • 1 531 347

Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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5 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    8 janvier 2014

    Toutes ces manœuvres sont rendues possibles grâce à la collaboration des musulmans. Par leur silence, leur effacement et leur repli sur eux-mêmes, ils confirment que « cela fonctionne ainsi ».
    Je connais et je fréquente un bon nombre de musulmans. La politique ne les intéresse pas en tant que citoyens. La plupart sont incapables de nommer les acteurs politiques de la province. Ils ne connaissent aucun journaliste, ne lisent rien sur l'histoire du Québec, ne montrent aucune curiosité pour la culture, la littérature, la musique, la peinture, le cinéma... Ils éduquent leurs enfants dans leur langue et dans leur religion. J'ai aussi remarqué que les plus ouverts laissent leurs enfants se faire des amis non musulmans, mais jamais des amis québécois ou originaires d'Europe de l'ouest. Ce sont toujours des chinois, des africains, des vietnamiens, des roumains, des turcs. J'ai trouvé cela curieux, d'autant plus que ces gens là ne se concertent pas et ne se connaissent même pas.
    La plupart sont branchés (illégalement) à des chaines de télévision satellitaires moyen-orientales et ne subissent qu'un seul discours, celui des propagandistes islamistes anti-occidentaux et surtout antisémites. Ceux qui m'invitent me montrent fièrement les réseaux auxquels ils ont accès. Pour eux, il est clair que je suis des leurs, d'autant plus que je parle l'arabe et que je semble connaitre bien la culture islamique.
    Je suis convaincu que nos politiciens, nos élites intellectuelles et nos journalistes savent tout cela. Je suis aussi convaincu (mais je n'ai aucune preuve) que les politiciens qui négocient avec les élites islamistes ne reçoivent pas que des voix en retour. La plupart de ces chefs islamistes sont financés par des états musulmans riches et cela ne m’étonnerait pas que des subsides plus ou moins importants tombent dans les poches des collabos, ne serait-ce que sous une forme matérielle, non pécuniaire."
    Il est grand temps d'écouter les voix des ex-musulmans, car ceux-ci ne mentent pas. Ces ex-musulmans ont très peur, car ils savent qu'ils seront les premiers a avoir la gorge tranchée, pour leurs apostasies, et aussi parce qu'ils dévoilent les dogmes islamiques.
    http://unmondesansislam.wordpress.com/2012/08/25/il-est-temps-decouter-la-voix-des-ex-musulmans/

  • Archives de Vigile Répondre

    8 janvier 2014

    Je vous souhaite une bonne nouvelle année 2014, qui commence et surtout ne lâchez pas et continuez a faire de bons textes au sens patriotiques pour vos lecteurs.
    J'ai trouvé ce texte, écrit par un Kabyle qui vit ici au Québec depuis 20 ans, posté a Poste de Veille, qui l'a mis sur sa page Facebook.
    Les musulmans en général ne s'intéressent pas a nos démocraties occidentales, ni a notre histoire nationale, ni a connaitre différents politiciens. Ce sont leurs chefs religieux islamistes ou autres qui identifient des politiciens comme une personne qui apporteras différents avantages a leurs communautés, et ils s'assurent que ces politiciens n'entraveront pas la diffusion de l'islam dans notre nation, et en retour promettent les votes en bloc et financent grassement sa campagne électorale, avec de l’argent qui vient principalement des pays du Golfe.
    Le texte écrit par un Kabyle;
    "Il ne faut pas croire que nos politiciens sont des ignorants. Ils savent très bien qui est qui, qui fait quoi. En toute connaissance de cause, ils traitent avec les élites islamistes comme ils traiteraient avec des chefs de tribus importées. Nos politiciens pensent, à juste titre, que les musulmans au Québec constituent des tribus d'obédiences diverses (salafistes, Frères Musulmans, chiites de toutes origines, soufis,....) et qu'ils n'ont jamais connu le processus culturel d'individuation qui conduit à la citoyenneté.
    Les musulmans ne votent pas individuellement. Ils votent en formation groupée, selon leur obédience, selon les informations que leurs donnent leurs chefs. Ces chefs religieux et communautaristes sondent les politiciens pour savoir lequel d'entre eux est susceptible de donner plus de subventions, lequel est susceptible de ne pas dresser d'obstacles à l'expansion de l'islam au Québec, lequel est susceptible de collaborer à l'infiltration des institutions par des islamistes, etc..
    Dans ce qui est présenté comme des opérations de séduction de part et d'autre, se cachent en vérité des négociations. Nos politiciens négocient leur souveraineté et celle des citoyens parce qu'ils ne peuvent pas obtenir les voix des musulmans par l'exercice traditionnel de la politique. Dans ces négociations, ils sont épaulés, voire couverts, par des intellectuels, des journalistes, des artistes qui veillent à ce que personne ne les attaque frontalement. Ces anges gardiens constituent un cordon sécuritaire qui laisse une grande marge de manœuvre aussi bien aux chefs islamistes qu'aux politiciens en mal de voix communautaires.
    La suite....

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    5 janvier 2014

    "Ce sont les signes ostentatoires étrangers qui doivent être enrayés, pas les nôtres bien entendu. C’est notre pays après tout..."
    Très juste, monsieur Labrie. Sinon, l'exercice en question devient culturellement suicidaire!
    Les sociétés dont proviennent les femmes voilées, notamment, pourraient pour certaines être qualifiées de moyen-âgeuses, sur le plan social (et en matière de droit). Notre société québécoise, loin d'être parfaite, constitue cependant ce que notre peuple a réussi à créer pour lui-même, après de longues et nombreuses luttes. Allons-nous reculer, pour ne pas "froisser" des gens venus d'ailleurs, des communautés qui n'ont pas participé (ou sinon CONTRE nous) à ces luttes...?
    Oh, et à ceux qui voudraient me taxer d'extrémisme, d'intolérance, ou d'autres choses du genre, je vous réponds: vous ne comprenez simplement pas quels sont les enjeux, ni à qui vous affaire, quand on parle des forces en présence, dans ce débat...
    Un exemple? Dalida Awada, la militante voilée de Québec Solidaire présentée uniquement comme une "étudiante en sociologie" par Guy A. Lepage, à TLMP, l'automne dernier. La jeune femme en question, entretient en fait des liens étroits avec des organisations extrémistes financées à distance de l'Arabie Saoudite!

  • Archives de Vigile Répondre

    4 janvier 2014

    Un citoyen d'un pays étranger qui fait le choix de venir au Québec, fait le choix implicite de s'y adapter. Si après une période de temps raisonnable il ne parvient pas à s'adapter aux us et coutumes de la société qu'il a librement choisie, il a la responsabilité morale de retourner vivre dans son pays d'origine ou, demeurer ici, son pays d'adoption, sans demander ni s'attendre à aucun accommodement de la part de ce dernier. A lui d'assumer son choix.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 janvier 2014

    Wafa Sultan: 'Je n’ai aucun espoir à l’égard de l’islam'
    http://gloria.tv/?media=386418