- 'Richard Martineau est un chroniqueur exceptionnellement courageux qui doit composer avec des menaces graves, de l’intimidation sérieuse et des insultes immondes parce qu’il ose dire ce qu’il pense, et non pas répéter, le cerveau à OFF, les mantras de la gauche officielle.' - moi, 5 décembre 2016.
Je vais le dire, même si certains aimeraient mieux que je me taise, mais le ‘reportage’ de Radio-Canada sur Richard Martineau, soit disant créateur d’islamophobie, démontre l’existence, une fois encore, d’un biais idéologique marqué à la société d’État. Du très mauvais journalisme y côtoie de plus en plus souvent l’excellent travail des Sébastien Bovet, Jean-François Bélanger, Marie-Eve Bédard et Catherine Kovacs, pour ne nommer que ceux-là.
Comment fait-on pour transformer un minable mémoire de maîtrise vieux de deux ans rédigée par une étudiante en sociologie à l’UQAM dont personne n’a jamais entendu parler, en nouvelle d’intérêt public ?
Seule réponse possible: avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de mauvaise foi et un agenda personnel rempli de ceci: Jeudi 10h30: coup bas. Lundi 14h15: règlement de compte. Jeudi 18h: vacherie et ainsi de suite.
Je ne suis pas toujours d’accord avec mon confrère Martineau et lui, encore moins avec moi. Nous ne portons pas le même regard sur la religion. Pendant le débat sur la charte, nous nous sommes crêpés le chignon. C’était de bonne guerre et je ne lui en ai jamais voulu.
Que l’on soit d’accord ou non avec lui, Richard Martineau est une voix libre, une voix essentielle dans un univers médiatique qui tend à penser en choeur. Et puis, devinez-quoi, tout le monde ne souhaite pas s’informer à Radio-Canada !
Surtout quand la 'grande dame' du boulevard René-Lévesque se met à diffuser des fake news dont l'existence de cette thèse qui calomnie mon ami.
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