Il est démontré que l’austérité du gouvernement Couillard affecte plus particulièrement les femmes et creuse en ce sens les inégalités entre hommes et femmes. A titre de politicien pro- féministe, j’ai dévoilé la semaine dernière, en plus des mesures socio-économiques pour contrer l’austérité que j’ai déjà mis de l’avant, une série de mesures concrètes pour favoriser l’égalité homme-femme :
Des mesures politiques : Il n’est pas normal que les femmes représentent mois de 25% de nos députés alors qu’elles sont plus 50% dans notre population. C’est une question de démocratie et d’équité. À ce titre, je propose:
-* Un engagement de présenter un minimum de 40% de femmes lors des élections générales, et ce dans des comptés potentiellement gagnants, de sorte qu’il y ait un minimum de 40% de femmes nommées au Conseil des ministres.
-* Une bonification des programmes déjà existants en matière de recrutement, de socialisation et de formation des femmes qui désirent se lancer en politique.
-* Des mesures pour favoriser une meilleure conciliation travail-famille chez les élus en politique.
Des mesures sociales : Le gouvernement libéral actuel n’agit pas en matière de sexisme et de discrimination contre les femmes. Je propose donc :
-* La création de campagnes de sensibilisation pour contrer les propos sexistes et expliquer en quoi consiste la discrimination systémique dans notre société, afin de promouvoir l’égalité dans l’emploi.
-* Une meilleure mise en œuvre des lois sur l’équité salariale afin qu’elles s’appliquent réellement partout au Québec.
Des mesures familiales : Les lois actuelles n’incitent pas les pères à prendre un congé parental avec les enfants et sous-tendent par conséquent que les responsabilités familiales incombent principalement à la mère. C’est pourquoi je propose :
-* L’octroi de 5 semaines supplémentaires (à l’un ou l’autre des parents) de congé parental aux familles lorsque le congé parental a été divisé de manière égale entre le père et la mère.
-* Une perte de six semaines de congé parental lorsque le père ne prend pas un minimum de six semaines de congé parental seul avec l’enfant.
-* Un renforcement de l’obligation légale des employeurs de permettre un tel congé parental avec renversement du fardeau pour la preuve de discrimination ou de traitement injuste lié à la prise du congé parental par les parents.
Pour des explications sur mes engagements pour l’égalité homme-femme, visionnez la vidéo explicative.
Je suis fier d’être un politicien qui milite activement pour l’égalité homme-femme. À vous de faire de ma démarche une réalité en votant pour moi le 7 octobre.

Bonne réflexion,

Paul St-Pierre Plamondon