Revue Égards - Le numéro deux du club de retraités nommé Al-Qaeda s'est fait entendre, avant-hier, sur sa station de télévision préférée, entre un sketch de Dieudonné et une lecture publique en langue bédouine des œuvres complètes de M. Falardeau.
Après des jours et des jours de Grand Magic Circus pro-islamiste dans toutes les capitales « occidentales », qui n'ont plus d'occidentales que le nom, l'allocution du débile mental enturbanné était, en fait, à la fois ridicule (comme toujours), pathétique (pour ceux dont la compassion s'éveille à la vue d'un chamelier semi-illettré) et surtout parfaitement inutile.
En effet, en proclamant l'union de tous les combattants du Jihad pour refonder le « Califat » de l'Irak à l'Espagne, le bédouin cavernicole a semble-t-il raté un épisode de la récente évolution de ce qui fut un jour l'Europe, celle qui disparaît des radars de l'histoire au moment même de sa « constitution ».
L'abruti gauchiste nommé Zapatero, dont on me dit qu'il va devenir l'icône d'un prochain film basé sur son héroïque courage politique (plus ou moins produit par le clown Michael Moore), Zapatero disais-je, ou Patazero, comme on voudra, est d'ores et déjà, en effet, sur le point de satisfaire aux exigences coraniques des crétins talibans de toutes obédiences.
Lors d'une de ces dernières apparitions télévisées, ce Premier ministre d'une Espagne à jamais confite dans la culpabilité anti-franquiste s'est ostensiblement montré avec, autour du cou, cette espèce de torchon de cuisine à carreaux - nommé keffieh - que les assassins et les violeurs palestiniens portent ostensiblement, entre deux crimes, et deux spectacles de pleureuses à you-you professionnelles.
Notons le comique de la configuration géopolitique du Grand Djihad qui s'en vient : il sera plus difficile aux génocidaires coraniques de prendre le pouvoir dans certaines parties du Moyen-Orient que de subvertir en profondeur les institutions de la « République » ou de la « Commission » de Bruxelles dont le but désormais avoué est l'islamisation terminale du continent.
Au Québec, la situation est plus risible encore, cette micro-France jacobine plantée au milieu de l'Amérique est de fait l'avant-garde du mouvement nihiliste général qui a emporté mon pays dans la voie du social-chirakisme, autant dire de l'idéologie post-gauchiste qui, avec l'Islam, s'est trouvée une utopie de rechange, le slip marxiste n'étant plus tout à fait présentable passé le XXe siècle.
Les inénarrables sorties des sieurs Landry, Boisclair, Coderre, Duceppe et consorts doivent être lues à travers la double réfraction qu'entretiennent France et Québec depuis les origines, c'est à dire depuis leur DÉFAITE ontologiquement consommée, et amplement justifiée.
La France « pacifiste » des années 20 et 30 refusa, au nom des « principes de la vie humaine » de se battre contre Hitler. On sait ce que cela lui a coûté : sa disparition de l'Histoire.
Certes, pour un « pays » sans historicité autre que la mythologie trudeauiste, le pacifisme est devenu une seconde nature qui traverse absolument TOUS les champs politiques en présence.
Jusqu'aux Ahmanidejab du Plateau Mont-Royal, tel M. Falardeau, qui, entre deux locutions exprimées par l'anus, crache sur le cadavre d'un soldat onusien, parce que ce pauvre « crétin » était un Canadien de l'Ouest, autant dire un sale redneck. Rien de raciste dans cet aveuglant éclat de la pensée locale, je vous rassure, pour être racisse, au Québec, c'est comme en France, il faut s'en prendre à ceux qui veulent ouvertement votre destruction en tant qu'Européen.
La victime aurait été québécoise, elle aurait peut-être eu droit à une salve d'honneur des « Patriotes » qui au passage auraient probablement regretté que ce « Français » soit mort pour autre chose que Chicoutimi et les rédacteurs du Couac.
Ainsi, de toutes parts, les masques tombent, dans le fracas des civilisations suicidées.
Post-fascistes, post-gauchistes, post-libéraux, post-nationalistes, et tous véritables suppôts du Hezbollah, sont désormais rassemblés sous l'étendard du totalitarisme vert-brun-rouge, qui au final ne donne que cette vilaine couleur cacadoigt qui leur sied si bien au teint.
Falardeau préfère un marcheur du désert venu de Médine à un Indo-Européen Britton qui partage avec la France les racines mêmes de l'Europe : Rome, la Grèce, le christianisme, la civilisation celtique, la culture germanique. Que reste-t-il à ajouter sans s'esclaffer jusqu'à l'infarctus du myocarde ? L'épitaphe des nationaux-socialismes petits-bourgeois pourra servir de slogan aux prochains festivals Juste Pour Rire, jusqu'à la fin des temps.
La IVe guerre mondiale vient de commencer pour de bon, et il ne sera fait aucun quartier, surtout aux traîtres et aux collabos, c'est à dire tous ceux qui (comme en 1940 dans mon pays d'origine) amalgament sciemment le peuple libanais, qui vient de se débarrasser de la tutelle syrienne, avec les tueurs à gages du Hezbollah, comme la propagande vichyste pleurait chaque jour les méchants bombardements alliés qui frappaient la « Terre de France », occupée par les SS et les autres supplétifs du Mahomet du Tyrol.
Lorsque j'entends un bédouin local ou un abruti gauchiste oser comparer les merdaillons du Hezb à la RÉSISTANCE française, je comprends mieux le mot de la fin de M. Falardeau, dans ce qu'il convient de désigner comme sa fosse septique « écrite », nommée « blog » :
La France, monsieur le dhimmi, celle que vous conspuez, on ne sait trop pourquoi, n'existe plus depuis longtemps.
Le Frankistan, qui s'y est substitué, n'est rien d'autre que le modèle de votre Québec gaucho-pacifiste concentré sur une nation dont l'histoire a duré deux mille ans. Notre cadavre, plus gras, est plus lent à pourrir, et les vers abondent, accompagnés de l'odeur caractéristique de l'usine d'équarrissage. Le vôtre, anorexisé par 40 ans de Révolution Tranquille (TRÈS tranquille) s'évaporera bientôt comme une bulle spéculative quelconque, dans un projet d'indépendance qui vous enchaînera à une France morte, et à son islamisation qu'on ne peut même plus qualifier de « rampante ».
Lorsque vos villes seront envahies par les mêmes racailles que celles qui brûlent 200 voitures par jour en France à l'heure où je vous parle, lorsque des milices du Hezbollah seront, par voie légale (ah, cette Charte des Droits du Bédouin et des Libertés du Terroriste !), autorisées à patrouiller avec vos forces de police, comme c'est le cas en Belgique, lorsque vos écrivains (s'ils vous en reste) se feront assassiner dans la rue - comme aux Pays-bas -, lorsque vos femmes devront baisser les yeux au passage des gros bras mahométans et de leur marmaille - comme dans les Territoires Occupés de Seine Saint-Denis -, lorsque vos petits « zacquis sociaux » seront bien plus gravement menacés par la sous-pensée coranique que par les méchants catholiques « intégristes » que vous conspuez du haut de votre athéisme de cuisine, lorsque la Croix du Mont-Royal devra être retirée de la vue de ces braves musulmans Montréalais afin de ne pas « choquer leur sensibilité », lorsque Israël aura disparu, dans un vaste mouvement festif qui unira les raclures communistes, les crétins fascistoïdes pseudo-nationalistes, les libéraux capitulards bon teint, les « souverainistes » sans souverain et les post-gauchistes nourris à la pâtée pour clébard Noam Chomsky ou aux dessins animés de Michael Moore, vous serez alors absolument SEULS.
Restera probablement la forteresse américaine qui, je l'espère, vous abandonnera à votre sort, comme elle laissera le Titanic France sombrer corps et âme dans les eaux noires de l'oubli historique, précédé du grand carnage.
La Guerre qui a été initiée le 11 septembre 2001 n'a pas encore été comprise à sa juste mesure. C'est logique, le paradigme du XXe siècle a explosé sous nos yeux, et la « Guerre Froide » s'est transmutée en Armageddon.
Peu de temps après la seconde Guerre mondiale, le penseur allemand national-conservateur Ernst Nolte présentait cette analyse succincte, et définitive, de l'événement : La seconde guerre mondiale est la première guerre civile européenne.
Il convient donc de dire que la IVe guerre mondiale qui vient de commencer est la première GUERRE CIVILE MONDIALE. Ceux qui chialeront sur les dommages collatéraux feraient bien de se souvenir de Dresde et d'Hiroshima.
À tous les Landry, Duceppe, Falardeau, Durivage, Khadir, Coderre et consorts, c'est-à-dire à tous les PRO-NAZIS québécois qui soutiennent ouvertement le régime iranien, ou ses combattants illégaux, à la fois négationnistes et propageant l'apologie de l'Holocauste (en gros, pour leur deux neurones et demi : l'Holocauste n'a pas existé, mais c'était vachement bien), à toutes les Louise Arbour, les Carla Del Ponte, à toutes les Françoise David, à tous les nazillons gauchistes dont les nihilismes pitoyables convergent vers la soumission à l'Islam (un pléonasme si on connaît la signification du mot « A'slama »), il est temps, en toute tranquillité, d'expliquer qu'ils auront à attendre de nous le même genre de compassion qui animait les apprentis coiffeurs de 1945, quand furent tondues par milliers toutes les catins qui s'étaient enfilées du boche, autant dire les amis de M. Pierre Falardeau, pour qui les Québécois ont eu tort de se battre pour la France à cette époque.
Vers 1940, Falardeau aurait probablement rejoint les petits nazillons de M. Arcand, je ne sais pourquoi, en dépit de son acclimatation naturelle aux rigueurs arctiques, je l'imagine mal sur le Front russe, défendre ses idées contre les troupes d'élite sibériennes, on ne peut tout ne même pas demander à un révolutionnaire tranquille de se sacrifier pour des idées dont il ne fait qu'avaler et régurgiter l'urine.
On peut tout juste - et encore - le prévenir de se tenir prêt à l'acte de justice (un Méga-Nüremberg ?) qui le frappera un jour, lui et ses minables complices.
En attendant, bonnes vacances à tous. (...)
Bienvenue au Québeckistan
Par Maurice G. Dantec
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé