(QUÉBEC) Les larmes de la ministre de la Sécurité publique Lise Thériault n'ont pas ému l'opposition à l'Assemblée nationale, qui lui a reproché d'être restée les bras croisés devant des allégations d'agressions sexuelles et d'abus de pouvoir commis à l'endroit d'autochtones par des policiers de la Sûreté du Québec (SQ) à Val-d'Or.
Le Parti québécois et Québec solidaire s'expliquent mal que la ministre Thériault ait attendu à hier pour suspendre les huit policiers visés par une enquête interne de la SQ et à confier cette enquête au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
La députée solidaire Manon Massé rappelle que la ministre a été informée à la mi-mai du comportement allégué des agents de la SQ affectés au poste de la MRC de la Vallée-de-l'Or. Selon elle, Mme Thériault aurait dû agir sur-le-champ pour que les policiers en cause soient suspendus.
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