À l’évidence, si les femmes ne se promenaient pas dans la rue en Allemagne, en Suède, en Angleterre, en France ou en Europe en général, elles seraient protégées des attaques de jeunes migrants maghrébins «testostéronés», célibataires et contempteurs de la culture occidentale. Ainsi, il n’y aurait pas eu d’incidents à Cologne le 31 décembre au soir.
Et si ces femmes d’Occident cessaient d’afficher publiquement leur liberté, ne s’esclaffaient pas en public, ne se maquillaient pas outrageusement et ne soutenaient pas le regard désirant des hommes qui les croisent, elles risqueraient moins de se faire toucher l’entrejambe, déchirer leurs vêtements et arracher leurs sous-vêtements par ces hordes de jeunes gens à la recherche de chair blanche exotique.
Et si la mairesse de Cologne avait raison, elle qui est devenue la visionnaire d’une conception nouvelle des accommodements islamiques? C’est elle qui propose aux femmes de laisser une distance d’un bras allongé entre elles et les hommes lorsqu’elles circulent dans l’espace public. La mairesse a oublié cependant que dans les transports en commun bondés de gens, allonger le bras devient très compliqué. C’est aussi elle qui, s’inspirant des pratiques dans plusieurs pays musulmans, suggère aux femmes de se vêtir plus chastement.
Si les juifs religieux suivaient l’exemple de leurs coreligionnaires et évitaient de porter la kippa dans les rues de Marseille, de Paris ou de Montpellier, ils ne provoqueraient pas des djihadistes locaux qui les attaquent à l’arme blanche en criant «Allahou Akbar».
Faire profil bas
Dans l’esprit de trop de gens, souvent des personnes qui ne veulent pas de problèmes et qui persistent dans le déni de réalité, il faudrait faire profil bas, pratiquer la discrétion et, pourquoi pas, longer les murs.
Là où tous les tenants de l’apaisement se fourvoient, c’est en croyant que nous sommes les provocateurs et que ces barbares sont des pauvres, des humiliés et des discriminés. Cette «compréhension» de ceux qui nous méprisent est proprement intolérable.
À bien y réfléchir, si nous consentons à appliquer les accommodements islamiques, nous n’avons plus qu’à renoncer à ces deux valeurs essentielles de nos sociétés modernes, l’égalité des sexes et la laïcité.
Le défi de l’intégration
Le maire de Québec, monsieur Sans-Gêne, a déclaré il y a quelques semaines qu’il ne souhaitait pas voir débarquer dans sa ville des centaines de réfugiés, hommes jeunes et célibataires, du Moyen-Orient. Il a été traité d’islamophobe par plusieurs. Sa déclaration brutale et peu diplomatique n’en contient pas moins une vérité.
En effet, ce sont ces hommes, jeunes et sans attaches, issus de pays musulmans, qui ont sévi ces derniers temps en Allemagne et en Autriche.
Les réfugiés actuels qui débarquent chez nous sont en très grande majorité des familles syriennes chrétiennes et c’est le gouvernement Harper qui avait pris la décision de les accueillir au Canada.
L’immigration à venir sera musulmane en bonne partie. Espérons de tout cœur que ces réfugiés pratiqueront l’accommodement raisonnable québécois. Leur intégration est à ce prix.
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