Tous les articles dans Le Devoir (16193)

Sommet du G8

Le Parlement a été induit en erreur

Tony Clement a partagé la tarte entre les maires de sa circonscription


Les solutions mur-à-mur poursuivent parfois des buts inavoués... inavouables.

Enseigner le bilinguisme

Les élèves du secondaire se préparent à l'examen d'anglais langue seconde; les écoles primaires réfléchissent à la façon d'implanter l'anglais intensif


Crise au Parti québécois

Pauline Marois veut retrouver ses brebis égarées

Aussant et Lapointe participeront à un colloque sur la souveraineté en compagnie de Jacques Parizeau


Le quatrième larron

La chef péquiste a déclaré hier que les démissionnaires pourraient rentrer au bercail s’ils acceptent le programme adopté au congrès d’avril. Le problème est qu’ils ne croient pas plus au programme qu’à la chef. Et, contrairement à d’autres, ils ne veulent plus faire semblant.


«Il faut refaire le pari de la démocratie»

Génération d'idées veut remettre le sens du collectif au centre d'un Québec pragmatique et en mouvement


Legault se prépare à créer son propre parti

L'ex-ministre péquiste sera sur la ligne de départ même en cas d'élections automnales


Gros ego et gros colon...

Amphithéâtre: Marois admet son erreur

La guerre parlementaire est remise à l'automne, mais le PQ perd un autre député


Sondage Angus Reid

Charest reste le plus impopulaire au pays



Démissions au Parti québécois

Les règles du jeu



Les portes s'ouvrent, les voisins compatissent

La congrégation juive orthodoxe Gate David a fait visiter sa synagogue de la rue Hutchison, dont le projet d'agrandissement est controversé


Aussant part en suggérant à Marois de démissionner

Le député de Nicolet-Yamaska, n'a plus confiance en Pauline Marois


Afghanistan

Harper jouait double jeu en 2009

La poursuite d'une mission militaire après 2011 était déjà une option envisagée


Projet de loi sur l'amphithéâtre

Marois a péché par populisme, selon Belleval



L'ivresse du pouvoir

Il y a moins de deux mois, Pauline Marois obtenait un vote de confiance triomphal au congrès du PQ. Elle est aujourd'hui la chef discréditée d'un parti menacé de désintégration.


Ce n'est pas le "besoin" qui est en cause, madame 93%, c'est la manière cavalière de procéder - que cela vous échappe, c'est sidérant! Je ne voudrais pas d'un Québec indépendant géré de cette façon antidémocratique. - Vigile

Pauline Marois accepte les démissions de ses députés et ira de l’avant