Il faut arrêter la braderie
La précipitation avec laquelle le gouvernement Charest entend procéder tient de l’empressement de malfaiteurs
Ce texte est une merveille - l'esprit s'élève quand il saisit la profondeur des choses. Et les hommes libres se rassemblent autour d'un projet qui les grandit et qui fait appel à ce qu'il y a de meilleur en eux.
Il faut prêter l’oreille à ce qui se murmure. Nous finirons par nous étonner de nos propres voix. Ce jour-là, nous rentrerons enfin dans nos terres.
Souhaiter Harper majoritaire n’est pas souhaiter la politique du pire, c’est pratiquer la seule politique nationale utile au combat pour l’émancipation de notre peuple.
Une question nationale qui ne se résout pas finit par tout pourrir
Il faut passer aux actes. Partout, en tout lieu, chacun à sa manière, au plus loin de sa portée. Il faut se remettre en mouvement, en finir avec l’hébétude catatonique.
la question nationale ne pose plus exclusivement celle de la place du Québec dans le Canada mais aussi celle de la place des Québécois francophones au Québec
La position de la Ligue d'action nationale concernant la loi 103
« Il faut que les Québécois puissent travailler en français pour pouvoir un jour parler français. » G. Godin
Bigot Charest?
Pourquoi faut-il qu’à ces misères s’ajoute la dérision ? La pire épreuve du peuple fut de se sentir ou de se croire volé, affamé, par les siens, par les chefs de la colonie. Ici un personnage intervient, envahit la scène : François Bigot.
Quelqu’un quelque part doit bien commencer par se tenir droit dans la rupture.