Tous les articles dans L’Action nationale (152)

Il faut arrêter la braderie

Emparons-nous du Nord!

La précipitation avec laquelle le gouvernement Charest entend procéder tient de l’empressement de malfaiteurs


Revue L'Action nationale

Conjonctures 2011

Sommaire


Demain l’indépendance

Le fédéralisme rentable agonise, bienvenue à l’ère du fédéralisme instable


Ce texte est une merveille - l'esprit s'élève quand il saisit la profondeur des choses. Et les hommes libres se rassemblent autour d'un projet qui les grandit et qui fait appel à ce qu'il y a de meilleur en eux.

Une crise à bas bruit

Il faut prêter l’oreille à ce qui se murmure. Nous finirons par nous étonner de nos propres voix. Ce jour-là, nous rentrerons enfin dans nos terres.


Le coin de fer

Souhaiter Harper majoritaire n’est pas souhaiter la politique du pire, c’est pratiquer la seule politique nationale utile au combat pour l’émancipation de notre peuple.


Hommage à Jean-Marc Léger 1927-2011

Patriote québécois et pionnier de la Francophonie



Hommage à Jean-Marc Léger 1927-2011

Artisan de la grandeur



Carrières, dépendance et cohésion nationale

Une question nationale qui ne se résout pas finit par tout pourrir


La tragédie du CHUM

L'impuissance d'une élite aliénée



Ne plus rien souhaiter du tout

Il faut passer aux actes. Partout, en tout lieu, chacun à sa manière, au plus loin de sa portée. Il faut se remettre en mouvement, en finir avec l’hébétude catatonique.


Rappel

La médiocrité et le travail de sape

Il y a une logique dans la politique de la dépendance


Le conservatisme dans l’angle mort

la question nationale ne pose plus exclusivement celle de la place du Québec dans le Canada mais aussi celle de la place des Québécois francophones au Québec


La position de la Ligue d'action nationale concernant la loi 103

Rassemblement du 18 septembre 2010 réussi!

« Il faut que les Québécois puissent travailler en français pour pouvoir un jour parler français. » G. Godin


Bigot Charest?

Misères des derniers jours

Pourquoi faut-il qu’à ces misères s’ajoute la dérision ? La pire épreuve du peuple fut de se sentir ou de se croire volé, affamé, par les siens, par les chefs de la colonie. Ici un personnage intervient, envahit la scène : François Bigot.


Une affaire de posture



Se tenir droit dans la rupture

Quelqu’un quelque part doit bien commencer par se tenir droit dans la rupture.