Indépendance - le peuple québécois s'approche toujours davantage du but!

Une contribution à la stratégie de convergence



J’ai hésité avant d’écrire. J’aime le débat, la critique, la polémique. Mais je déteste quand on se campe sur ses positions, quand on jette l’anathème pour un oui ou pour un non. Il n’existe pas de vérité absolue en politique. Je n’aime pas les procès d’intention. Convainquons-nous mutuellement, dans la mesure du possible, plutôt que de multiplier les ruptures. Ma satisfaction intellectuelle se situe à ce niveau, pas ailleurs.

M. Daniel Sénéchal - Merci

Parizeau, le PQ et les autres

Pour un Programme commun de souveraineté


Merci infiniment aussi d’avoir déposé la transcription du discours du 6 juin 2009 de M. Parizeau. Ce discours est d’après moi non seulement plein d’enseignement, mais aussi, il est historique à plusieurs égards. Il l’est déjà pour avoir suscité une dérive médiatique provoquée par un titre du Devoir qui affiche tout le contraire de ce qu’a dit M. Parizeau. Mais il l’était déjà historique ce discours pour une tout autre raison, cette fois plus fondamentale et fondatrice.

Parizeau, le PQ et les autres



Il va sans dire que j’ai toujours éprouvé une grande admiration pour Jacques Parizeau. Je le considère comme étant le plus grand homme d’État que le Québec ait connu, éclipsant de loin tous les autres chefs politiques et premiers ministres québécois, tant par son érudition, que par sa curiosité insatiable et par sa volonté toujours imperturbable de faire du Québec un pays libre.

Stratégies de convergence

Programme commun de souveraineté


Un parti politique existe depuis près de 40 ans en vue de l’indépendance du Québec. Deux générations d’intellectuels structurés ont consacré le meilleur de leurs énergies pour établir le pourquoi de cette entreprise. Ils ont évalué les différentes stratégies pour y parvenir. Ils ont élaboré des programmes d’action et soumis au peuple le fruit de leurs cogitations diverses par voie électorale et référendaire à répéti...

Une rentrée par la porte des cuisines?



En attendant de voir venir, ne houspillons pas trop les belles-mères ou, comme les renomme Michel David, les éléphants du Parti québécois : ces temps-ci, ce sont les seuls péquistes qui semblent parler pour dire quelque chose. Monsieur David pourrait peut-être s’en inspirer, s’évitant ainsi de tomber dans les citations tronquées et la prattitude.

Mme Marois fait de son mieux



Mme Marois fait avec une armée qui marche et qui parade depuis longtemps. Elle fait de son mieux, elle suit, marche et parade. Peu importe le fignolage ultime du « Plan », s’il arrivait que la prochaine élection échappe au P.Q., si les libéraux, notre côté sombre, gagnaient une quatrième élection de suite*, ce serait une fin rapide de la carrière politique de Mme Marois. Cela est facilement prévisible, mais ne serai...

Plan Marois

Une démarche d'étirement de l'élastique fédéral

ce retour aux années 1950 à 1980 est un échec


La souveraineté du Québec est un concept à contenu variable. S'il fut de mise, à diverses périodes de l'histoire péquiste, d'associer ce terme à l'indépendance, il faut admettre que cela serait hasardeux aujourd'hui. À la lumière de la proposition péquiste actuelle, il est nécessaire, je crois, de faire un peu de sémantique; Alors que Bernard Landry avait entrepris d'aligner résolument sa terminologie su...

Souveraineté OU Indépendance?

Souveraineté ! Celle du peuple souverain du Québec


Indépendance OU Souveraineté ? Souveraineté Pourquoi ? Parce que l'indépendance est toujours partie d'un souverainisme étatique historique qui a assujetti le principe fondateur d'un État démocratique valide, légal et légitime sur la création de l'État souverain du Québec. Cet assujettissement doit cesser maintenant que l'imminence de cet avènement est perdue. Cette perte...

PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ

La balle est dans le camp des VIGILES souverainistes

Une réciproque OBLIGATION de RÉSULTATS, de la base au sommet !


La balle est dans le camp des VIGILES souverainistes. La balle est pour les prochains 18 mois dans le camps de toutes les composantes de la mouvance souverainiste. Par notre parole en ACTE ou notre silence de la démission, nous participons de gré ou de force, à un contrat ou nous signons toutes et toutes une clause d'obligati...

La crise de nerfs de Jean Charest - VÉRITÉ et MENSONGE

Le Devoir et ses ratés sympathiques

Robert Dutrisac et Michel David se justifient.


Robert Dutrisac et Michel David justifient les ratés du Devoir affirmant en une que Monsieur Jacques Parizeau aurait déclaré « il nous faut une crise politique » Le Devoir s'illustre... mais sur un mensonge. Robert Dutrisac dont l'article portant sur l'allocution de Jacques Parizeau du 6 juin dernier au Colloque IPSO était titré fallacieusement «

On gage-tu, pour le fun ?... Que le PQ va la faire, l’Indépendance ?

Il me semble que ça bouge, que ça bouillonne, que ça converge... que ça prend forme !


... que le PQ va la faire, l’Indépendance du Québec? Les perdants pourraient, dans un cas comme dans l’autre, verser le montant de leur gageure à Vigile qui, peu importe le résultat, en aura encore besoin; dans la négative pour poursuivre le combat, dans l’affirmative pour servir de terrain aux chicanes en règle à venir sur le pays lui-même. Si l'on est bien tels que l'on aime dire que nous...

L’impasse référendaire toujours d’actualité

L’urgent est de désembourber le peuple québécois du piège référendaire


Le peuple québécois peut s’affirmer sans devoir quémander un non qui sera entortillé pour paraître un quasi-presque oui. Il suffit qu’il ait l’opportunité d’agir autrement. L’élection décisionnelle le permet.

Tout est dans la manière

Après l'étapisme, le "rampisme"


On aura beau dire, la manière compte. C'est pourquoi j'ai toujours pensé que l'accession à l'indépendance ne pouvait et ne devait se faire n'importe comment. Pas au prix de perdre une autre fois son honneur, sa dignité. Car à ce prix, les québécois ne sortiront jamais de leur sentiment d'infériorité ni de leur complexe de vaincu. Pour réellement nous affranchir, l'indépendance doit succéder à un geste courageux de n...

Agissons !



Parizeau, le paratonnerre. Le toreador. Le détonateur. Cet homme est l'incarnation de la non-rectitude politique. Il dit parfois des choses qu'on ne veut pas entendre, ou dont on croit qu'elles ne devraient pas être dites. J'ai, à l'occasion, l'impression que ce qui décuple les réactions parfois hystériques à son propos, c'est le fait qu'il semble totalement exempt du sourd complexe d'infériorité que ...

Je dois porter le chapeau

il serait temps qu'on puisse en parler sans se faire traiter d'illuminé


Bonjour Monsieur Facal, [Je n'en doute pas, je suis un des illuminés dont vous parlez->20367]. Vous auriez pu aussi, j'imagine, évoquer le club très sélect des purs-et-durs, mais je vous reconnais le mérite d'être allé droit au but avec franchise, en utilisant un terme peu flatteur qu'on sous-entend souvent dans ces circonstances. Il est toujours désagréable, cela dit, de se voir accoler ce genre d'étiquette, et...

La démagogie à son meilleur

Bravo à Jacques Parizeau qui a encore su dire une vérité que ses adversaires voient comme une opportunité pour repartir la cassette fédéraliste


Le bonhomme sept heures référendaire est revenu à titre de Premier Ministre du Québec et ce dernier n'a rien perdu de sa démagogie légendaire quand il se sent menacé. Quatorze ans après le rendez-vous de 1995 la même cassette ressort du placard. Le P.Q. veut faire mal au Québec Les pyromanes ont pris le contrôle du Parti Québécois Pauline Marois a perdu le contrôle de son propre parti

Sortie de coma

Wake up wake up,continue,allez !


Des indépendantistes prévoient aujourd’hui se présenter demain devant l’électorat avec le programme d’enclencher, s’ils obtiennent une majorité parlementaire, une guérilla politique et constitutionnelle (surtout constitutionnelle) avec « le fédéral ». « Toujours plus pour les québécois », dit maintenant le P.Q. Ce n’est évidemment pas l’indépendance tout de suite après l’élection d’une majorité péquiste, mais ce...

La maladie infantile des Péquistes

Du bon usage de la crise

Ce qui manque désespérément à leur programme, ce sont des dossiers qui nous mèneraient au cœur du problème


UNE CIBLE DE SUBSTITUTION La réaction de Jean Charest à la remarque incidente de Jacques Parizeau à propos de l’idée de « crise » semble, au premier abord, une manifestation hystérique assez banale. Mais, en y regardant de plus près, on s’aperçoit qu’elle relève en fait de la compulsion de répétition ou « acting out ». Lors du débat des chefs en 2003, l’aspirant Premier ministre Charest avait, en effet, joué...

L’effet Parizeau

on ne peut guère leur reprocher de profiter de "l’effet Parizeau", ce sont toujours de grands moments de télévision qui nous changent de la mesquinerie de notre petit premier ministre !


Ce ne sont pas les Québécois qui sont cyniques, ce sont plutôt leurs chefs et leurs organisations qui se prêtent volontiers et sans rechigner au jeu des journalistes et de leurs patrons qui ne pensent qu’en terme d’argent et de cotes d’écoute, la qualité de l’information étant le dernier de leur souci. Toutefois, on ne peut guère leur reprocher de profiter de l’effet Parizeau, ce sont toujours de grands moments de télévision qui nous changent de la mesquinerie de notre petit premier ministre !

Sauver les meubles



Puisqu’il n’a pas été fondé dans ce but, le Parti québécois ne réalisera pas l’indépendance. C’est toutefois le Parti qui sert le mieux les intérêts du Québec à l’intérieur de la Fédération canadienne. Les indépendantistes ne doivent donc rien attendre de plus de lui. Ils doivent mener le combat en dehors de ses rangs, tout en le considérant comme leur meilleur allié.

Le Parti indépendantiste est là!



Dans cette conjoncture donc, la voie s'ouvre pour un parti qui sache rallier ces suffrages indépendantistes égarés ailleurs à cause de la démission péquiste, sans parler des nombreux abstentionnistes qui reprennent le goût de voter quand on leur offre vraiment l'indépendance au bout de l'élection. Le Parti indépendantiste est donc là pour rester.

Réponse à Nestor Turcotte, à Pierre Bouchard, à Marie-Mance Vallée, à Robert Laplante, à Mathieu Bock-Côté et à combien d’autres?

Le nationalisme québécois : 40 ans d’imposture !



Ce n’est un mystère pour personne : au Québec le nationalisme est en panne. En voyant depuis près de quinze ans les souverainistes incapables de trouver un projet ou une approche susceptible de les sortir de l’apathie, on doit admettre que le mal est profond. À dire vrai, le cœur ne semble plus y être du tout. Et même si les militants s’agitent encore le temps d’une élection ou d’une commémoration malheureuse, l’option souverainiste ne dépasse pas la barre des 40% d’appui populaire. À l’évidence, le nationalisme québécois ne suscite plus la passion.

Réponse à Nicole Hébert

L’indépendance est un projet révolutionnaire qui nécessite une action révolutionnaire



[Madame Hébert->19770] De retour au Québec d'où j'étais absente depuis le 3 mai, je viens de lire attentivement la lettre que vous m'écriviez, le 14 mai, et m'adressiez, via Vigile. Je vous envoie la mienne à la même adresse. Que répondre qui ne vous heurterait pas, surtout qui ne vous désenchanterait complètement du Parti québécois auquel vous accordez encore votre confiance? Je l'ignore.  Ne militant actuell...

Les inconditionnels du PQ



Encore ici, l'histoire récente nous montre que les libéraux sont tout-à-fait capables d'un nationalisme intra-fédéral rivalisant avec celui du PQ. Ils n'ont été vraiment supplantés à cet égard qu'à la glorieuse période de l'adoption de la loi 101. Pour le reste, en toute objectivité, on constate que ces deux formations donnent tour à tour, et souvent ensemble, dans un réflexe défensif qui témoigne plus du problème qu'il ne constitue la solution. Ça fait l'affaire, à l'occasion, pour sauver les meubles. Mais ça n'a rien à voir avec l'indépendance.

Et quelle table pour un Québec souverain ?



La barre est haute, très haute, peut-être trop. Mais si nous réussissons, tous les espoirs sont permis. Par contre, si nous échouons, nous serons les seuls responsables de notre échec et de notre déliquescence. La balle est dans notre camp.

Le Vermont dit "US go home !"



L’état du Vermont réclame son indépendance. C’est ce que révèle le Courrier international. Aujourd’hui, le mouvement séparatiste a le vent en poupe et a organi...