Financement des universités

Québec

Utile de regarder qui siège au CA des différentes universités

Les recteurs s'entredéchirent



Les universités sont profondément divisées sur la révision de leur formule de financement et sur la stratégie à adopter face au gouvernement Marois. Deux clans s'opposent: les universités à charte - Montréal et Laval, entre autres - et les neuf établissements du réseau de l'Université du Québec.

Québec

Les fruits murs du Sommet sur l'éducation

Les chantiers de Mme Marois



Un bon sommet. Oui, un bon sommet. Soigneusement préparé, organisé au quart de tour, avec des mesures de sécurité en béton, pires qu'à Kaboul. C'est pour dire.

Québec

Mission accomplie malgré la grogne de l'ASSÉ

Inflexible sur l'indexation, Québec plie sur les frais institutionnels obligatoires



Le gouvernement avait donné aux étudiants «la nuit pour réfléchir» à sa proposition d'indexer les droits de scolarité de 3% par année, qui correspond à la croissance du revenu familial. C'est une hausse de 70 $ par année.

Québec

Le carcan fédéral en éducation

Financement universitaire: ne pas occulter la responsabilité du gouvernement fédéral



Robert Lacroix n’a pas aimé mon livre. Il semble ne lui reconnaître aucun mérite. Et pourtant, dans sa réponse, il confirme l’essentiel de ce que j’avance. Je passe sur la caricature ad hominem dont il semble avoir besoin pour se conforter dans ses positions. Je préfère faire porter le débat sur le fond.

Québec

Plaidoyer pour la hausse des droits de scolarité

Réponse à Michel Seymour - La stratégie de l’autruche

Nous avons collectivement ouvert une ère du soupçon qui marquera, je le crains, le début du lent déclin de nos universités


Nous n’avons pas dédommagé les universités pour le manque à gagner créé par la réduction des transferts fédéraux aux provinces pour l’enseignement supérieur et nous avons laissé pourrir une situation qui, 15 ans plus tard, étrangle tout le réseau universitaire - et en particulier les universités de recherche, estime l’auteur.

Quand on se compare...

Financement des universités: 10 pays, 10 façons de faire



La gratuité scolaire, le gel, ou l'indexation des droits de scolarités... Le débat est lancé et sera au coeur du Sommet de l'éducation. Les fédérations étudiantes, le gouvernement, les recteurs ou l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) ont tous des visions différentes du financement de nos universités. Mais qu'en est-il ailleurs dans le monde? Voici une carte qui vous propose de comparer dix pays, mais aussi dix façons différentes de financer l'éducation postsecondaire.

Québec

«Le Québec tourne en rond dans sa servitude, et le fardeau de son inachèvement continue, telle une meule abrasive, de moudre chacune de ses espérances.»

Nous avons mieux à faire



Au moment d’écrire ces lignes, mi-février, un seul mot s’impose pour décrire l’état de l’opinion publique à la veille du Sommet sur l’enseignement supérieur : fatigue. « Qu’on en finisse ! » c’est à peu près ce qu’on peut entendre partout où la politique austéritaire fait ses ravages. Ce n’est pas l’élévation qui s’impose, mais bien le renoncement.

Québec

Le Sommet occulte le déséquilibre dans le financement des universités

Pourquoi évacuer du Sommet le déséquilibre linguistique du financement de l’enseignement supérieur?



Depuis maintenant près d’un an, le mouvement étudiant a amené la société québécoise à se livrer à un exercice de réflexion sur la question de l’accessibilité et du financement de l’enseignement supérieur, ainsi que sur le rôle que doivent jouer nos universités aujourd’hui, sur les plans économique, social et culturel. Bien qu’effleuré par les étudiants, et évacué jusqu’à présent du sommet sur l’enseignement supérieur, l’enjeu linguistique mérite qu’on lui accorde la plus grande importance.

Québec

McGill souhaite échapper aux compressions annoncées par le Québec Tiens, tiens...

McGill staff, students calling on PQ not to slash university funding



MONTREAL - Staff and students at McGill University are calling on the Parti Québecois government not to slash $248 million from universities’ funding over the next two fiscal years. “We call on the government of Quebec to reverse these dangerous cuts and we appeal to Quebec society as a whole to join together to protect and sustain the universities as a key resource for the future health and prosperity of our societ...

Québec

Le gouvernement Marois mesure ses appuis

Sommet sur l'enseignement: Québec ouvre un peu son jeu



Oui à la création d'un Conseil des universités, des scénarios d'indexation des droits de scolarité et une estimation du coût de la gratuité scolaire atteignant près de 1 milliard de dollars... Le gouvernement Marois ouvrira un peu son jeu, jeudi, lorsqu'il dévoilera le «cahier du participant» en vue du Sommet sur l'enseignement supérieur de lundi et mardi.

La question qui tue sur le sous-financement des universités

Le tabou



Les chiffres ne disent pas nécessairement tout, mais ils sont souvent éclairants. Si la proportion des étudiants qui fréquentent les universités francophones et anglophones était la même qu’au niveau primaire et secondaire, il y aurait 37 000 étudiants de plus que maintenant dans les universités francophones, qui bénéficieraient d’un financement supplémentaire d’un milliard.

Québec

Le jeu trouble de l'ASSÉ

L'ASSÉ allié objectif des Libéraux et de la CAQ??? Pas si simple



La conclusion serait-elle : Un « bon » professeur aujourd’hui, c’est quelqu’un qui est dispensé d’enseigner parce qu’il a obtenu tellement de subventions qu’il doit se consacrer à la recherche de ce qu’il a déjà trouvé et exposé, budget et bibliothèque à l’appui, dans son projet soumis à des chercheurs qu’il a lui-même évalués dans un concours précédent. Il y aurait beaucoup à dire sur le gaspillage éhonté de l’intelligence et des fonds publics dans les universités alors que les professeurs du collégial (sans parler de ceux du secondaire et du primaire) travaillent deux fois plus pour deux fois moins à la véritable formation des esprits, car il faut bien reconnaître que l’université ne prête qu’aux riches, ne développe que des esprits déjà formés, c’est-à-dire les déforme le plus souvent en les spécialisant. »

Québec

Une société doit savoir investir dans ce qui est susceptible de lui rapporter le plus à long terme

Sommet sur l’enseignement supérieur

Pour la gratuité scolaire en cinq ans

Un gel immédiat des droits de scolarité est la seule option recevable


Les porte-parole de Québec solidaire (dont Françoise David, ci-dessus) croient qu’une taxe sur le capital versé par les sociétés financières pourrait financer la gratuité scolaire d’ici cinq ans.

Québec

Pourquoi a-t-il tort ?

Gratuité scolaire :

Une mesure régressive



Dans le débat en marge du Sommet sur les universités, il y a un certain engouement en faveur de la gratuité universitaire en tant que mesure avant-gardiste qui favoriserait une plus grande justice dans l’accès à l’université. On pense que cette politique permettrait un meilleur transfert de la richesse des plus nantis vers les plus pauvres. Mais si on regarde attentivement, cela n’est pas évident du tout. Au contraire, on peut facilement soutenir que la gratuité universitaire est plutôt une politique qui aide les classes supérieures de revenus. En somme, c’est une mesure régressive.

Québec

On vous répète qu'il a raison

Jacques Parizeau en entrevue au Devoir



L’entrevue accordée au Devoir par l’ex premier ministre Jacques Parizeau et publiée le 12 février a suscité un vif intérêt. Pour nourrir la réflexion, nous livrons ici le compte-rendu complet de cet entretien portant sur l’enseignement supérieur.

Québec

M. Duchesne, il s'agit d'un enjeu de société, pas simplement d'un enjeu politique

Sommet sur l'enseignement supérieur - Éviter le précipice



Dans à peine plus d’une semaine s’ouvrira le Sommet sur l’enseignement supérieur. Pourtant, l’ordre du jour est encore imprécis et, surtout, les propositions du gouvernement Marois pour assurer le financement des universités demeurent aussi floues qu’incertaines. Le doute persiste sur sa capacité à en faire un succès.

Québec

Pas rassurant pour l'avenir de nos jeunes

Le sommet de la FEUQ

Que les recteurs se fassent une raison, c’est avec les étudiants que Duchesne doit s’entendre


En politique, tout se peut. Prenons François Legault et Amir Khadir : ils formaient un drôle de couple quand ils sont apparus sur la même tribune vendredi, copain-copain, pour dénoncer le projet de minicentrale de Val-Jalbert. Un même sentiment d’irréalité peut nous saisir quand on entend Françoise David et Gerry Sklavounos, l’abrasif critique libéral, employer à quelques minutes d’intervalle la même expression pour dénoncer le gouvernement Marois et le Sommet sur l’éducation supérieure : « Les dés sont pipés. »

Québec

Opposer l'accessibilité au savoir à la marchandisation du savoir

Lettre - Pour une gratuité scolaire engagée



À la veille du Sommet sur l’enseignement supérieur, je suggère au gouvernement du Québec d’ouvrir la porte à la gratuité scolaire engagée. Ainsi, en retour de la signature d’un contrat d’engagement social et communautaire, les étudiants obtiendraient la gratuité scolaire pendant leurs études, tout en s’engageant à aider les milieux les plus démunis de notre société.

Québec

Tout à fait

Un an après le printemps - Ce Sommet qui ressemble à une simple opération de relations publiques

En refusant la gratuité scolaire, le gouvernement Marois ferme volontairement les portes des universités à 27 000 personnes


En écartant à mots couverts la gratuité scolaire des scénarios envisageables, le ministre Duchesne écarte la position défendue par un très grand nombre d’étudiants et de citoyens lors du printemps dernier. La crédibilité de son Sommet en souffre d’autant, estime Gabriel Nadeau-Dubois.

Québec

Toujours cette fable du surendettement du Québec ! La vérité est que l'Ontario et les États-Unis s'endettent beaucoup plus rapidement que le Québec

Parizeau, l'université et les droits



Le Québec n'est plus dans les années 60. La fréquentation universitaire a explosé, mais pendant ce temps, le Québec est devenu surendetté. Chaque nouveau dollar à dépenser fait malheureusement l'objet de douloureux arbitrages. Les urgences débordent, les caisses de retraite publiques sont dans le rouge et les écoles publiques sont à la limite du tolérable.

La gratuité universitaire est non seulement possible mais socialement productive



Le débat sur le financement des universités fait rage et divise profondément la société québécoise. Depuis des années, dans une belle unanimité, le gouvernement libéral, le milieu des affaires et les dirigeants universitaires soutiennent que la hausse des frais de scolarité est une condition sine qua none pour assurer la compétitivité des universités québécoises et donner une formation de qualité aux étudiants. Ces h...

Québec

Et le pire, c'est qu'il a raison...

Universités - La gratuité est réaliste, dit Jacques Parizeau

L’obsession du déficit zéro empêche de réfléchir, croit l’ancien premier ministre


Les étudiants « ne sont pas hors norme, ils ne sont pas hors d’ordre. C’est ridicule de les envoyer paître », estime l’ancien premier ministre Jacques Parizeau.

Québec

Parce que toutes les options devraient être sur la table..

Sommet sur l'enseignement supérieur

La gratuité scolaire – place au débat



Il est de la responsabilité de notre gouvernement non seulement de veiller à tendre vers la gratuité scolaire, mais d’accorder à sa population le droit de débattre de cette question pleinement et librement sur la place publique. Parce que le principe de la gratuité scolaire n’est pas nouveau, il est enraciné dans la responsabilité d’État du Québec. Mettre sur pied de faux lieux de débats pour calmer les foudres ne saura qu’engourdir temporairement une fièvre vive, et ardente, qui ne saurait que resurgir, tôt ou tard.

Québec

C'est mal parti !

Enseignement supérieur: pas de consensus sans gel, dit la CSN



Jacques Létourneau trouve «décevant» que le ministre Pierre Duchesne rejette la gratuité scolaire «du revers de la main avant même que le Sommet commence». Selon lui, cette option doit être à l'ordre du jour.

Québec

Un point de vue complètement détaché de la réalité québécoise

McGill -

Sommet sur l’enseignement supérieur - «C’est une farce», dit la rectrice de McGill



Toutefois, elle refuse que l’on considère McGill comme une université à part des autres universités québécoises. « We are very Quebec », a-t-elle lancé, dans cet entretien mi-français, mi-anglais. « Nous ne voulons pas avoir les frais américains. C’est le seul pays au monde qui a des frais de 50 000 $ et plus et ça ne fonctionne pas ici », a-t-elle assuré.

Québec

Sur l'air de "L'Internationale"...

L’ASSE sera du Sommet sur l'enseignement supérieur, mais lance une «perche finale» au gouvernement

L'ASSE quittera le sommet si toutes les options envisagées impliquent une augmentation des droits de scolarité.


L'Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSE) donne une dernière chance au Sommet sur l'enseignement supérieur, tout en lançant un ultimatum au ministre Pierre Duchesne. Ils ont fait connaître leur décision lundi matin, lors d’une conférence de presse.

Québec

Toutes les options sont sur la table ??

Universités - C’est non à la gratuité

Québec rejette cette option vu la situation des finances publiques


L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE), qui prône la gratuité scolaire, a manifesté dimanche soir sa déception devant la position du ministre sur la gratuité. « C’est étrange », a dit son porte-parole, Jérémie Bédard-Wien. « Cela ne correspond pas à un véritable sommet. Il exclut le projet de société que nous défendons. »

«Impossible d’affirmer avec certitude à ce moment-ci que les sommes promises seront disponibles en temps et lieu.»

Financement des universités

Québec refuse de garantir 1,7 milliard aux universités



Québec — La première ministre Pauline Marois a refusé mardi de garantir le réinvestissement prévu de 1,7 milliard de dollars dans le budget des universités au cours des prochaines années.

Québec

L’audace a toujours bien servi les Québécois

La gratuité scolaire, un instrument de notre émancipation

Lettre ouverte à Madame Marois sur l'éducation

Ne mettez pas notre jeunesse à la merci des banques


Ne décevez pas notre jeunesse. Elle a été au cours de ce printemps 2012 d’une étonnante perspicacité. Vous avez vous même pris courageusement la rue avec elle. Tout à l’opposé de ce que Charest, comme vous l’avez habilement dit, qui n’osait pas se présenter en public sans sa cohorte de gardes du corps.

Les universités : front uni ou compétition féroce ?

Universités - À corriger!



«On l’a encore constaté vendredi : le débat sur les universités s’enfonce dans des guerres de chiffres qui donnent le tournis. Mieux vaudrait identifier les écueils du système actuel pour sortir du dialogue de sourds.»