Au ministre Jacques P. Dupuis
Pauline Marois a fait un arrêt à Mascouche hier avant de rentrer dans son comté de La Malbaie. Photo La Presse canadienne Yves Chartrand - À 24 heures d'un scrutin qui pourrait décider de son avenir politique, Pauline Marois s'est dite «estomaquée» que Jean Charest puisse croire que les souverainistes «vont voter pour Capitaine Canada». Se disant sereine et «tout à fait bien dans ma peau», la c...
Pourquoi faut-il absolument voter pour le Parti Québécois le 8 décembre?
Un sondage rendu public le 6 décembre par la Firme Angus Reid annonce une avance du PLQ sur le PQ de seulement 6 points. Ce sondage est un portrait de l'humeur des québécois telle qu'elle était les 4 et 5 décembre. Ces données sont donc plus récentes que les données de Léger Marketing et de CROP. La crise politique à Ottawa pourrait bénéficier au PQ.
Jean Charest a déclenché des élections dont personne ne voulait. Il n’a écouté personne. Cela présage de son comportement si le Parti libéral obtenait une majorité. Jean Charest a refusé, tout au long de la campagne, de dire la...
Jacques Parizeau, ex-premier ministre du Québec et ex-chef du Parti Québécois, vous adresse un message important à l'occasion des élections au Québec.
Invoquer la nécessité d'un gouvernement majoritaire pour mieux affronter la crise économique n'a pratiquement convaincu personne.
Les motifs de Jean Charest pour aller en élection ont été perçus par plusieurs comme aussi faux que ceux de Bush et Blair pour l'Irak ! Invoquer la nécessité d'un gouvernement majoritaire pour mieux affronter la crise économique n'a pratiquement convaincu personne. Les gens ont même réalisé que c'est quand Jean Charest est minoritaire qu'il est le moins néfaste. La gouvernance du Canada, qui comporte beauco...
Je reviendrai peut-être de temps à autre voir si le ton a changé. Sait-on jamais...
Je lisais tantôt certains propos suggérant qu’il fallait nourrir de la colère pour souhaiter l’indépendance. Et j’en suis. Je connais, comprends et assume la colère qui m’habite et qui m’anime devant ce que j’appellerais le cercle vicieux du Québec; devant l’absence de lucidité et, oui, de vigilance, d’une importante proportion des nôtres qui se mentent à eux-mêmes ou qui se leurrent ou qui s’aveuglent. J’éprouve de l’impatience et de la colère devant tant d’apathie; devant le temps que cela prend pour le réveil...
Jean Charest, chef du Parti libéral - Photothèque Le Soleil Les Québécois qui étaient tentés de bouder les élections provinciales par manque d'intérêt devraient tirer une leçon de ce qui se passe à Ottawa. Même s'ils ont été hésitants au départ, ils ne regrettent sûrement pas aujourd'hui d'avoir appuyé le Bloc québécois. En voyant l'arrogance des conservateurs, on devine les surprises qu'ils nous auraient rés...
Les Loco Locass. Archives La Presse *** Bernard Barbeau - Une pléiade d'artistes menés par Paul Piché se sont exprimés en faveur du Parti québécois (PQ) et de la souveraineté, vendredi après-midi, à quelques jours du scrutin. Mais, à tour de rôle, ils ont surtout exhorté les électeurs à «bloquer la route à Jean Charest». Ont pris ...
Robert Dutrisac - Saint-Jean-sur-Richelieu -- La chef du Parti québécois, Pauline Marois, s'est engagée à geler les tarifs d'Hydro-Québec le temps que l'économie québécoise reprenne de la vigueur. «C'est le plus mauvais moment pour augmenter quelque tarif que ce soit», a affirmé Pauline Marois au cours d'un point de presse qui a suivi sa participation à une émission radiophonique au FM 98,5. Augm...
Pauline Marois mise donc que ce qu’elle présente comme une agression de Stephen Harper contre le Québec fouettera suffisamment les Québécois pour qu’ils prennent même le risque d’exposer Jean Charest au même sort qui menace actuellement Harper.
Une véritable rencontre du troisième type est survenue hier dans la salle de rédaction du Journal. Pauline Marois s’appliquait à nous expliquer les vertus de l’adhésion du Bloc à la coalition pour faire tomber Harper quand le président de Quebecor, Pierre-Karl Péladeau, venu pour une réunion de travail au Journal, est entré à l’improviste pour la saluer. Et voilà la chef du Parti québécois qui en rajoute, voy...
PQ
Le retour du balancier souverainiste risque-t-il d’être profitable à la campagne de Mme Marois?
«La seule solution, c'est de sortir de là. Ce pays-là ne fonctionne pas et cette fédération nie la réalité du Québec, juge sévèrement Pauline Marois. «Les réactions dans le reste du Canada sont en train de faire la démonstration qu'on n'a pas beaucoup de respect pour le Québec et qu'on ne veut pas nous reconnaître réellement comme nation.»
«Plutôt que de s'occuper de notre économie, ils ont préféré satisfaire leur quête de pouvoir personnelle.»
Sainte-Julie et Valcourt -- Élevant d'un cran la vigueur de ses attaques, la chef du Parti québécois, Pauline Marois, a mis Stephen Harper et Jean Charest dans le même sac, hier, les présentant tous deux comme des chefs assoiffés de pouvoir qui affichent le même mépris pour le Québec. «Jean Charest et Stephen Harper, même combat», a lancé Pauline Marois devant quelques centaines de militants réunis en matinée à Sain...
En fait, les principaux partis, PQ, ADQ et PLQ, présentent trois saveurs de gouvernance subordonnée, les premiers privilégiant une forme ou une autre de nationalisme revendicateur -- mais sans rapport de force, si ce n'est l'hypothétique référendum péquiste --, le troisième préférant faire semblant qu'il est content, ce qui a l'avantage d'être moins fatigant.
Après 400 ans d’histoire en terre d’Amérique, 250 ans de domination anglo-canadienne et le référendum volé de 1995 par les magouilles d’Ottawa, il est temps pour nous, peuple québécois, de nous donner la liberté politique. C’est une question de fierté, d’honneur et de dignité. Déclarons notre indépendance! Il est anormal de laisser la nation étrangère anglo-canadienne nous imposer ses lois, décider à n...
PQ leader appears to be trying to get out the sovereignist vote
Surprise, surprise. Coming out of the leaders' debate, the R-word is making a special cameo appearance in the last stretch of the election campaign. Now that Pauline Marois is suggesting a referendum if a Parti Québécois government failed to repatriate all the budgets and powers on culture and communications, Jean Charest is warning voters of the instability that a "divisive constitutional crisis" would creat...
Une nouvelle campagne a commencé hier. Le débat a eu un effet dopant sur la confiance de Pauline Marois, qui a dit croire à un gouvernement majoritaire péquiste.
Robert Dutrisac, Guillaume Bourgault-Côté, Antoine Robitaille - Une nouvelle campagne a commencé hier. Le débat a eu un effet dopant sur la confiance de Pauline Marois, qui a dit croire à un gouvernement majoritaire péquiste. Jean Charest l'a attaquée deux fois en disant qu'elle avait les «mains liées» par son option souverainiste et qu'il fallait enlever ces «menottes» au Québec. Quant à Mario Dumont,...
Quand un chef de parti sent le besoin de remobiliser sa base, c'est le signe incontournable qu'une campagne va mal.
Mais la récente sortie de Mme Marois lui revient maintenant dans la figure. M. Charest peut bien accuser Mme Marois de fomenter «une crise constitutionnelle» en réclamant la souveraineté culturelle, il reste que la chef péquiste ne fait que reprendre la revendication que lui-même adressait à M. Harper il y a quelques semaines à peine.
Le Parti indépendantiste, dirigé par Éric Tremblay (au centre), a été fondé le 3 février 2008. La formation revendique environ 1000 membres, dont une trentaine dans Taschereau. Photothèque Le Soleil Jean-François Cliche - (Québec) Le Parti québécois n'a jamais eu autant de compagnie. Depuis quelques années, le mouvement souverainiste accou...
(Québec) La souveraineté est en hibernation sous Pauline Marois. En temps normal, j'aurais déjà reçu plusieurs courriels critiques des souverainistes purs et durs depuis le début de cette campagne électorale. Cette année, presque rien. Jusqu'à maintenant, les libéraux ont été les plus nombreux à prendre la plume pour critiquer. Je n'ai reçu que deux courriels traitant de la souveraineté, un de Montmagny, l'autre de ...
Plus encore, le principal problème de Mme Marois, comme de M. Boisclair, est qu'il n'y a plus suffisamment de ressentiment pour nourrir le projet souverainiste.
En octobre 2003, le politologue Jean-Herman Guay avait créé toute une commotion au conseil national du PQ en déclarant qu'il pourrait bien avoir été le parti d'une seule génération. «Les raisins de la colère ont disparu», avait-il expliqué à 400 militants littéralement ré...
Effectivement, ces élections sont un référendum sur la façon dont Jean Charest gouverne le Québec depuis presque six ans. C'est le défi de Pauline Marois. Elle a commencé à montrer, en haussant le ton, que ça n'avait aucun sens de faire le débat sur elle alors que c'est Jean Charest qui vient de gouverner.
Nous savions que le PQ avait progressivement abandonné le combat pour l’indépendance du Québec à la suite du référendum volé de 1995 et de la démission de monsieur Parizeau, et ce, malgré que 61% de notre nation ait alors voté pour faire du Québec un pays. Cette démission historique se poursuit aujourd’hui avec madame Marois sous le vocable de la bonne gouvernance et la publication d’un manifeste d’intention...
Pauline Marois veut rapatrier tout le secteur, y compris les 300 millions qu'Ottawa y consacre
Par tous les moyens possibles -- ce qui pourrait aller jusqu'au référendum --, Pauline Marois veut rapatrier d'Ottawa la totalité des pouvoirs en matière de culture ainsi que les sommes d'argent qui y sont rattachées. Le PQ promet aussi aux artistes québécois de compenser le financement aboli cet été par le gouvernement fédéral et de réécrire la loi 101. «Arrêtez de mettre vos gros sabots dans nos affaires, de coupe...
Si la culture fut le parent pauvre de la campagne fédérale de septembre, voilà que le sujet reprend ses lettres de noblesse, avec la promesse libérale d'abolir la TVQ sur les produits québécois et celle du Parti québécois de rapatrier tous les pouvoirs partagés avec Ottawa. Les deux partis qui détiennent une avance dans les sondages, le PLQ et le PQ, se sont lancés cette semaine dans une surenchère de promesses touc...
In downplaying sovereignty, PQ platform has become very similar to the Liberals'
After André Boisclair, Pauline Marois was seen by Péquistes as almost a saviour when she became their uncontested leader. But if she fails to win this election, they could start singing a different tune. At mid-campaign, this week's Léger Marketing poll put the Parti Québécois at only 33 per cent, the Liberals at 44 per cent and the Action démocratique at 15 per cent. The PQ still has a slight lead among fran...
Oui, je peux bien le dire, je suis tanné. Après des élections fédérales où nous avons donné, beaucoup donné même, il y a quelques semaines à peine. Et après avoir suivi plus ou moins de loin la campagne électorale aux États-Unis, voici qu’on nous relance dans de nouveaux débats avec les élections dites provinciales. Ouch! De nouveaux débats? Jusqu’à maintenant, je n’ai pas entendu grand-chose. Les habituelle...
On croyait que Pauline Marois aurait remisé son projet d'enseigner l'histoire et la géographie en anglais, projet qui avait, avec raison, scandalisé ses propres partisans. Mais non, elle en remet encore en pleine campagne électorale, ajoutant les mathématiques et la littérature (on présume qu'il s'agit de la littérature anglophone!) à l'immersion anglaise. La chef péquiste veut abolir l'enseignement de l'anglai...