Cinéma québécois et anglobalisation

Do Jutras have anti-English bias?

Quebec film awards don’t give major prizes to anglophone productions – despite an impressive crop this year


By Brendan Kelly The Gazette MONTREAL - Why is it that over its 13-year history, the Jutra Awards has almost never given ma...

Un film rend hommage à Gérald Godin



Gérald Godin (1938-1994) a été un journaliste engagé, un poète engagé et un homme politique.

Un merci en français!



Yvan Giguère - Moi qui suis un accro de la chanson francophone, en plus d'en être un fervent défenseur, je voue tout de même une admiration à quelques groupes anglophones. Arcade Fire est du nombre. Pas seulement parce qu'ils ont gagné le Grammy du meilleur album de l'année dimanche à Los Angeles, mais parce que ce groupe est constitué de jeunes musiciens intègres, engagés, en plus d'être talentueux....

On se demande bien QUI a pu éructer un tel scénario! Et surtout QUI a pu le financer et dans quel but? Malaise et colère...

Le problème de <i>Funkytown</i>



un ami péquiste m’avait avisé "de la charge anti-Parti Quebecois grossière du film Funkytown. Tous les clichés y sont : déclin de Montréal, exode vers Toronto, repli sur soi, police de la langue fasciste."

Pardon my french

Je sais seulement que ce film fait ressortir une insouciance linguistique que je ne partage pas.


Funkytown est le titre d'un tube disco et d'un film qui semble déjà promis à une belle carrière. Les critiques l'ont salué à l'unanimité. Le film est sorti hier partout au Québec dans un nombre très élevé de salles avant de partir à la conquête du Canada, ce qui est un bon indicateur du niveau de confiance de ses distributeurs.

L'immigration sous les projecteurs québécois!



Il y a quelques jours, je suis allé voir l'Appât, le nouveau film québécois d'Yves Simoneau. À l'affiche, Guy A. Lepage et Rachid Badouri. Même si j'ai trouvé le scénario un peu faible - c'est vrai que c'est une comédie légère - j'ai aimé que le film fasse de la place à la diversité de la société montréalaise: on y entend de l'arabe, du créole, de l'italien en plus du français du Québec et de.. France. L'Ap...

Je veux faire du cinéma multiculturel



Je vous raconterai mes vacances une autre fois, d'ailleurs je ne suis pas bien certain qu'elles soient terminées. En vérité, j'hésite à reprendre la chronique. Je songe à me lancer dans une nouvelle carrière: le cinéma. Acteur. Voilà, c'est dit. L'envie m'en est venue subitement en passant devant la ferme des Édoin, sur le chemin du Bois, où l'on tourne en ce moment un film. Un long métrage avec des acteurs trè...

Fiers de nos racines et ouverts sur les autres!



L’intégration à la culture et à la langue commune au Québec est le contraire de l’exclusion et de la fermeture aux autres. C’est un facteur essentiel d’inclusion des nouveaux arrivants à la société québécoise.

En marge des déclarations de Jacob Tierney et des intérêts nationaux

Lettre ouverte aux Philippe Falardeau, Alexandre Warnet et cie



Être présent au monde ne peut s'exempter d'une certaine condition patriotique et nationale. C'est foncièrement un combat d'un certain sens et les Québécois veulent déclarer leur fierté en leurs propres termes. Ce n'est point être "fier chez-soi", c'est plutôt revendiquer notre rapport au monde.

Le fanatisme de la diversité

À ceux qui nous prêchent toujours l'ouverture à l'autre, une petite question : à quel moment demandera-t-on à l'autre de s'ouvrir à nous?


Le cinéaste Jacob Tierney soutenait la semaine dernière que le cinéma québécois était replié sur lui-même. À mots couverts, il l'accusait de racisme. Plusieurs lui ont intelligemment répondu en énumérant les films où les anglophones comme les allophones sont bien présents. Ils auraient pourtant dû se contenter de plaider non coupables. Car Tierney ne demandait pas aux Québécois d'ouvrir leur culture aux immigrants...

Un gardien de la banque...

Cinéma québécois

Tierney n'a fait qu'énoncer un fait

Les propos du jeune réalisateur, qui est pourtant un Québécois, et de souche puisque né ici, viennent de blesser dans leur amour-propre certains gardiens du temple.


«Au Québec la critique est impossible.» C'est ainsi que s'exprimait un Français rencontré à Paris, il y a quelques années, après avoir fait des études au Québec. Celui-ci n'avait pas tort. On aime bien se faire dire que nous sommes beaux et gentils, que nous sommes appréciés, dynamiques et créatifs. Bref, tant que le regard est positif, il y a aucun problème. En fait, les Québécois s'imaginent manquer te...

Pour en finir avec Jacob Tierney

La Presse en a ajouté une couche avec les propos de Jacob Tierney, un obscur réalisateur anglophone déversant son fiel sur la soi-disant fermeture des Québécois face aux immigrants et aux anglophones.


Cette cohérence, si Tierney l’avait, il s’en servirait pour faire un film dans la langue des Québécois. Si c’est trop lui demander, qu’il se taise et qu’il vive son racisme et sa haine des Québécois et de leur spécificité dans le silence de cette bulle de verre qu’il s’est construit autour de son égo.

Maudite chaleur

On aurait le goût d’expliquer à Jacob Tierney que la culture nationale est justement ce lieu patiemment élaboré au fil des siècles où chacun peut communier à l’identité partagée sans avoir à s’identifier à une couleur et à une ethnie.


On aurait le goût d’expliquer à Jacob Tierney que la culture nationale est justement ce lieu patiemment élaboré au fil des siècles où chacun peut communier à l’identité partagée sans avoir à s’identifier à une couleur et à une ethnie. En 400 ans, les Québécois ont fabriqué une culture nationale qui leur est propre. Cette culture, ils l’ont forgée avec tous ceux, Autochtones, Irlandais, Écossais, Anglais, Italiens, qui ont bien voulu y contribuer. Cette culture, ils l’offrent aujourd’hui à tous ceux qui souhaitent partager leur aventure.

Cassivi ou la honte de soi. Son multiculturalisme méprisant le montre sous son vrai jour. La tyrannie "des faits", voilà l'argument spécieux par excellence qui dissimule les choix idéologiques réels.

L'aveuglement volontaire

Il a beau charrier un peu et confondre certaines choses, sur le fond de la question, Jacob Tierney a tout à fait raison.


Il n'en fallait pas davantage pour pincer la corde sensible de l'identité québécoise, vexer quelques thuriféraires du nationalisme ethnique et monomaniaques de la langue française, en offrant une nouvelle tribune au discours poussiéreux du Cercle québécois des réactionnaires, jeunes et vieux. Rappels de «Nous» et de «Eux» évoquant certains souvenirs honteux de la commission Bouchard-Taylor.

Un nouveau chapitre dans le grand livre du «Québec bashing»

Toutefois, les propos de Jacob Tierney choquent d'autant plus lorsqu'on sait que son propre père Kevin Tierney est le producteur du film Bon Cop, Bad Cop.


Conjoncture favorable à la résolution d'une ambivalence originelle

La langue de l'indépendance

Il n'est donc guère étonnant d'observer une instrumentalisation de la production d'un cinéma multiculturel qui privilégie le point de vue d'une communauté donnée qui ne rejoint pas celle d'une autre.


Bien mal nous prend de douter à tout instant. Le doute est sain pour autant qu'il nous amène à trancher nos ambivalences. Les récents événements politiques tant au Québec qu'au Canada sont féconds d'un point de vue de nature à résoudre les dilemmes que les forces du statut quo nous imposent. Nous voyons souvent l'arbre qui cache la forêt : il nous faut redoubler de détermination quant aux prochaines épreuves. N...

À la défense du cinéma québécois

Ça va faire de toujours nous traiter de xénophobes! C’est une manie, on dirait.


[ Dans La Presse d’aujourd’hui->http://www.vigile.net/Jacob-Tierney-Les-anglos-et-les], le réalisateur québécois Jacob Tierney (The Trotsky) accuse le cinéma québécois d’être trop blanc, trop francophone, trop québécois de souche. Il dit qu’on devrait avoir honte. Ouais… Du calme. Il faudrait que Jacob comprenne quelque chose: dans tous les autres cinémas, on ne voit pas de québécois blanc francophone. Le seul c...

Exercice d'autoflagellation cinématographique



Une enième belle occasion pour représenter la société québécoise comme nettement moins «ouverte» à la diversité que dans le reste du pays...

Jacob-le-cosmopolite, le prétentieux-ouvert-sur-le-monde, pose comme Richler-l'ancien (j'ai oublié son prénom) - Un trait culturel?

Jacob Tierney: «Les anglos et les immigrants sont ignorés»



«Le cinéma québécois, c’est blanc, blanc, blanc. C’est homogène! C’est gênant. Regarde les films qu’on fait au Québec: 1981, C.R.A.Z.Y., Polytechnique... Ce sont de bons films, mais ce sont des films tournés vers le passé. C’est la glorification de la nostalgie. Tout était donc plus intéressant avant. Il y a quelque chose de malsain là-dedans.»

Une suggestion pour le prochain film de ce prétentieux nouveau Richler : "le fabuleux destin de Rachel Corrie"

Jacob Tierney et compagnie



The Trotsky met en scène Léon Bronstein (Jay Baruchel), jeune homme à lunettes pétri d'idéal politique, qui se croit la réincarnation de Trotski. Il mobilise les employés de l'usine paternelle avant de convaincre les élèves de sa classe de secondaire de l'ouest de Montréal de former un syndicat étudiant, tout en courtisant une femme de neuf ans son aînée, à l'instar de son héros russe, et en foutant le bordel partout.

Deux Juifs emmerdeurs

Ce que Gesca publie et... ne veut pas publier


« Honorable » et « Respectable » le font régulièrement. Derrière eux, j’entrevois une petite clique d’universitaires prétentieux qui rient comme des fous à se raconter qu’on peut vraiment dire n’importe quoi aux Québécois.

Le racisme inverti!

La jouissance d’un racisme à l’envers !


En milieu petit-bourgeois, chez de jeunes journalistes de La Presse, par exemple précis, une mode -à relent bien snob- s’installe. Le grand amour pour un cosmopolitisme qui s’étale au centre-ville. Rue Saint-Laurent par exemple. On en fait des articles enthousiastes genre : « Ah, que c’est bon de se retrouver comme noyés au beau milieu de races variées ! » La jouissance d’un racisme à l’envers !...