CONFLIT ÉTUDIANT
CONFLIT ÉTUDIANT
en 2012, les fascistes et les ringards sont ceux qui tentent d’empêcher le Québec de devenir aussi français que le Canada ou les États-Unis sont anglais.
Il faut sortir des lieux communs. Notre refus de nous attaquer directement au surfinancement des institutions de langue anglaise est la cause principale de nos ennuis actuels.
Nous avons le choix : mettre fin à l’apartheid universitaire ou disparaître.
Le dernier Québécois
CONFLIT ÉTUDIANT
Le dernier Québécois
La seul prérequis : une révolution. Pas dans la rue, mais dans nos têtes. Commencer par réapprendre ce que nous avons oublié à trop écouter les extrémistes anglophones ou les lavettes identitaires comme Gendron : nous avons le droit d’exister et nous avons le droit de prendre les mesures nécessaires pour assurer cette existence.
N’était-ce pas Olivar Asselin qui disait qu’il faudrait écrire, sur notre tombe: « Ci-gît un peuple mort de bêtise »?
Dans un document de quelques pages, on utilise sept fois le mot « davantage ». C’est tout à fait flou et imprécis.
Nous approchons de ce tournant dans l’Histoire, de cette chute qui va, une fois de plus, renverser l’humanité.
Il n’y a pas un seul bien qui soit plus important que la monnaie.
Il n’y a pas de direction. Il n’y a pas de capacité à remplacer le système actuel. « Le roi sans gabelle », c’est tout ce qu’on trouve à scander.