"À mes amis souverainistes" - Alain Dubuc

Alain Dubuc - À mes amis souverainistes

Une désolante chasse à l’homme



J’ai consacré un long passage de cette recension à la technique de dénonciation de Dubuc pour bien montrer comment au-delà d’un seul appel au réalisme pour les souverainistes, son livre en appelle plutôt à la diabolisation du nationalisme québécois, pour bien montrer comment sa fascination pour le progrès et la modernité l’entraine en fait à souhaiter une configuration de l’espace politique sur le modèle de la lutte antifasciste. (...) Mais ce livre se discrédite dans une désolante chasse à l’homme qui n’est pas loin d’un maccarthysme progressiste. En croyant prophétiser un miracle, Alain Dubuc invite surtout à de nouvelles persécutions publiques contre ses concitoyens qui ne partagent pas son enthousiasme hypermoderne.

Essais québécois

Alain Dubuc : un ami importun



Est-il nécessaire de préciser que cet ouvrage, non exempt d'erreurs factuelles (le «référendum du 15 novembre 1995») et de coquilles («à été», «aurait dût», «schyzophrènes»), aurait dû s'intituler Au service de mes amis fédéralistes et capitalistes?

L’héritage de René Lévesque



Dans ses positions actuelles sur la langue, et surtout sur les rapports entre la majorité et ses minorités, le Parti québécois est en train de trahir son héritage. En ce faisant, Pauline Marois a choisi le mauvais camp.

(réplique à Alain Dubuc)

Le pays du Québec : un devoir de persévérer



Dans un livre à paraître dont un large extrait a été publié dans La Presse du lundi 12 mai, Alain Dubuc invite les souverainistes du Québec à « déposer les armes ». Il incite en outre les souverainistes du Parti Québécois à « cesser de faire de la souveraineté du Québec leur objectif premier ». Il réclame l’abandon par les souverainistes de leur projet d’indépendance nationale aux fins d’assurer « l’avènement d’une ...

Alain Dubuc: sonder l'inconscient des souverainistes

Alain Dubuc en parle avec Jean-François Lisée


Le journaliste Alain Dubuc a voulu savoir comment se définissent les souverainistes en ces temps flous sur la question nationale. En publiant l’essai

Réplique à "Le temps de déposer les armes" d'Alain dubuc

Alors que faire, souverainistes et indépendantistes?



Rester sourds aux mélodies trompeuses des sirènes; déjouer les entreprises de sujétion; ne pas déposer les armes, mais se rendre à la seule nécessité qui prévaut dès à présent : rallier d’un seul cœur la masse des forces pour convaincre démocratiquement notre peuple de faire le pas généreux vers la liberté de la vraie maturité politique.

Québec

Souveraineté: qui doit déposer les armes?



Dans des extraits de son nouveau livre, [À mes amis souverainistes, Alain Dubuc propose à ceux-ci de déposer les armes->13393], devant ce qu'il qualifie de perspectives quasi nulles d'une victoire de la souveraineté. Il demande ainsi aux souverainistes de faire les frais de l'impasse. Si nous avons perdu les référendums de 1980 et 1995, les fédéralistes ont perdu celui de 1992 et ils doivent conve...

Oui, il faut déposer les armes



À l'ère du IPod, de Facebook et de l'individualisme forcené, François Juteau s'interroge: «Comment penser qu’un projet (l’indépendance) qui s’appuis (sic) sur l’altruisme suprême (le sacrifice de l’individu pour assurer le bien-être et l’avenir de la nation) ait une quelconque chance de succès?» (Archives La Presse) Je ne pensais jamais être un jour en accord avec un texte d'Alain Dubuc sur la question nation...

À nos amis fédéralistes

«Déposer les armes» est une expression qui a d'ailleurs un sens bien concret, celui de la reddition... à moins que tous ne le fassent.


Il est pour le moins ironique de voir aujourd'hui des fédéralistes sincères -- pensons à notre confrère Alain Dubuc, qui lance un appel «à ses amis souverainistes» pour qu'ils déposent les armes -- d'avoir si peu à proposer pour répondre à leurs préoccupations. D'emblée, tous les fédéralistes n'ont que des réponses négatives à opposer aux propositions que fait le Parti québécois pour renforcer et protéger l'identité culturelle des Québécois. Évoque-t-on l'insécurité linguistique des francophones à Montréal qu'on s'empresse de nier l'existence d'un problème. Aussitôt lancée, l'idée d'une citoyenneté québécoise est condamnée.

« À mes amis souverainistes »



Le projet souverainiste, dans sa forme actuelle, n’arrive pas à rallier un nombre suffisant de Québécois. Les souverainistes ne remporteront vraisemblablement pas un référen...

Québec

Le temps de déposer les armes



Nous vous présentons des extraits du nouveau livre de notre chroniqueur Alain Dubuc, «À mes amis souverainistes», en librairie à la fin de la semaine aux Éditions Voix parallèles. Des enjeux importants confrontent le Québec. Cela annonce des virages difficiles, qui vont demander beaucoup d'énergie et la plus grande cohésion possible. Les efforts pour donner au Québec son élan et pour combler ses ...