Le projet souverainiste, dans sa forme actuelle, n’arrive pas à rallier un nombre suffisant de Québécois. Les souverainistes ne remporteront vraisemblablement pas un référendum dans un avenir prévisible. Nous sommes dans une impasse. Voilà le point de départ de cet essai signé Alain Dubuc, À mes amis souverainistes. Ce constat mène à poser tout haut des questions que se posent tout bas une majorité de Québécois. Qu’est-ce qu’on fait maintenant? Comment orienter ses énergies? Continuer à se battre en vain? Ou s’adapter à une réalité qui a changé?
Ce livre ne porte pas sur la souveraineté et il ne cherche pas à critiquer ce projet souverainiste, auquel adhèrent un grand nombre de Québécois, mais il analyse de façon lucide l’impasse du projet souverainiste et l’impasse politique dans laquelle se trouve le Québec. L’auteur décrit les effets pervers engendrés par le fait que le combat pour la souveraineté, parce qu’il n’aboutit pas, a cessé d’être un facteur de progrès, et qu’il est même devenu l’une des causes importantes de la résistance au changement dont souffre le Québec.
À mes amis souverainistes est un prolongement de l’essai Éloge de la richesse, du même auteur. Il explore les façons d’aménager un cadre politique qui permettrait au Québec de créer cette richesse : redéployer nos priorités, reconnaître l’urgence des défis qui nous attendent et travailler ensemble. Ce livre insiste sur les convergences qui permettaient à des souverainistes et à des fédéralistes unis par leur désir de modernité de joindre leurs efforts, même si chacun garde ses rêves. Lettre à mes amis souverainistes est un livre polémique, mais aussi une démarche qui repose sur le dialogue et la recherche d’un consensus.
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Texte de présentation de l'éditeur ("résumé")
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À mes amis souverainistes
Dubuc, Alain
Les Éditions Voix parallèles
26,95 $
Le projet souverainiste, dans sa forme actuelle, n’arrive pas à rallier un nombre suffisant de Québécois. Les souverainistes ne remporteront vraisemblablement pas un référendum dans un avenir prévisible. Nous sommes dans une impasse. Voilà le point de départ de cet essai signé Alain Dubuc, À mes amis souverainistes.
Ce constat mène à poser tout haut des questions que se posent tout bas une majorité de Québécois. Qu’est-ce qu’on fait maintenant? Comment orienter ses énergies? Continuer à se battre en vain? Ou s’adapter à une réalité qui a changé?
Ce livre ne porte pas sur la souveraineté et il ne cherche pas à critiquer ce projet souverainiste, auquel adhèrent un grand nombre de Québécois, mais il analyse de façon lucide l’impasse du projet souverainiste et l’impasse politique dans laquelle se trouve le Québec. L’auteur décrit les effets pervers engendrés par le fait que le combat pour la souveraineté, parce qu’il n’aboutit pas, a cessé d’être un facteur de progrès, et qu’il est même devenu l’une des causes importantes de la résistance au changement dont souffre le Québec.
À mes amis souverainistes est un prolongement de l’essai Éloge de la richesse, du même auteur. Il explore les façons d’aménager un cadre politique qui permettrait au Québec de créer cette richesse : redéployer nos priorités, reconnaître l’urgence des défis qui nous attendent et travailler ensemble. Ce livre insiste sur les convergences qui permettaient à des souverainistes et à des fédéralistes unis par leur désir de modernité de joindre leurs efforts, même si chacun garde ses rêves. Lettre à mes amis souverainistes est un livre polémique, mais aussi une démarche qui repose sur le dialogue et la recherche d’un consensus.
L'auteur
Alain Dubuc est, depuis le printemps 2004, columnist pour sept quotidiens du Québec, dont La Presse et Le Soleil. Il a été président et éditeur du quotidien Le Soleil, de Québec, de 2001 à 2004. Il avait auparavant occupé le poste d’éditorialiste en chef au quotidien La Presse depuis 1988, et de chroniqueur financier au même journal de 1981 a 1988.
Il a obtenu un baccalauréat et une maîtrise en sciences économiques de l’Université de Montréal.
Il est invité comme conférencier ou panéliste dans plusieurs conférences sur des sujets économiques, politiques et sociaux à travers le Québec et ailleurs au Canada.
Détenteur de plusieurs distinctions, il a été lauréat, en 1999, du Concours canadien de journalisme, dans la catégorie éditorial , et a été finaliste au même concours en 1998 et 2000. Plusieurs autres prix lui ont été attribués, notamment le Prix annuel du Conseil du patronat du Québec pour la contribution à l’économie en 1985, le Prix de la Fondation québécoise d’éducation économique, en 1983 et en 1984, le Prix national dans le domaine des affaires, catégorie des éditoriaux et rubriques régulières, en 1982.
Il a publié trois livres : Simple comme l’économie, en 1987, et Dialogue sur la démocratie au Canada, avec John Ralston Saul, en 2003 et Éloge de la richesse en 2006, pour lequel il a reçu le Prix du livre d’affaires de HEC de Montréal en 2007.
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Dans Cyberpresse
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