Macron, c’est le nihilisme destructeur sans gêne pour la déconstruction de la France et la mort de la famille. Macron ne respecte rien ni personne. Un amoralisme de petit banquier d’affaires joyeux. Il fabrique des taxes et des impôts pour voler les pauvres et les retraités et donner aux ultra-riches sans vergogne. Les LREM prennent l’argent des Français et la France pour un grand self-service où ils se servent sans se gêner.
Et leurs besoins sont énormes, illimités. Les planqués de la république se gavent comme on l’a vu avec le scandale des homards géants. Macron, c’est le nihilisme destructeur sans gêne où les voyous volent et agressent en toute liberté dans une France transformée en Far West et des quartiers en Chicago.
Macron, c’est le nihilisme destructeur de la famille et de la patrie sans se poser la moindre question éthique. Macron, c’est l’anarchisme petit-bourgeois revendiquant son hédonisme, son égotisme, son égoïsme.
Son culte du moi déraciné n’a ni passé ni avenir, rien que le présent, l’immédiat.
Macron vit la politique dans l’instant. La France est haïe comme un endroit sinistre d’où on doit sortir à tout prix. L’ordre moral est transgressé, ignoré, méprisé, ridiculisé. Les LREM sont incompétents et vils. Les lois partisanes contre la famille sont tyranniques et grotesques. Il faut déconstruire l’ordre familial et patriarcal de la société pour imposer des pratiques de voyous aux influences marxistes et féministes-LGBT.
Macron, c’est le nihilisme destructeur qui veut délégitimer un ordre moral bourgeois et patriarcal. De là, la violence de la négation de la différence des sexes et les nouveaux symboles sexuels transgenre.
Il faut déconstruire de manière radicale l’altérité sexuelle de l’homme et de la femme pour légitimer le principe même de l’emprisonnement mental transgenre LGBT. Le slogan est que la différence des sexes est une construction culturelle et historique, imposée par le pouvoir normatif de l’État. Les LGBT veulent mener une guerre de destruction de l’ordre ancien fondé sur la loi, imposée par le père, au nom d’une dénonciation de la bourgeoisie et de la société de l’ordre moral bourgeois et patriarcal. Les LGBT font de la sexualité ostentatoire un ingrédient fondateur d’une contreculture qui subvertit et qui remplace la culture traditionnelle.
Macron, c’est le nihilisme destructeur qui met en scène cette subversion nihiliste. Il veut imposer cette contre-culture devenue culture officielle typique de la gauche au pouvoir. La famille est désormais regardée comme objet de détestation. La contestation de la famille devient alors vérité officielle. Toute la société en est durablement déstabilisée. La délinquance des mineurs en sortira renforcée, démultipliée, décuplée.
Zemmour et les défenseurs de l’ordre sont délégitimés, fragilisés, déconsidérés.
Macron, c’est le nihilisme destructeur qui veut faire croire que, comme la différence des sexes, la délinquance n’existe pas, que l’insécurité des honnêtes gens n’est qu’un mythe, une construction sociale, qu’il n’y a qu’un sentiment d’insécurité qu’il faut combattre pour imposer le vivre ensemble dans les quartiers.
Macron, c’est la culture du déni de réalité face aux nouveaux délinquants issus des familles d’immigrés que la France accueille en masse. Les bandes de trafiquants et de voleurs impunis sont changés en victimes d’un ordre néocolonial et raciste. Ce sont les victimes blanches racistes qui sont coupables.
Macron, c’est le nihilisme destructeur qui prône la haine de la France et des Français.
Thierry Michaud-Nérard
(librement adapté de Éric Zemmour, Le suicide français).