MISE À JOUR
L’enfance a toujours été une période sacrée. L’innocence et l’insouciance qui la caractérisent étaient farouchement protégées pour permettre à l’enfant de se construire et de s’épanouir à l’abri de l’univers des adultes.
Propagande
Mais cette période est révolue. Avec l’aide de la sphère politique, les fanatiques wokes amplifient leurs efforts pour dépouiller les enfants de leur candeur.
Des drag-queens qui s’obstinent à faire la lecture aux enfants jusqu’à Disney, dont les produits transpirent l’idéologie de genre, l’hypersexualisation des enfants est partout.
Au nom de la défense des droits des minorités sexuelles, et sous couvert d’éducation à la sexualité, cette hypersexualisation s’est également infiltrée dans les écoles avec la sanction du ministère de l’Éducation du Québec.
Ainsi, le ministère exige que l’enfant soit exposé à toutes les questions relatives à la sexualité et à l’«affirmation de soi» dès l’âge de 4 ans. Et malgré la terminologie aseptisée employée dans les documents officiels, on comprend rapidement qu’il s’agit de distiller la théorie du genre, la théorie queer, et autres théories déconstructionnistes bancales.
Personne n’est contre l’instruction. Mais l’école ne devrait jamais être une usine pour endoctriner les enfants à l’idéologie du moment. Au contraire, elle devrait être le lieu du respect de l’enfance.
Or, en imposant des contenus sexualisés à de jeunes enfants et en les confrontant à des problématiques pour lesquelles ils n’ont pas la maturité, ce n’est pas de l’éducation que fait le ministère, c’est de la propagande! D’ailleurs, cette confrontation non sollicitée à des sujets d’adultes ne correspond-elle pas à la définition du harcèlement sexuel?
Dignité
On comprend aisément que cet endoctrinement précoce profite à l’idéologie woke. Mais pense-t-on aux enfants? En quoi le fait de leur voler des étapes importantes de leur développement psychique les avantage-t-il?
Il y a un temps pour chaque chose. Laissons donc les enfants être des enfants et grandir à leur rythme!