WE

Billet de Caroline

WE
Étant donné son intention de gouverner le Québec

comme une province canadienne

Pauline Marois a tout intérêt à se mettre à l’anglais.

Elle sera ainsi en mesure de ronronner ses discours,

sur la tenue d’un référendum en 2025,

dans la langue de la minorité grandissante.

Un autre signal que les anglais peuvent continuer

à dormir tranquille.

Et tranquillement,

nous glisserons du OUI au WE.

Featured df5b7351bef44f5ef9d14600f6d8203f

Caroline Moreno476 articles

  • 265 625

Château de banlieue

Mieux vaut en rire que d'en pleurer !


Chapitre 1
http://www.tagtele.com/videos/voir/73927/

Chapitre 2
http://www.tagtele.com/videos/voir/73949/

Chapitre 3
http://www.tagtele.com/videos/voir/73967/1/





Laissez un commentaire



3 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    17 octobre 2007

    Tout d'abord une réponse rapide à monsieur Lanctôt: Il n'y a rien qu'une bonne dose de réalisme dans la prose "WE"de madame Moreno. La déprime vient de ce qu'elle jette un regard lucide sur les oeuvres de notre élite. Je commence à croire d'ailleurs, que nous n'avons pas de pire ennemi que cette élite qui fait le travail de sape de l'autre, les ci-nommés rhodésiens du West Island. Carriérisme d'une part, et prétentions dominatrices de l'autre, ont pour résultat une alliance "de facto" des plus nocives! Il faut se pencher sur ce qui a été vraiment accompli par la "nomenklatura" péquiste, surtout depuis 1995. Rien de bien joli. Faites vos recherches et constatez! ... "Créer les conditions gagnantes." Du mythe!!
    Le RIN a plus fait pour les "conditions gagnantes", sans jamais gouverner!
    Maintenant, réponse tout autant rapide à monsieur Verrier, au sujet du texte:
    "Notre combat est contre l’essence même du régime et non contre ses manifestations superficielles. Le fédéralisme dessert et deservira toujours la partie minoritaire. C’est une question de nature et non de politique au quotidien. Peut-on dire que la démocratie interne du régime joue et jouera toujours en notre défaveur ? Pour gagner en profondeur, c’est surtout sur ces aspects qu’il faut faire porter notre combat." ***
    L'énoncé est juste et vrai. Donc, que doit-on faire - en pratique - pour combattre le fond, plutôt que les manifestations superficielles du fédéralisme oppresseur canadian. Ce fond, il me semble que monsieur Sauvé, quand il parle des "United Empire Loyalists" et de leur mentalité déformante, est en plein dans le mille quand à son identité. Et l'influence de cette classe dure toujours, en général par le biais d'une élite autochtone (on y revient). ...
    Coupons court!! Vous avez raison. Et par le truchement d'une bonne dose de sarcasme vis-à-vis d'une des manifestations les plus pernicieuses de l'esprit des "United Empire Loyalists" (leurs prétentions dominatrices), c'est toute l'ILLUSION de l'ordre qu'ils imposent que le dit sarcasme veut mettre en évidence. C'est à chacun(e) de nous, Indépendantistes, armés de cette évidence, de prendre le relais et de foncer vers l'avenir que NOUS voulons assumer. Nous en avons les moyens, ici et maintenant; à chacun(e) de nous de choisir.
    Claude Jodoin
    *** "Droits et passe-droits" de madame Moreno, 14 octobre 2007.

  • Archives de Vigile Répondre

    16 octobre 2007

    Votre prose-déprime est me lasse et j'espère de tout mon cœur que Vigile, sensé être un oasis d'espoir pour les indépendantistes, retire votre pessimiste chronique du site.
    Ceci étant dit, le PQ demeure notre meilleure chance d'accéder à l'indépendance. Marois en est à son premier jour en tant que leader du PQ, pourquoi vous acharnez-vous à détruire sa crédibilité? Nous avons comme chef une femme qui a en politique québécoise un cheminement exemplaire et une très bonne expérience ministérielle. Croyez-moi, elle la veut, l'indépendance.
    Seulement, il faut créer les conditions gagnantes. Et pour les créer, il faut gouverner. Et pour gouverner, remporter des élections. Et pour remporter les élections, parler d'autre chose (oui, malheureusement!) que de souveraineté.
    Aller, un peu d'espoir. Parlez-nous d'autres choses que de déprime.

  • Gaston Boivin Répondre

    16 octobre 2007

    Dans l'état actuel des choses, du moins de ce que l'on peut en voir et constater de l'exrérieur du P.Q., votre ironie peut se comprendre et se défendre et je la partage!