Cette dame Leroux,présidente du «mouvement dont il est ici question, amie de la famille Desmarais, qui l'ont probablement «parraînée» vers la reconnaissance du Canada pour services rendus, en la décorant d'une des médailles de l'Ordre du Canada créé par «PET Trudeau» afin d'assimiler(par la flatterie) les individus à son Canada, cette dame, dis-je, a déjà épousé la forme machiavélique du capitalisme sauvage en se faisant accorder des bonus de près de «4,000,000,000 $ » lors des deux dernières années, par des membres cupides faisant partie des conseils d'administration des caisses populaires, qui tels des aveugles et des profanes financiers, ont cru cette dame et ses défenseurs lorsqu'elle prétend être moins bien payée que d'autres banquiers.

N'est-ce pas la même présidente qui a fait perdre des centaines de millions «$» en ristournes aux membres des «caisses populaires» avec l'achat des PCAA ou subprimes qui avaient grugé les fonds de retraite administrés par le «Mouvement des caisses» par le biais de ses compagnies, en invitant les membres des caisses à renflouer ces sociétés sous le faux prétexte de solidarité due aux retraités floués par sa mauvaise gestion? ( On devrait lire les articles de Me Pierre Cloutier à cet effet)

L'an prochain elle demandera aux délégué-e-s cupides et aveugles des caisses un plus «gros bonus» afin de recevoir des émoluments comparables à tous ces banquiers invités du roi de Sagard en Charlevoix, ses nouveaux ( ou nouvelles amies) ou ancien-es ami-e-s du néo-capitalisme/libéralisme sauvage qui a mis le monde à feu et à sang depuis 2008, le même genre d'individus qui avaient mis le monde en faillite, appeleé aussi la grande dépression, des années 30.

Je suis prêt à parier que les délégué-e-s de nos caisses populaires répondront présent-e-s lorsqu'on sollicitera leurs votes sur ce sujet. Après tout, est-ce qu'on peut refuser à cette dame ces quelques dollars alors qu'elle vient de nous ( lire : les déléguées et membres des CA des caisses) recevoir lors d'une réception payée par les membres des caisses?

Ce sont ces tristes financiers, ceux de la City de Londres et autres banquiers anglo-saxons et anglophones ( USA--Nouvelle-Zélande--Australie et d'autres du monde occidental surtout) qui sont pris dans les affaires nébuleuses de la «Libor» et de l'Eurofor, gens qui ont floué des centaines de millions de personnes afin de cacher leur incompétence et leurs malversations.

Merci à M. LeHir d'avoir écrit ce texte sur les visées fédérales sur le mouvement Desjardins.

Jacques Bergeron

Ahuntsic, Montréal