TÉLÉ-QUÉBEC attend depuis sa fondation de jouer un rôle significatif au sein de notre collectivité, le temps est venu d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour affirmer notre culture, notre manière de vivre, notre amour de la nature, notre désir de vivre en harmonie avec notre environnement.
Selon son statut, TÉLÉ-QUÉBEC peut combler les immenses lacunes et rectifier la désinformation diffusée sur les grands réseaux télévisuels (SRC et TVA) et la presse écrite. Il presse d'offrir un bulletin de nouvelles s'intéressant aux activités sociales, économiques et citoyennes des régions, diffusé dans toutes les régions aux heures de grande écoute.
Sinon, comment le Québec en tant que territoire et les Québécois en tant que peuple peuvent-ils se reconnaître eux-mêmes dans la bouillie partisane et mensongère déversée quotidiennement par des grands médias, tous tributaires d’intérêts financiers privés qui ne cherchent que l’accaparement des richesses naturelles du Québec? Le Québec et les Québécois doivent se promouvoir eux-mêmes et TÉLÉ-QUÉBEC offre cette opportunité inexploitée.
Déjà, TÉLÉ-QUÉBEC possède dix-sept antennes de transmission hertzienne analogique à travers le Québec, rejoignant plus de 92 % de la population2. La mise en ondes est faite à partir du siège social à Montréal. La station possède une licence de diffusion numérique terrestre3 et diffuse sur le canal 27 depuis le 26 janvier 2009 à partir d'un émetteur situé au sommet du mat du stade Olympique.
http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9l%C3%A9-Qu%C3%A9bec
De plus, la Loi sur la société de la télédiffusion du Québec et la Loi sur la programmation éducative font état du rôle et de la mission de la société de télédiffusion.
La loi sur la diffusion spécifie que : Ces activités ont particulièrement pour but de développer le goût du savoir, de favoriser l'acquisition de connaissances, de promouvoir la vie artistique et culturelle et de refléter les réalités régionales et la diversité de la société québécoise.
http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/S_12_01/S12_01.html
Tandis que la Loi sur la programmation identifie clairement des champs d’action dont nous avons le plus grand besoin maintenant : promouvoir l'accès des citoyens au bien-être économique et social en présentant des émissions qui répondent à leurs besoins d'éducation économique et sociale, et favoriser l'exercice du droit des citoyens à la liberté d'expression et à l'information, notamment en encourageant la discussion des questions d'intérêt général et en en faisant valoir toutes les dimensions, en encourageant une plus large ouverture sur le monde ou en maintenant un juste équilibre entre les sujets traités, les intérêts en cause et les opinions exprimées.
http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/S_12_01/S12_01.html
Les grands médias boudent ce qui favorise l’épanouissement des Québécois. Par exemple, c’est ainsi que l’investissement de plus de 500 000 $ dans la filière du transport électrique ne retient l’attention d’aucun journaliste et qu’aucun média n’a cherché à approfondir. Pourtant la voiture électrique avec son moteur roue et le monorail TrensQuébec sont des inventions du génie québécois et l’électrification des transports individuels et collectifs nous permettrait de consommer localement une grande partie de l’électricité excédentaire produite par Hydro-Québec. Et peut-être absorbé les pertes encourues par l’achat d’électricité à taux fixe, bien au-dessus du marché, des centrales privées.
Le projet d’électrification des transports est porteur d’avenir, de travail, de compétence, de fierté, d’autonomie énergétique et de revenu. Négliger d’utiliser les outils qui sont à porter de main pour promouvoir notre petite collectivité française de 6 500 000 de francophones et notre mode de vie dans l’océan anglophones du Canada et des États-Unis, c’est renier notre droit à l’épanouissement collectif et individuel.
Qu’est-ce que la Première ministre attend pour donner des ailes au projet souveraineté du Québec?