Pourquoi les Chinois se contenteraient-ils de n’envoyer qu’un seul espion au Canada, au Québec? Allez donc. Ce serait bien peu, ce serait bien modeste de la part d’un pays aux ambitions gargantuesques pour qui l’espionnage est devenu le modus operandi privilégié.
Pourquoi s’arrêter en si bon chemin lorsqu’on peut en envoyer par dizaines, par centaines?
Selon toute vraisemblance, il est impossible qu’Hydro-Québec ne soit le seul organisme visé et déjà infiltré.
Un espion chinois du nom de Yuesheng Wang a été arrêté pour espionnage industriel. À noter que l’accusé ne parle pas un traître mot de français. On se demande comment il a pu être accepté au Québec par l’immigration, et déjoué les règles d’embauche d’Hydro-Québec en particulier, une société d’état qui se doit de faire respecter les exigences de la loi sur la langue française dans le monde du travail en donnant l’exemple.
Des espions chinois au Canada, il doit y en avoir en plus grand nombre qu’il y a de cellules en prison pour les écrouer à vie.
Qui sont-ils?
Où sont-ils?
Le gouvernement doit cesser de jouer à l’autruche et agir.
Au nom de la sécurité nationale, il ne faut plus admettre au pays aucun Chinois dans les postes de recherche, de secrets d’état, dans les affaires, l’industrie dans les établissements de courtage, la science, la médecine, la défense nationale, au gouvernement, dans les élections, dans les sociétés d’état, bref, partout où il y a des secrets professionnels, des brevets à voler, des enjeux à influencer, ce qui revient au fond dans à peu près tous les domaines, sauf les buffets chinois, les cours de Tai Chi et les infopubs d'appareils pour les maux de dos.
Les Chinois établis au pays ne sont peut-être pas tous des espions avérés, soit, mais comme on ne peut déterminer lesquels le sont avec certitude, il s’avère plus prudent de bloquer l’accès au pays de tous les espions potentiels que représente l’immigration chinoise en tant que catégorie spécifique à haut risque. On ne sait jamais celui qui remplira une clé USB de documents top secret à la première occasion venue.
La Chine hégémonique et dénuée de scrupule tente de s’emparer de tout ce qu’elle peut à travers le monde, que ce soit avec de l’argent, ou de manière frauduleuse lorsque nécessaire.
On sait que la Chine a entrepris de soudoyer l’Afrique à son compte, prenant chaque pays à la gorge par du financement louche et de la corruption. Déjà plus de 1 million de Chinois y sont rendus. Et combien d’espions se cachent parmi eux?
https://www.cetri.be/La-Chine-en-Afrique-enjeux-et
Au Canada, la situation est pire : 1,8 million de Chinois y sont maintenant installés. Combien d'espions, de complices, de facilitateurs parmi eux?
https://www.statcan.gc.ca/fr/dai/smr08/2021/smr08_250
La Chine, ce pays au sommet des dictatures totalitaires, tenterait même de s’infiltrer chez nous et ailleurs dans le but d’influencer l’issue des élections nationales canadiennes à son avantage.
L’ennemi tentaculaire international numéro 1 est désormais démasqué.
La sécurité du pays doit primer sur toutes les autres considérations.
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4 commentaires
Réjean Labrie Répondre
12 décembre 2022Semaine après semaine, de nouvelles preuves d'ingérence chinoise au Canada s'ajoutent.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a suspendu, jeudi, le contrat de près de 550 000 $ accordé en octobre 2021 à l’entreprise Sinclair Technologies, établie au Canada, mais contrôlée depuis 2017 par Hytera Communications, une société chinoise détenue à environ 10 % par Pékin par le truchement d’un fonds d’investissement.
L’équipement est destiné à sécuriser les communications radio terrestres de la GRC. Cet accès potentiel de la Chine à des données sensibles, qui a été révélé mercredi dernier par Radio-Canada, a été décrié par les partis de l’opposition à Ottawa, à qui les libéraux ont donné raison en suspendant l’entente.
Source: L'ingérence chinoise s'accroit au Canada
Réjean Labrie Répondre
8 décembre 2022La Chine continue de s'infiltrer partout où elle peut pour exercer son influence, faire de l'espionnage, et agir en cachette, méfait par-dessus méfait.
La GRC a découvert l'existence de plusieurs postes de police clandestins chinois au Canada, dont un à un endroit non identifié qui pourrait être le Québec.
Le Canada a sermonné à « plusieurs reprises » l'ambassadeur chinois après avoir appris l'existence de postes de police clandestins chinois au pays, a révélé un haut fonctionnaire devant un comité parlementaire.
Poste de police chinois au Canada
Le gouvernement fédéral garde
tous les enjeux relatifs aux implications de la Chine sur le territoire canadien, notamment une possible tentative d'ingérence dans les élections.Les situations troublantes concernant les activités de la Chine au Canada s'accumulent. Le réseau Global a rapporté en citant des sources anonymes, plus tôt ce mois-ci, que le premier ministre a été averti en janvier d'un vaste effort allégué d'ingérence chinoise dans la campagne électorale de 2019, notamment par des fonds qui auraient été touchés par au moins 11 candidats.
La Gendarmerie royale du Canada a confirmé mardi que des enquêtes sont en cours sur des
auprès d'un comité qui tente d'éclaircir quels efforts aurait faits la Chine pour influer sur les élections générales de 2019.Source: La Chine prise en faute
La police chinoise active au Canada
La police chinoise déjà implantée dans 29 pays
Réjean Labrie Répondre
30 novembre 2022Un autre exemple de l'infiltratrion de la Chine dans les affaires canadiennes:
Le scandale de l'ambassadeur de Chine à l'Université d'Ottawa.
L’Université d’Ottawa a mis les bâtons dans les roues des médias qui tentaient d’avoir des images de l’ambassadeur de la Chine au Canada, Cong Peiwu, lundi en fin de journée. Selon Justin Trudeau, l'Université a commis « une erreur » en interdisant les caméras.
Pendant que des milliers de Chinois descendent dans les rues de Pékin, Shanghai, Wuhan et plusieurs autres villes chinoises depuis plusieurs jours afin de protester contre la politique
, l’ambassadeur de la Chine au Canada a tenu une conférence à l’Université d’Ottawa sur la thématique : .L'ambassadeur de la Chine, Cong Peiwu, a demandé à l'Université d'Ottawa d'expulser les caméras de la salle de conférences. (Archives)
Des journalistes de différents médias étaient sur place, quand tout d’un coup l’Université a accepté de se plier aux demandes de l’ambassadeur qui étaient d’interdire la présence de caméras dans la salle. Le caméraman de Radio-Canada s’est notamment fait montrer la porte.
De plus, l’Université a entrepris de baisser les stores afin de cacher la manifestation en soutien aux Ouïghours, qui se tenait au même moment à l’extérieur du bâtiment.
À lire aussi :
Une décision dénoncée
Une décision qui ne passe pas auprès du premier ministre du Canada.
Plusieurs politiciens et des experts sont également montés au créneau pour dénoncer la décision de l'Université.
Le ministre du Patrimoine canadien, Pablo Rodriguez, a déclaré que la liberté de la presse aurait dû avoir préséance sur les désirs de l'ambassadeur.
, a-t-il dit.Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, s'est dit inquiet du message que l'Université d'Ottawa renvoie à la jeunesse.
, a-t-il fait valoir.
L'Université d'Ottawa fait régulièrement la manchette pour ses actes répétés de soumission aux wokes.
On a également révélé que l'Université d'Ottawa est devenu un repaire d'étudiants chinois. Combien d'entre eux sont en fait des espions ou de futurs espions à la solde de la Chine communiste?
Toute la haute direction doit être limogée sans solde ni prime de départ.
L'Université d'Ottawa doit être mise sous tutelle et libérée de l'idéologie woke qui la contrôle.
Normand Bélair Répondre
28 novembre 2022On devrait se sentir en sécurité....il est déjà relâché par un juge...lâche!
La belle affaire!