Le temps est venu de réviser les règles générales de la représentativité à la télé et à la radio qui doivent être mises au service de la majorité québécoise de souche, et non se soumettre servilement à des idéologies tordues qui divisent et polarisent, comme la secte de la diversité imposée, l'ethnicisation outrancière, et l'exhibition du cirque des minorités en tout genre.
Qui doit-on montrer dans les médias, à la télé, entendre à la radio? On parle des animateurs, invités, artistes, commentateurs, experts, vox pop aux bulletins de nouvelles, etc.
Quelques repères utiles viendront nous guider et clarifier l'approche à favoriser.
1- On doit montrer principalement la majorité québécoise authentique, occasionnellement les autres, mais sans jamais dépasser leur pourcentage réel dans la population. Si on en montre moins, c'est correct, puisque la majorité doit toujours l'emporter par principe démocratique.
2- L'ensemble des minorités visibles ethniques et raciales n'ont pas à être représentées plus que leur pourcentage réel, sinon cela devient de l'abus flagrant, ou pire, une campagne de basse propagande diversitaire dont nous faisons les frais, typique du gouvernement fédéral.
Par exemple, il n'y a encore que 3% de Noirs au Québec (dont une moitié anglophone). Donc, pour respecter la proportion réelle, il faudrait montrer au maximum 1.5 Noirs sur 100 invités, alors qu'on nous en montre souvent 1 sur 4 (25%), 1 sur 3 (33%), 1 sur 2 (50%). C'est de la surreprésentation tendancieuse injustifiée.
3- Nous n'avons aucun intérêt à connaître les points de vue et opinions des immigrés du tiers-monde sous-civilisé, comment eux fonctionnent et agissent dans leurs pays de misère. C'est à eux qu'il revient d'évoluer et de se hausser à notre niveau. Et nous n'avons surtout pas besoin de connaître le regard qu'ils portent sur notre société, ce serait nous faire un affront direct.
4- Ce n'est pas parce qu'il y reste encore des anglophones au Québec qu'il faut en présenter dans nos émissions pour les entendre casser leur français sur nos réseaux. Nos réseaux sont à nous, et ne doivent servir qu'à l'usage exclusif des francophones.
5- Il y a actuellement de la surreprésentation des LGBTQIA+-*=¾#÷, travestis et compagnie en mal d’exhibitionnisme. Tout récemment encore, même un transsexuel anglophone est devenu la vedette d'une téléréalité québécoise. Tout le monde remarque cette surreprésentation abusive. Plusieurs de ceux qui s'affichent comme tel ne sont souvent invités en ondes uniquement que pour cette raison, même s'ils n'ont rien à dire. À peu près personne n'en connaît ou n'en fréquente, mais on leur accorde pourtant beaucoup de temps d'antenne pour faire sensation et choquer. Ce n'est pas normal. Il ne faut pas verser dans la provocation et la surenchère non plus. Ils risquent d'obtenir l'effet contraire de celui désiré, ce qui nuira plutôt à leur cause et leur acceptation. À eux de faire preuve de plus de discrétion pour ne pas irriter en le faisant exprès la population générale et les valeurs traditionnelles.
6- Après l'esclandre de l'acteur noir Will Smith à la cérémonie des Oscars, et la récente fusillade faisant une trentaine de blessés dans le métro de New York par un homme noir aux lourds antécédents de violence criminelle, et sans oublier les fusillades quotidiennes dans Montréal-nord et la série de féminicides commis par des musulmans, il ne faudrait pas croire que c'est en montrant plus de Noirs ou de musulmans à la télévision que ça les fera aimer plus, ou qu'on en recherchera la compagnie. Cela ne fera que jeter de l'huile sur le feu. De la discrétion avant toute chose.
7- Au Québec, seule la ville de Montréal hypertrophiée est actuellement atteinte de cosmopolitite aigue et indigeste. C'est donc une erreur de prendre sa démographie comme base de ce qui doit être montré à la télévision à l'ensemble des villes et villages des diverses régions de la province. Ce monde rempli d’étrangers difficilement intégrables n'est pas le nôtre et n'est pas représentatif de ce que nous sommes collectivement. Il ne doit en aucun cas servir de référence, ni de bassin de personnalités à inviter, car il est loin d'être à notre image, de refléter ce que nous sommes vraiment.
8- Certains médias soumis aux diktats de l'insatiable diversité mangeuse de chair blanche ont pris la fort mauvaise habitude de présenter des bulletins de nouvelles avec des vox pop multiethniques. Il est flagrant qu'ils cherchent volontairement à inclure le plus de réactions possibles venant de minorités visibles, plutôt que de montrer la majorité de la population, la seule qui compte au fond. Il faut dénoncer ce biais anti-québécois de souche, cherchant à nous relativiser, à nous noyer dans le nombre.
À force de ne montrer que des minorités en tout genre, on restreint la visibilité de la majorité, les gens normaux, le bon monde ordinaire, comme si la société n’était plus composée que d’exceptions, d’anomalies, comme si le fait d’être comme tout le monde était dévalorisé.
Répétons-le : le paysage télévisuel doit refléter d'abord et avant tout la population majoritaire qui regarde nos médias. Du reste, les communautés ethniques regardent autre chose et ailleurs. Au nom de quoi faudrait-il alors qu'on les voit apparaître abusivement ici et là comme un cheveu sur la soupe?
En France, le problème est encore plus aigu. Un commentaire citoyen parmi tant d'autres: «Le grand remplacement est partout», «Y en a marre de voir des Africains sur chaque affiche publicitaire française»,
Comme on le voit, les gens ne sont pas dupes. Il se rendent bien compte que quelque chose cloche, qu'il y a propagande sous roche, qu'on cherche à nous reformater, nous endoctriner. La dictature des minorités doit cesser. Résistons vaillamment! Protestons, contestons!
Comme principe directeur récapitulatif, affirmons:
Tous les médias ont le devoir de ne montrer que ce qui peut promouvoir et renforcer la culture québécoise et solidifier l'identité collective québécoise, illustrer l'expérience sans pareille d'être d'ici et de nulle part ailleurs, et privilégier le regard éclairé et analytique que nous portons sur nous-mêmes et sur les autres.
* * *
Note sur toutes les illustrations de l'article: Avons-nous sous les yeux une série élaborée de publicités conçues à l'intention de pays africains? D'autant plus qu'elles viennent toutes d'une seule et même entreprise fondée à Lévis...
Autre note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
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2 commentaires
Réjean Labrie Répondre
11 avril 2024À l'émission Le tricheur animée par Guy Jodoin, qui met en vedette 5 personnalités québécoises, on a tenu à inclure cette semaine par souci de diversité une danseuse haïtienne nommée Mel Charlot.
Son ignorance totale de la culture québécoise et de la culture générale était embarrassante pour ne pas dire navrante.
⦁ Elle n'a accumulé que 1 dollar pour la fondation choisie, alors que les autres participants ont accumulés des centaines de dollars chacun, faisant perdre ainsi beaucoup d'argent à une oeuvre de charité.
⦁ Elle a échoué lamentablement toutes les questions portant sur la culture québécoise populaire. Où est l'intégration dans tout ça? Ce n'est certes pas une bonne idée de remplir un pays d'étrangers qui le restent et qui amenuisent notre culture par leur ignorance.
⦁ Elle serait née haïtienne au Québec. Pourtant, sa connaissance de la culture québécoise populaire est nulle et archi-nulle. Quelque chose cloche là-dedans.
⦁ Elle a échoué toutes les questions de culture générale, ce qui n'est pas pour valoriser ses origines ni les membres de sa communauté. C'est le genre de chose qui confirme ce que les gens pensent d'après leurs observations répétées.
⦁ Il apparaît donc clairement qu'inviter un membre d'une minorité visible juste pour la forme est décidément une bien mauvaise idée, si cela ne doit servir qu'à les faire reculer dans l'opinion publique.
Réjean Labrie Répondre
30 novembre 2022Les pubs télé sont aussi tendancieuses et avides de reformater les esprits dans le sens voulu par les activistes des minorités.
La plus récente publicité télé des Assurances Bélairdirect:
1- On montre une femme blanche et une femme noire dans une auto, toutes 2 avec l'accent québécois, pour être certain qu'on ne pense pas que c'est une africaine ou une haîtienne, mais qu'elle est "comme nous au fond".
2- La femme blanche s'adresse à la femme noire en commençant par: "chérie,...." On nous fait comprendre sans détour et dès le départ qu'on a affaire à un couple de lesbiennes, et un couple interracial, nous présentant le tout comme la "nouvelle normalité". La propagande diversitaire commence dès le premier mot!
2 messages subliminaux sont envoyés en même temps: les lesbiennes, et les couples mixtes! Il ne manquait plus que la petite chinoise adoptée sur le siège pour bébé arrière.
3- la pub se termine par l'une qui dit à l'autre "je t'aime". Ne trouvez-vous pas qu'on commence à s'éloigner quelque peu du monde stérile des assurances où l'on doit prendre des décisions rationelles et la tête froide? Ma foi, c'est un véritable roman-savon avec détails croustillants et racoleurs! On s'attend presque à les voir s'embrasser.
4- la pub est présentée à toute heure du jour pour éduquer (lire endoctriner) les enfants à la confusion et l'absence de standards traditionnels.
Les comportements déviants des minorités se verront acceptés en autant qu'ils se montrent discrets et ne fassent pas exprès pour en faire étalage, s'exhiber et provoquer les gens aux valeurs traditonnelles respectables.
Voilà la simple règle à suivre. Les valeurs de la majorité doivent être respectées.