Patrice-Hans Perrier victime d'un coup monté de l'extrême gauche

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Un contributeur de Vigile censuré par Québecor pour de faux motifs

Montréal, Québec, le 16 mai 2019


Patrice-Hans Perrier, journaliste indépendant et libre-penseur, vient de perdre sa nouvelle chronique au sein du quotidien québécois Le Journal de Montréal. Motif de cette suspension : le principal intéressé aurait omis de déclarer certains faits d’armes au moment de présenter son offre de service à la haute direction de ce média mainstream. Ce géant de l’information peut compter sur un lectorat qui se rapproche du million en additionnant les internautes qui consultent l’édition montréalaise et celle de la ville de Québec. Cette décision prive Patrice-Hans Perrier d’une tribune qui lui aurait permis de faire percoler ses idées et prises de position auprès du plus grand nombre.


Vraisemblablement, à l’origine de cette malencontreuse histoire, un chargé de cours de philosophie, associé aux antifas et à la gauche institutionnelle montréalaise, a publié un texte diffamatoire sur sa page Facebook qui associait les prestations de Patrice-Hans Perrier avec une forme de propagande conspirationniste au service d’une « extrême-droite » difficile à définir. L’auteur de la diffamation affirme que monsieur Perrier aurait, par ses écrits et le partage de ses idées, contribué à encourager certains extrémistes d’« extrême-droite » à commettre des violences sur la voie publique. Une véritable campagne de dénigrement fut orchestrée alors que l’infortuné journaliste indépendant a été qualifié de suprémaciste, de raciste, de fasciste, de complotiste et d’autres fadaises du même genre.


Collaborant avec des médias de réinformation – à l’instar des Réseau international, Dedefensa, Boulevard Voltaire, Saker francophone ou Stratpol de ce monde – qui ne représentent absolument PAS des organes d’ « extrême-droite », Patrice-Hans Perrier tente depuis quelques années de développer une pensée critique qui repose, d’abord et avant tout, sur l’observation de la décomposition culturelle à l’œuvre dans nos sociétés postmodernes.


Libre-penseur d’obédience chrétienne, Patrice-Hans Perrier a déjà été tenté par la pensée néomarxiste à l’époque où il entreprenait des études en philosophie au niveau collégial.


Ayant cheminé au gré des dernières décennies, Patrice-Hans Perrier s’est forgé une pensée autonome qui lui aura permis de mousser une réflexion résolument métapolitique, à mille lieux de la doxa officielle. Ceci étant dit, l’auteur n’a jamais défendu des positions s’apparentant à une forme ou une autre de « fascisme » ou d’« extrême-droite », dans la mesure où ces appellations pourraient correspondre à une quelconque réalité en 2019.


Patriote et de sensibilité conservatrice, le principal intéressé estime que les clivages gauche-droite ont fait leur temps et que la joute politique ne rime pratiquement plus à rien au moment de composer ce communiqué.


Appuyant les Gilets jaunes français au niveau de leurs revendications, Patrice-Hans Perrier estime que l’information est biaisée à tous les échelons de la représentation médiatique. Voilà qui explique sa volonté de contribuer avec divers médias – actifs des deux côtés de l’Atlantique – appartenant à des courants de pensée disparates. Les seuls critères valables en matière de rayonnement médiatique demeurant l’esprit critique, le respect des faits et la liberté de conscience à ses yeux.


Victime d’une campagne de dénigrement, Patrice-Hans Perrier désire alerter ses concitoyens sur ce qui s’apparente à une restriction dramatique de la liberté de presse et à un resserrement des mesures de contrôle idéologique qui ont été mises sur pied par les oligarchies aux manettes.


Il y a péril en la demeure et tous les communicateurs de bonne foi ont intérêt à diffuser ce communiqué afin que le plus grand nombre saisisse l’importance de la chose.


Oublions la fracture gauche-droite, nous sommes rendus à une étape où les LIBERTÉS CIVILES, dans leur plus simple appareil, sont gravement menacées.