25 ans d'immigrationnisme

Non au type d'immigration conflictuelle et contraire à nos valeurs

L'inclusion de concession et de soumission a assez duré

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Tribune libre

Les Occidentaux se sont fait duper plus que de raison par les grandes politiques d'immigration des 25 dernières années axées sur l'ouverture illimitée au Tiers-Monde.


L'idée de départ était de s'ouvrir à l'immigration issue de tous les pays les plus sous-développés et les plus pauvres de la planète, prenant pour acquis que tous les candidats posséderaient la capacité de se hisser rapidement au niveau des sociétés les plus évoluées qui soient. On présumait également que ces immigrants ne demandaient pas mieux que de s'intégrer de bonne volonté et rapidement.



Mais il a fallu déchanter. L'échec est généralisé. Et les effets sont dévastateurs.


En effet, le constat est navrant: la grande majorité des immigrants issus des pays de misère arrivent ici hypothéqués par une éducation générale incompatible avec la nôtre, ou pire encore avec une mentalité conflictuelle antagoniste et coulée dans le béton.


Ce qui se vérifie:


- Ils sont endoctrinés à des principes religieux coercitifs dont ils ne peuvent se défaire.


- Ils sont élevés ailleurs avec des principes familiaux qui leur font adopter comportements et attitudes réprouvables ici.


- Ils ont une conception du travail qui va à contresens de la nôtre (productivité moindre, rendement personnel laissant à désirer).


- Ils divergent plus qu'ils ne convergent sur à peu près tout. Ils nous éloignent de notre centre vital.


- L'intégration est une notion qui semble les dépasser.


- Ils ne démontrent aucun intérêt à s'immerger dans notre culture.



L'addition de tout ces éléments négatifs produit un choc des cultures des plus malsain qui ébranle les fondations mêmes de nos sociétés.



Ce type d'immigrants ne s'installe pas ici pour bâtir un Québec plus québécois. Au contraire, on vient y jeter les bases d'une mini-Marrakech, une mini-Shanghai, une mini-Bombay, une mini-Damas, un mini-Congo, une mini-Mexico, qu'on s'applique diligemment à faire grossir d'année en année.


Le diagnostic différentiel est formel: ils souffrent d'une incompatibilité foncière aiguë incurable et inconciliable.



Les pays occidentaux ont-ils besoin de sentir la présence oppressante du tiers-monde dans leur environnement quotidien?



La réponse est non, sous aucune considération.



Les gens d'ici le sentent plus que jamais: la situation s'est dégradée à un point tel qu'une simple promenade dans les rues de Montréal nous projette l'image reconnaissable du tiers-monde surpeuplé et miséreux, avec un flot de personnes vêtues à l'ethnique ou à la mine étrangère indifférente quand elle n'est pas franchement hostile, des masses de gens qui s'amènent et s'installent tel quel, sans plus de considération pour nos façons de faire et de vivre.



Mais...


- Nous n'avons pas à accepter des gens qui ne font rien pour se faire accepter.


- Nous n'avons pas à se montrer ouvert envers ceux qui se ferment à notre société.


- Nous n'avons pas à être inclusif envers ceux qui s'excluent d'eux-mêmes par leur attitude et leurs comportements d'opposition.


- Nous n'avons pas à chercher à intégrer ceux qui refusent d'accomplir la réciproque.


- Nous n'avons pas à ouvrir nos portes à ceux qui s'enferment dans leur quartier et chez eux.


- Nous n'avons pas à être tolérants envers ceux qui ont des principes et des pratiques inacceptables à nos yeux.


- Nous n'avons pas à subir l'acrimonie de ceux qui maintiennent que leurs religions étrangères sont au-dessus de nos lois humaines et démocratiques et qui y tiennent mordicus.



Cela devrait aller de soi qu'une politique d'immigration vraiment utile devrait privilégier la catégorie d'immigrants qui nous ressemble le plus et qui ne risque pas de dénaturer l'âme collective d'un peuple.



Dans le cas de la démographie québécoise historique, cela correspond bien évidemment aux occidentaux dont nous sommes issus, comme l'ex-député nationaliste M. Jacques Brassard le faisait récemment remarquer.



Le message envoyé doit être clair: si vous venez ici avec l'intention de changer la moindre chose à notre société dans le but de la rendre plus proche de la vôtre, restez donc chez vous, ça ne nous intéresse pas.



Chaque nation de la Terre, et le Québec en est une dans le plein sens du terme, a le droit de conserver toutes les apparences de son peuple fondateur, sa ressemblance intrinsèque, son visage historique, sa continuité démographique, en un mot tout ce qui est à la base de son identité collective.



En un mot comme en mille, il faut répondre fermement non à l'immigration conflictuelle et contraire à nos valeurs.


Car l'inclusion de concession et de soumission a assez duré.


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Réjean Labrie Répondre

    20 novembre 2018

    Un exemple récent d'incompatibilité totale entre le tiers-monde sous-civilisé et l'occident.


    L'autre jour à l'émission Format familial à Télé-Québec, une émission propagandiste nettement pro-ouverture et pro-inclusivité face au tiers-monde (avec un animateur vraisemblablement choisi parce qu'il est issu de l'immigration), on présentait une famille de l'Afrique profonde venue s'établir ici avec ses 6 (oui, vous avez bien lu, 6) enfants pour bénéficier de tous nos avantages.



    Pour montrer que l'incompatibilité de mentalité entre des cultures trop opposées se détecte dans 1 001 détails, la mère déclarait que chez eux, les enfants n'ont pas le droit de regarder leurs parents et les adultes dans les yeux, que c'est considéré comme un grave manque de respect susceptible de réprimande et de punition.


    Quelle horreur, un enfant qui ose regarder ses parents, son professeur ou un adulte dans les yeux! Quel manque de savoir-vivre! Quelle effronterie! Quel insolence! Qu'on lui fasse baisser la tête immédiatement!


    Si ces gens accrochent sur d'infimes détails de comportement et d'attitudes comme celui-là, comment peut-on espérer qu'il puissent se hausser à notre niveau sur tout le reste? Imaginez leur incapacité à changer leur mentalité sur 1 000 autres points autrement plus importants. Une mentalité ne se change pas comme on veut une fois rendu à l'âge adulte.