Un nouveau mouvement politique

Mouvement Nationaliste Révolutionnaire Québécois : la Droite Socialiste

Les 10 points du MNRQ

La Dépossession tranquille

1.Le MNRQ est indépendantiste car il envisage le Québec comme une nation colonisée, qu’il est urgent de décoloniser. Les Québécois se croient libres alors qu’ils ne sont, en vérité, que les jouets des lobbies étrangers, qui les grugent et les exploitent, grâce à la complicité des classes dirigeantes, à qui ces lobbies jettent quelques morceaux de leur festin.
2.Le MNRQ est nationaliste car il défend l’identité et l’ethnicité du Québec; l’homme tient de la nature ses droits fondamentaux, mais ils ne lui sont garantis que par les communautés qui l’entourent : sa famille qui l’élève, l’emploi qui le nourrit, la Nation qui le protège. Les citoyens doivent à la Nation leur travail et leurs ressources.
3.Le MNRQ insiste sur l’indispensable obligation de fermeture des frontières à l’immigration de masse. Il suspendra le droit du sol et appliquera le droit du sang, la nationalité est un héritage intimement lié à l’origine ethnique qui est propre à chaque peuple.
4.Le MNRQ veut engager une rupture politique et sociale radicale afin de poser des bases nationales et socialistes en les substituant au mondialisme et au libéralisme.
5.Le MNRQ est antisioniste, il brisera l’échine de l’idéologie sioniste et de ses avatars politiques, pour rendre le pouvoir au peuple québécois.
6.Le MNRQ est socialiste, et veut libérer les masses sociales québécoises de la finance et du capitalisme international en prônant des dynamiques fondées sur la solidarité nationale. Tout citoyen qui cherche son bien propre hors de l’intérêt commun va contre la raison et contre son intérêt même.
7.Le MNRQ combat la suprématie montréalaise dans la vie publique québécoise au profit du Québec réel, car le MNRQ est d’abord et avant tout pour la défense du peuple québécois dans son intégralité.
8.Le MNRQ veut rendre le pouvoir au peuple en brisant le monopole technocratique de la bourgeoisie cosmopolite.
9.Le MNRQ veut engager une révolution démographique qui se base sur une politique de reconquête nataliste.
10.Le MNRQ est solidaire et soutient les peuples en lutte et ce, qu’ils soient européens, africains, orientaux ou asiatiques. Il est partisan de la cause ethno-différencialiste.


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17 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    18 septembre 2017

    Peu m'importent toutes les opinions futiles énumérés ci-bas lorsque j'exprime toutes mes félicitations et hommages à l'auteur de ces mots, aussi plagiés furent-ils.
    Tous les peuples ont droit à la défense de leur représentation sociale, les blancs également. Celui qui fait front à ces principes justes et rationnels résonne aussi erronément qu'un raciste qui ne juge les gens que par la couleur de leu peau.

  • Claude Charest Répondre

    29 janvier 2011

    De Wikipedia :
    alors que pour l'historien Ian Kershaw, le nazisme fait partie des « mouvements extrémistes antisocialistes »[16].
    L'ensemble des mouvements socialistes ont été réprimés par le nazisme, les ouvrages des auteurs socialistes étaient brûlés lors des autodafés nazis, et les divers courants socialistes ont été très actifs dans la résistance allemande au nazisme.
    Le MNRQ mélange peut-être certains éléments mais le traité de nazisme ! Holà du calme.
    Est-ce que la droite dirait ceci ? :
    6.Le MNRQ est socialiste, et veut libérer les masses sociales québécoises de la finance et du capitalisme international en prônant des dynamiques fondées sur la solidarité nationale. Tout citoyen qui cherche son bien propre hors de l’intérêt commun va contre la raison et contre son intérêt même.
    8.Le MNRQ veut rendre le pouvoir au peuple en brisant le monopole technocratique de la bourgeoisie cosmopolite.
    10.Le MNRQ est solidaire et soutient les peuples en lutte et ce, qu’ils soient européens, africains, orientaux ou asiatiques.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2011

    Je viens de lire le tout et je constate qu'il s'agit d'un copier-coller d'un mouvement outre atlantique. Je soulève qu'il y a un énorme manque de nuances sur la majorité des termes employés. Puis surtout, il n'y a aucune explications des contextes de ceux-ci. Pour savoir ce que ces termes représentent dans le pays d'où vient ce texte. Je peux vous assurer que ces termes légitimes dans le contexte du pays d'origine, est une erreure monumental pour le Québec. Sauf si le copieur, donc l'auteur , ici, a envie de sabotter le mouvement indépendentiste.
    Je constate donc une paresse évidente, car en plus de copier, cette personne n'a pas pris la penne de saisir les besoins Québécois et de comprendre le sens de la géopolitique au Québec.
    Je constate donc une grande volonté de changer les choses, mais avec une très faible culture politique de son propre pays. Soutenue par une ignorance sociologique de ses propre compatriotes.
    Je suggère que celui-ci reprenne son texte, révise et fasses les efforts intellectuels cohérents avec sa propre nation.
    Ps: Le Quebec depuis ses debut, bien avant que ce soit le Quebec même, a toujours favorisé une idée que le nouvel arrivant vaut autant que le citoyen qui est là depuis toujours. C,est ce qui nous différentie des Anglais, depuis la nuit des temps.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2011

    Je fais très attention à la qualité de l’écriture, et malheureusement j’ai laissé quelques fautes passer. Désolé.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2011

    En fin, dans les contextes socio-économiques instables on en trouvera toujours plusieurs pour justifier des opinions radicalisées, appuyant l’idée de l’exclusion sociale des immigrants. C’est une forme de replis sur sois pour se protéger d’un environnement ou d’un contexte économique devenu trop agressant.
    En perdant de vue les vraies raisons des pertes massives d’emplois, une portion fragilisée et malléable de la population cherche des réponses, et on trouve sur son chemin de nouveaux venus ayant des réponses toutes faites, et surtout des boucs émissaires venant occulter les véritables raisons. C’est véritablement dans ces contextes instables que les esprits fragilisés sont le plus perméables à ces formes d’invectives contre les immigrants.
    Hitler avait su saisir la fragilité économique de son pays pour faire passer ses idées moins nobles, car le contexte socio-économique lui donnait tous les leviers dont il avait besoin pour réunir une partie de la population au sein de son armée. Ainsi, on s’en est pris aux gitans, aux juifs et aux handicapés. On justifiait la nécessité d’un nettoyage ethnique sur la base de la création d’une race pure.
    La trilogie néolibérale considère le marché déréglementé comme étant parfait, évoluant sur des prémisses similaires de pureté. L’économiste de Chicago, Monsieur Friedman, considérait son approche ou son système comme étant parfait, il défendait bec et ongle l’idée de la déréglementation, de la privatisation et de la réduction des dépenses publiques. Leur système est basé sur l’hyper compétitivité et le libre marché à travers la mondialisation, un marché qui doit être laissé à lui-même, car il s’auto équilibrerait, ce qui est faux comme le démontre bien Joseph Stiglitz, économiste de réputation internationale.
    Alors, lorsqu’on soutient l’idée d’un système parfait en économie, on assiste à une structure où le plus fort l’empoche, cette approche repose sur les théories de la sélection naturelle et du darwinisme social. Elle est dangereuse, car elle s’apparente à une forme d’eugénisme économique où seuls les plus forts survivent. La trilogie néolibérale a été supportée ou imposée à des générations de gouvernements successifs. Ces méthodes ont fait de grands torts aux économies sociales, en laissant chaque fois plus de gens à eux-mêmes. Les récentes données font ressortir que des dizaines de pays sont actuellement plus pauvres qu’ils ne l’étaient il y a 20 ou 30 ans. Ces pays sont surendettés. On les maintient dans la pauvreté par la dette, laquelle rapporte annuellement plus de 300 milliards de dollars aux pays les plus riches. Ces pays pauvres payent les intérêts de leurs dettes, mais sans jamais pouvoir rembourser le solde, ainsi leurs dettes augmentent constamment, ils sont réduits à l’endettement à perpétuité! C’est Jean Ziegler dans son livre « L’empire de la honte qui décrit très bien cette situation. »
    La pauvreté et le chômage sont des créations de l’homme. Mettons-nous un seul instant à la place des plus démunis de la planète, ne chercherions-nous pas nous aussi un avenir meilleur au sein d’une terre d’accueil favorable à notre développement dans tous les sens du mot?

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2011

    En parlant de pertes d’emplois, l’exemple de Detroit au Michigan est probant. Suite aux nombreuses restructurations de l’industrie automobile, des centaines de milliers de travailleurs ont perdu leurs emplois. Avant la crise 2008-2009, on savait depuis plus de 10 ans qu’une masse critique de travailleurs allaient prendre leur retraite, ce qui mettrait des pressions économiques énormes sur la compétitivité des entreprises américaines de l’automobile. J’y reviendrai passé les deux paragraphes suivants.
    Cela dit, on sait maintenant que la crise économique 2008-2009 aurait pu être évitée si on avait mieux encadré et régulé les banques ayant émis des milliers de milliards de dollars d’actifs hyper spéculatif. On a pointé du doigt Wall Street, Bernanke, Goldman Sachs pour leur trop grande quantité d’opérations risquées. On sait que des initiés au sein de la Goldman Sachs ont créé cette situation de toutes pièces en toute connaissance de cause, leur stratégie était gagnante pour eux dans tous les cas, y compris en présence d’une grande crise des systèmes financiers. Par ailleurs, ce sont ces grandes banques qui sont sorties gagnantes de la crise. Les PCAA, papiers commerciaux adossés à des actifs, n’étaient rien d’autre que de la spéculation créée sur la base des millions de prêts hypothécaires fragiles dont on savait qu’une bonne partie de la population ne pourrait pas rembourser. Cette immense bulle financière a éclaté en 2008-2009, et pourtant plusieurs avaient sonné l’alarme plusieurs années d’avance, mais on ne les a pas écoutés. Parmi ceux qui dénonçaient cette situation, on avait Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie.
    Le PIB mondial était d’environ 26 000 milliards en 2002, et l’économie spéculative était évaluée à 1 100 000 milliards. À peine six ans plus tard, en 2008, le PIB mondial était de 56 000 milliards et l’économie spéculative était à 2 100 000 milliards. Le débalancement est évident entre l’économie réelle et l’économie spéculative basée essentiellement sur la création de la dette et des intérêts que ça peut rapporter.
    Ayant brossé ici ce petit portrait, la crise économique 2008-2009 a été créée de toutes pièces, elle a justifié une vaste opération de rationalisation du marché du travail à l’échelle planétaire, et ce, même à l’intérieur d’entreprises très profitables. Chez CAE à Montréal, on a viré 600 employés, alors que l’entreprise faisait des profits de 1 milliard 500 millions. À Détroit, on a forcé les travailleurs à accepter des baisses importantes de leur salaire de retraire, on a encore mis massivement des gens au chômage, et on a demandé aux travailleurs de travailler encore davantage tout en acceptant une diminution salariale. Ça, ce n’est que pour le travail.
    La crise financière dans son ensemble, aux États-Unis seulement a fait perdre plus de 8 millions d’emplois. En 2008-2009, près de deux millions de maisons ont été saisies par les banques. En 2010, 1.2 million de maisons ont aussi été saisies. Et on s’attend à ce qu’environ 1.5 million de maisons soient encore saisies en 2011-2012. Les gens de Detroit, en plus de perdre leurs emplois, n’ont pas échappé à ces saisies massives. Le taux de chômage y est maintenant très élevé, 80 000 maisons sont abandonnées. Lorsqu’un incendie se produit dans une maison, à peine deux jours sont passés que tout est vidé et arraché, y compris les fils électriques contenant du métal pour la revente sur un marché parallèle. Tous les grands magasins à grande surface ont quitté la ville de Detroit, il ne reste plus que des dépanneurs pour nourrir la population aux croustilles, à la bière et à la nourriture en conserve. Dans ce cas précis, on peut parler d’un véritable néolibéralisme sauvage où on se moque complètement de la qualité de vie des gens laissés à eux-mêmes, sans emplois, à la rue, ayant de la difficulté à se nourrir.
    À peine deux ans plus tard, en 2010, les entreprises américaines de l’automobile commèrent à renouer avec les profits, et pourtant elles étaient en situation de faillite deux ans auparavant! Si je ne m’abuse, Oldmobile annonçait une voiture puissante de 550 chevaux en 2010! Ont-ils vraiment saisi la chance de créer des voitures moins énergivore et moins polluante, plus compétitives?
    Quand aux banques à qui on avait fait de très généreux prêts pour les sortir de leurs prétendus embarras, en juin 2009, 10 des plus importantes banques américaines avaient remboursé d’un seul bloc 73 milliards de dollars, la veille d’être placées sous une forme de tutelle. Hum! Ça en dit long.
    —————
    Bon, certains osent encore avancer une vieille idée que ce sont les immigrants qui volent les emplois et qui créent le chômage. À la lumière de ce que je mentionne ici, on constate jusqu’à quel point les immigrants n’ont rien à voir avec les emplois perdus. Ce n’est définitivement pas eux le problème.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2011

    Les nombreuses cultures sont venues enrichir notre imaginaire collectif, par leur art culinaire, leurs chants, leurs vêtements, leurs valeurs, etc.
    Lorsqu’on tente de fermer nos frontières sur la base du sang, on parle de pureté, on parle de race pure, et dans ces conditions, en effet, on se prépare à commettre les pires bêtises. La montée de l’intolérance, c’est très dangereux. Ce mouvement de repli qu’on observe aussi en France et ailleurs ne laisse présager rien de bon. Si on a un peu de connaissance, on sait qu’aucune culture ou race n’est entièrement pure, c’est une vue de l’esprit.
    En fait, sur le plan biologique, le métissage est très bon il favorise des systèmes génétiques plus forts, car il y a moins de risques de retrouver des gènes récessifs ou gènes défectueux entre deux individus d’une même culture.
    C’est Françoise David qui a raison, sur toute la ligne! Françoise David est une personne brillante et articulée, elle ne se laissera pas intimider aucunement.
    Nous ne devons jamais perdre de vue que nous sommes plus vulnérables aux préjugés lorsqu’on évolue en vase clos, isolé des autres cultures.
    Einstein disait : « Il est plus difficile de désagréger un préjugé qu’un atome ». Nous devons tout faire pour éviter que les préjugés s’installent, lesquels mènent toujours à l’isolement et à l’oppression face aux peuples isolés. Le monde est déjà assez violent comme ça, il ne faudrait pas le faire par exprès!
    Ce n’est pas l’immigration qui est le problème, c’est la juste redistribution des richesses. Ce ne sont pas les immigrants qui viennent voler nos emplois, comme certains le pensent à tors. Plusieurs immigrants sont des entrepreneurs qui créent des emplois. Plusieurs ont un très haut niveau de formation générale.
    Si les emplois s’envolent, c’est parce qu’ils ont été délocalisés par dizaines de millions depuis les 30 dernières années, au profit des transnationales ayant profité au maximum des vagues successives de déréglementation des marchés de la mondialisation néolibérale, depuis Tatcher, en passant par Reagan et se terminant sous Clinton en 1998. C’est la même vielle histoire, la maximisation des profits, produire au moindre coût possible pour revendre au meilleur prix. La rareté des emplois est une affaire de concentration des marchés dans les mains d’une nouvelle oligarchie : en 2008, 300 familles se partageaient la moitié du PIB mondial, soit la somme astronomique de 28 000 milliards de dollars, le PIB total étant de 56 000 milliards à ce moment. On doit savoir que 300 secteurs d’activité économique sur 500 sont en situation d’oligopole, ce sont des presque monopoles ou évoluent deux ou trois joueurs majeurs qui parfois fixent les prix entre eux, entre autres les bourses des agrocarburants où on a stocké des millions de tonnes de céréales pour spéculer sur les marchés, ce qui avait privé en 2007-2008, des dizaines de millions de gens d’une nourriture abordable. Que devons nous faire dans une telle situation : laisser ces gens les plus démunis crever de la manière la plus dégueulasse qui soit, sur les bases de l’hyper compétitivité des marchés, etc.?
    C’est Jean Ziegler dans son livre «L’empire de la honte» qui dit que par la dette et la faim on met les peuples les plus démunis à genoux, ainsi ils abdiquent tous leurs droits, abandonnent leurs ressources naturelles et leurs territoires aux ogres de la finance internationale, dont la seule vraie valeur se mesure en termes de compte en banque, ce qui finit toujours par créer des tensions telles qu’elles finissent en règlement de compte, c’est exactement ce qui se passe actuellement en Tunisie.
    Ça prend des partis comme Québec solidaire pour défendre des valeurs plus humaines.
    Je te l’avais dit Christian que je reprendrais du service!
    L’hospitalité est le meilleur moyen de faire tomber les préjugés et de créer un climat de confiance propice à la paix.

  • Archives de Vigile Répondre

    24 janvier 2011

    Votre credo invite bien des questions: que ferez-vous des Québécois de souches diverses établis au Québec depuis des générations qui ont permis grâce à leur travail au coude à coude avec leurs concitoyens dits " de souche" de faire évoluer le Québec à une vitesse remarquable? Je pense aux Écossais, Irlandais, Juifs, Italiens et Grecs qui ont aidé à bâtir ce Québec que nous aimons, qui ont érigéi des universités, des hôpitaux, des centres culturels de renommée internationale. Saisirez-vous leurs biens? Leur ferez-vous porter une fleur de lys jaune sur les vêtements et construirez-vous des ghettos pour les y parquer avant de les déporter en masse pour les faire mourir? Cela a déjà été fait avec un certain succès. Les Nations-Unies, dans leur composition actuelle, pourraient même vous féliciter de cette initiative.
    Pensez-vous aussi, dans un but nataliste, construire des maisons-fabriques de bébés oû vous parquerez des jeunes filles "de souche" pour les faire enfanter à répétition? À moins que vous ne pensiez déjà à l'interdiction de vendre des contraceptifs, d'éduquer les filles et au port obligatoire de la burka pour les femmes en âge d'enfanter? Les Talibans ont trouvé des moyens efficaces d'implanter des politiques natalistes qui pourraient vous inspirer.
    Quant au B'nai Brith Canada, vous auriez intérêt à vous informer davantage sur sa mission et ses programmes. C'est le seul organisme de défense des droits de la personne qui a soutenu le projet de loi du gouvernement québécois visant à interdire le port de vêtements tels que le niqab et la burka pour les personnes qui travaillent au gouvernement et pour celles qui demanderaient des services gouvernementaux. Son rôle est principalement d'aider à bâtir une société qui permettra au plus grand nombre de citoyens de s'épanouir, de vivre et de vieillir dans la dignité et le respect de leurs droits.
    Toutes les sociétés fermées et intolérantes sont violentes et attardées, dirigées par des dictateurs génétiquement et psychologiquement tarés qui s'engraissent aux dépens de leurs peuples. Salut les armes et la corruption!
    En revanche, je vous appuie totalement lorsque vous dénoncez l'immigration de masse mal pensée et mal gérée. Je vous suggère donc de vous battre pour un contrôle plus intelligent de l'immigration, des programmes d'intégration à la société québécoise débutant dans le pays d'origine et l'arrêt immédiat de l'immigration et la déportation rapide des personnes qui ne partagent pas nos valeurs judéo-chrétiennes et dont le seul but est de venir bouleverser notre société pour y imposer leurs lois rétrogrades et barbares.

  • Archives de Vigile Répondre

    13 janvier 2011

    @Gaetan :
    Nous nous sommes en effet inspirés des 20 points du Parti Solidaire Français - anciennement Droite socialiste - présidé par Thomas Werlet. Cela ne représente en rien une incapacité à réfléchir par nous-mêmes. Nous nous inspirons aussi d'autres intellectuels et militants nationalistes révolutionnaires européens tels que François Duprat, Ramiro Ledesma Ramos, Ernst Jünger, Ernst Niekisch, les frères Gregor Strasser et Otto Strasser, Christian Bouchet, Alain Soral, Serge Ayoub, Louis Alexandre et Alain de Benoist.
    Pour ce qui est de notre engagement antisioniste, c'est vous qui êtes ridicule de nier la présence du lobby sioniste chez nous. Que sont alors pour vous les B'nai Brith, Congrès juif canadien, Comité Canada-Israël, Conseil canadien pour la défense et la promotion des droits des Juifs et d'Israël? Que faites-vous de la radicalisation pro-sioniste dans la presse et la politique canadiennes?

  • Archives de Vigile Répondre

    10 janvier 2011

    C'est pas sérieux ça de plagier un site :
    http://fr.metapedia.org/wiki/Parti_solidaire_fran%C3%A7ais
    en remplaçant "français" par "québécois" et "le parti" par "MNRQ". Le plus marrant est que vous ayez quand même choisi de garder :
    "Le Parti est anti-sioniste, il brisera l'échine de l'idéologie sioniste et de ses avatars politiques, pour rendre le pouvoir au peuple français."
    alors qu'il n'y a pas de débats sur cette question au Québec tout simplement parce qu'il n'y a pas de lobby sioniste qui vole le pouvoir au Québécois.
    Essayer plutôt de réfléchir par vous-même et déterminer une politique qui encourage le pluralisme culturel au Québec. Ça fera du bien à tout le monde.

  • Jean-Philippe Décarie-Mathieu Répondre

    2 janvier 2011

    @Christian:
    "Cela rappelle beaucoup les valeurs nazies défendues par le national socialisme d’Hitler."
    C'est comme dire que celles de Québec Solidaire me rappelent celles de Staline... pas super pertinent comme commentaire.

  • Jean-Roch Villemaire Répondre

    1 janvier 2011

    M. Gervais,

    Votre commentaire relève au mieux de l’ignorance, au pire de la calomnie. Je suis à des années lumières des idéologies répugnantes, comme le nazisme, motivées par la haine de l’autre. Ma dénonciation des pratiques d’immigration n’est pas inspirée par un sentiment xénophobe. Il faut vraiment refuser de voir la réalité ou céder à la peur du politiquement correct pour considérer que l’immigration ne pose aucun problème à notre nation. Car nous avons affaire à une immigration à la fois massive et totalement incontrôlée qui est la cause de nombreuses et très graves difficultés pour le Québec et les Québécois. En réalité, il est temps de comprendre que l’immigration actuelle est un fléau qui provoque beaucoup de souffrances humaines chez les immigrants, mais aussi, il ne faut pas l’oublier, chez les Québécois. Il faut dénoncer les effets pervers que l’immigration de masse impose à notre nation non seulement dans le domaine de l’emploi, de la fiscalité, de l’insécurité, mais aussi et surtout, de façon plus insidieuse, dans le processus de déstabilisation de notre société, dans la modification même de sa nature profonde. Car il est clair, qu’en laissant entrer 1,5 millions de personnes en 25 ans, des dirigeants cyniques ou inconscients ont choisi de modifier tant le fond que la forme de notre société. L’ultra-libéralisme, le laxisme généralisé, l’abandon des valeurs, ont des conséquences tragiques aussi bien sur le plan économique que sur le plan moral : aggravation dramatique des déficits budgétaires, une société traumatisée effrayée face à son avenir, déboussolée, ayant perdu tout repère et toute perspective. Dénoncer cela n’est pas du racisme, c’est du bon sens. Il est de plus franchement décevant et surprenant que vous dénonciez un membre de votre Parti. Un membre qui a porté les couleurs du PI à deux reprises dans la circonscription de Hull. Un membre qui a donné temps et argent pour la cause défendue par le Parti Indépendantiste et par Éric Tremblay. Et sachez que cette cause que je défends c’est celle de l’indépendance nationale du Québec. Rien de moins.

  • Archives de Vigile Répondre

    31 décembre 2010

    ean-Roch Villemaire écrit :
    "Nous nous réclamons de la gauche du travail et de la droite des valeurs contre le système composé de la gauche libertaire et de la droite libérale. Pour paraphraser le national-syndicaliste espagnol Ramiro Ledesma Ramos : nous distinguons deux leviers : d’une part l’idée nationale, c’est-à-dire la Nation en tant qu’entreprise historique et garantie d’existence historique des Québécois ; d’autre part l’idée sociale, l’économie socialiste, comme garantie du pain de tous les jours et du bien-être économique du peuple. Au-delà de la gauche et de la droite, la Nation et le Peuple !"
    Voilà. C'est bien ce que son premier texte (sur le Mouvement nationaliste révolutionnaire québécois) permettait déjà de constater. C'est du national-socialisme tout craché ça, du nazisme autrement dit. On n'avait pas besoin de se faire dire que ce MNRQ conjugue l'"idée nationale" et l'"idée sociale" pour le savoir, mais c'est encore plus clair ainsi.
    Plus clair et parfaitement sauté. Il y a là un dérapage identitaire et ethnicisant à cent lieues de la lutte politique pour l'indépendance.

  • Jean-Roch Villemaire Répondre

    31 décembre 2010

    Comme l'écrivait le national-bolchévique russe Édouard Limonov : il n'y a plus ni gauche ni droite, il y a le système et les ennemis du système. Voilà pourquoi le Mouvement Nationaliste Révolutionnaire Québécois rejette les étiquettes de gauche ou de droite et les dogmes d'un autre siècle : communisme, nazisme, fascisme et en appelons au rassemblement des Québécois qui font de la Nation le cadre déterminant de leur action politique et qui font de la solidarité et de la fraternité nationale une composante essentielle du nationalisme. Nous nous réclamons de la gauche du travail et de la droite des valeurs contre le système composé de la gauche libertaire et de la droite libérale. Pour paraphraser le national-syndicaliste espagnol Ramiro Ledesma Ramos : nous distinguons deux leviers : d'une part l'idée nationale, c'est-à-dire la Nation en tant qu’entreprise historique et garantie d'existence historique des Québécois ; d'autre part l'idée sociale, l'économie socialiste, comme garantie du pain de tous les jours et du bien-être économique du peuple. Au-delà de la gauche et de la droite, la Nation et le Peuple !

  • Archives de Vigile Répondre

    29 décembre 2010

    Plusieurs points de cet énoncé demanderaient une critique circonstanciée. Il y a de bonnes choses et d'autres qui sont discutables ou qui, au moins, demandent éclaircissements. Le commentateur qui m'a précédé ne semble pas de même avis puisqu'il a déjà gagné son point Goodwin. Ça coupe court à toute discussion. Est-ce souhaité par certains membres d'une mouvance pourtant ouverte et démocratique. «Reducto ad hitlerium» ?

    GV

  • Archives de Vigile Répondre

    29 décembre 2010

    Monsieur Villemaire,
    Votre projet est totalement faciste, dans le sens premier du terme, et non pas pas dans son sens péjoratif et méprisant (genre, quand on accuse un flic d'être "facho". Désolé, c'est un non absolu pour votre truc. Ce que vous voulez faire exige un État hyper autoritaire. Vous saissisez bien l'esprit de Mussoluni, vous savez préparer un petit programme populo/populiste du genre dangeureux. Vous méritez un A.
    Quant à toi, Christian, tu mérites un C (et je suis généreux). Pourquoi? Parce que quand on se dit de gauche, on sait la différence entre un faciste et un nazi. Désolé, mais il y en a une, et pas à peu près.
    Michel Gendron

  • Christian Montmarquette Répondre

    28 décembre 2010

    Mouais...
    Ça fait plutôt peur mon Jean-Roch..
    Cela rappelle beaucoup les valeurs nazies défendues par le national socialisme d'Hitler.
    Je crois qu'il est plus que possible et de loin préférable de faire accéder le Québec à son dépendance politique autrement qu'en retournant à des valeurs réactionnaires.
    Christian Montmarquette
    e nazisme ou national-socialisme `:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nazisme
    .