Il y a près de 40 ans, la réputée ethnologue José Mailhot écrivait dans la revue Recherches amérindiennes au Québec : « Du seul fait qu’elles ne possèdent pas de genre grammatical masculin ou féminin, les langues algonquiennes disposent de moins de mécanismes pour encoder l’idée de l’inégalité entre les sexes. »[1]
Voilà justement pourquoi les wokes de la langue veulent appauvrir le français, que d’aucuns estiment sexiste, avec leur rédaction épicène ou non binaire, leur écriture inclusive ou formulation neutre[2]. Le Petit Robert a déjà commencé le travail de sape avec son pronom non genré « iel ». Ne les laissons pas transformer notre belle langue en sabir incompréhensible.
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