Manifestement, la présence des forces patriotes sur les médias sociaux semble déranger les géants de la Silicon Valley. C’est ainsi qu’une vague de fermeture de pages ou de comptes s’est abattue récemment sur les médias sociaux tels que Facebook, Twitter ou YouTube.
Notre collègue, Eric Pilon, nous rappelait dernièrement que l'organisme Infowars, dirigé par le mondialement célèbre Alex Jones, a été banni de Facebook, d'Apple, de YouTube et de Spotify, le 6 août, pour ne pas avoir respecté les conditions d'utilisation. Voilà que le couperet s’abat maintenant sur la tête des patriotes au nord de la frontière américaine.
Les patriotes dérangent
C’est ainsi que la page Facebook de l’organisme Horizon Québec Actuel (HQA) a été supprimée durant la première semaine du mois d’août et les membres de la direction ont été incapables d’en savoir plus sur les véritables motifs de cet acte de censure. Par ailleurs, les responsables de la censure ont fait en sorte que l’algorithme de recherche Facebook élimine toute référence à l’ancienne page d’HQA.
Rejoint au téléphone, Alexandre Cormier-Denis, président d’HQA, ne semble pas surpris par cette mesure qui « représente une suite logique à la vague de répression qui s’abat sur le camp patriote des deux côtés de l’Atlantique. N’oublions pas que la chaîne YouTube de TV Libertés [une télévision web patriote française] a été fermée il y a quelques semaines ».
Le camp globaliste panique
Alexandre Cormier-Denis, loin de lancer la serviette, estime que toute cette censure « prouve que les élites multiculturelles et globalistes sentent que le peuple ne suit plus leur propagande trompeuse ». Soulignant le côté ridicule de l’affaire, il avance que « si tous les leaders d’opinion sont censurés sur Facebook, il ne restera plus que des pages mettant en vedette des photos de la vie domestique des internautes ».
Rappelons qu'HQA est un club de réflexion politique qui a mis sur pied son propre site Internet et produit des capsules d’information sur sa chaîne NOMOS TV. Ses membres considèrent que « défendre le français, c’est défendre l’âme vivante et le cœur battant du peuple québécois. Renoncer au combat pour la langue française, ce serait perdre l’idée même de nation québécoise ».