Je lisais le dernier et très intéressant texte de M. Claude G. Thompson sur la personnalité de Philippe Couillard et plusieurs question me sont venues à l'esprit. Les attitudes étranges de cet homme, surtout en ce qui concerne les religions et l'Islam en particulier laissent songeur. On a souvent élaboré sur les revenus extérieurs possibles de Philippe Couillard à l'instar de Jean Charest, son prédécesseur dans la destruction du Québec, qui lui, recevait, dit-on, 75 000$ par année du Parti Libéral du Québec. Comment pourrait-on expliquer qu'un personnage semblable - qui peut, avec ses spécialités médicales, gagner plus d'un million par année, ici même au pays - se contente d'une couple de cent mille dollars provenant du salaire officiel d'un premier ministre?

Un tel dévouement ne tient pas la route, surtout quand on le voit agir. Sa morgue vis-à-vis ses concitoyens laisse aussi songeur, surtout vis-à-vis de ses adversaires, bien sûr. On dirait que lui et toute sa bande de ministres se sentent tellement inatteignables et arrogants que cela laisse penser qu'une force puissante agit derrière eux, les soutient.

Nous savons depuis longtemps que la plupart des politiciens et politiciennes qui, dit-on, gouvernent les états, ne sont en fait que des pions au service de la force obscure des banquiers, qui par les dettes nationales à taux d'intérêt non remboursables, tirent, en fait, les ficelles des politiques appliquées à la population laborieuse. Cette population laborieuse commence à comprendre que c'est tout le système des prêts aux États englués dans l'arnaque des taux d'intérêt composés, comme je le disais, impossibles à rembourse, le moteur sous-jascent qui rend les politiciens élus aussi manipulables, achetables, à la limite pourris. Les politiques de ces derniers ne sont conçues que pour satisfaire les banquiers et les financiers de haut vol sous toutes sortes de prétextes et de faussetés. Le gouvernement Couillard nous en montre un exemple vibrant lui qui détruit en un tour de main 40 ou 50 ans d'acquis sociaux, suivant en cela la recette de l'avènement du gouvernement mondial élaboré dans les années 1770 par certains banquiers de l'époque.

Si je reviens à l'attitude étrange de Philippe Couillard vis-à-vis de l'islam et surtout de la violence qui y est souvent associée, je me pose quelques questions. Je ne fais pas d'affirmations, je n'ai pas de preuve mais serait-il possible que, compte tenu de sa présence comme médecin en Arabie saoudite, pays connu pour l'application du wahhabisme, l'islam rigoriste, rétrograde, antiféministe, pour se fondre parfaitement dans sa fonction, aurait pu, en apprenant l'arabe, devenir musulman? Si cela s'avérait, l'explication de ses attitudes politiques coulerait de source. Nous savons maintenant que l'Arabie saoudite finance l'implantation de mosquées et d'écoles islamistes au Québec et ailleurs aussi. Serait-ce que l'arrogance des politiques et des politiciens de ce gouvernement s'appuie sur une financiarisation venant de ce dernier pays? Si c'était le cas, il est logique que ce Couillard et ses sbires ne veuillent, en aucun cas déplaire à cette puissance toute puissante de l'ombre, contre nous, bien sûr.

Si quelqu'un avait des réponses documentées à ces questions, il serait extrêmement intéressant de les connaître.