La directrice de santé publique de la Mauricie-Centre-du-Québec, Madame Isabelle Goupil-Sormany rappelle son rôle de mettre en lumière les faits et l’argumentaire scientifique de façon à fournir des informations claires, justes et pertinentes pour la population… Mais elle se garde bien d’expliquer à la population que :
-* La fluoration est un danger pour notre santé : la science récente montre que le fluorure est une neurotoxine qui endommage le cerveau en développement et un perturbateur endocrinien qui affecte la fonction thyroïdienne. Les neurotoxines et les perturbateurs endocriniens n’ont tout simplement pas de place dans notre eau potable.
-* La fluoration est inutile : contrairement au chlore, les fluorures ne traitent pas l'eau pour la rendre potable. Ils sont ajoutés dans le seul but de réduire prétendument la carie dentaire. Mais les fluorures sont facilement disponibles dans le dentifrice et autres produits dentaires, donc il n'y a pas lieu de forcer toute une population à ingurgiter de l’eau artificiellement fluorée.
-* La fluoration viole nos droits : l’approvisionnement public en eau avec un médicament viole le droit à un consentement éclairé. Aucun autre médicament n’est ajouté à l'eau et il n'y a aucune raison de faire une exception pour le fluorure.
-* La fluoration est inefficace : le principal avantage des fluorures proviendrait de l'application topique et non par son ingestion. Il n’y a donc aucun avantage significatif de l'avaler. La grande majorité des pays industrialisés ne fluorent pas leur eau et leur taux de carie dentaire est tout aussi bas que les nations fortement fluorées tel que les Etats-Unis.
-* Les produits chimiques de la fluoration contaminent nos aliments : ils sont des déchets industriels (acide fluorosilicique) de l'industrie des engrais phosphatés. Une fois qu'ils sont ajoutés à l'eau publique, non seulement ils contaminent chaque verre d'eau du robinet que nous buvons, mais tous les produits alimentaires et des boissons faites avec cette eau.
-* L’acceptabilité sociale est une des conditions sine qua non du rapport de la Commission parlementaire d’avril 2013 et on n’en tient pas compte à Trois-Rivières, car près de 17 000 citoyens ayant signé la pétition de la CTETS s’y opposent fermement.
-* Il y a des moyens beaucoup plus sûrs et moins intrusifs pour la protection de la santé dentaire que la fluoration de masse de notre eau et de notre nourriture.
La directrice de santé publique annonce une nouvelle étude qui vise à démontrer l’efficacité de la fluoration dans un contexte contemporain, mais elle n’informe pas la population que cela se fera sur le dos des enfants trifluviens cobayes qui se verront imposer de l’eau fluorée artificiellement avec un produit chimique non règlementé par Santé Canada, impropre à la consommation humaine, et ce sans égard à plusieurs règles du code d’éthique des médecins et des dentistes.
Quels sont les intérêts financiers et autres qui motivent tant les autorités du MSSS à poursuivre ce programme nocif et absurde qui sévit depuis trop longtemps au Québec?
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9 commentaires
Archives de Vigile Répondre
11 janvier 2016@ "Germain le Gentil"
Je suis d'accord avec vous, j'ai manqué de vigilance, et aurait dû faire une recherche plus approfondie. Les preuves ne sont pas suffisament concluantes. On ne m'y reprendra plus :)....
Navré.
D'ici là: http://fluoridealert.org/
Serge Jean Répondre
8 janvier 2016À monsieur Germain Le Gentil
Du chlore ou du fluor, appellez-le comme vous voudrez, donc dans un verre d'eau «potable» c'est carrément imbuvable;il me semble que c'est suffisant pour refuser cette merde dans notre eau.
Qui est le peuple ici, nous, ou les énarques vendus?
Philippe Giroul Répondre
8 janvier 2016Bar ouvert pour la fluoration
Pour compléter les informations de Gilles Rinfret, il me semble pertinent d'ajouter que :
Nous ne pouvons pas obtenir des informations détaillées mises à jour du budget de la Santé publique – Promotion et prévention en santé dentaire/fluoration – Prévision du fonds 9063-03, poste budg.02-04-13-01-BK pour les années 2012, 2103, 2014 et 2015
Malgré des demandes répétées d’accès à l’information auprès de Bernard Laporte, nous n’avons toujours pas reçu ces informations. Qu'est ce que le MSSS veut cacher?
Il semble que là, c’est le bar ouvert… puisque dans le cas de Trois-Rivières, selon nos informations, les factures sont envoyées directement au MSSS au fur et à mesure de l’avancement des travaux et sont payées par Sigma-santé. Et cela sans appel d"offres pour les travaux exécutés ou à venir.
Archives de Vigile Répondre
7 janvier 2016Je vous prierais d'ignorez les prétentions historiques de "Jean Brillant" concernant la fluoration dans les camps nazis, car après vérification je peux vous affirmer sans hésitation qu'il n'existe pas la moindre preuve que les camps nazis ont été fluorés. Paul Connett, porte-parole de Fluoride Action Network (le plus gros groupe anti-fluoration en Amérique du Nord et dans le monde), souligne que ça ne sert pas les intérêts du combat contre la fluoration de répandre des rumeurs infondées comme celles de la fluoration des camps nazis. À ce sujet, Connett n'a trouvé que des témoignages douteux et pas le moindre document vérifiable permettant d'affirmer qu'il y a eu fluoration dans les camps nazis. Ces informations viennent immanquablement de sites web conspirationnistes douteux, généralement anonymes. Une chose est certaine: les partisans de la fluoration préfèrent sûrement combattre des naïfs qui croient tout ce qu'ils lisent sur internet, plutôt que d'avoir affaire à des gens sérieux qui citent des informations crédibles et solides pour mettre en garde contre les dangers liés à cette pratique.
Gilles Rinfret Répondre
7 janvier 2016La direction de la santé publique de la mauricie remplit mal son rôle et la directrice est seulement une gestionnaire dans ce programme. La DSP de la Mauricie est mandatée et reçoit de grosses sommes du Ministère de la Santé dans le but de faire la promotion de la fluoration.
Au lieu d'informer adéquatement la population, elle prépare un sondage sur la fluoration et annonce une nouvelle étude d'impact sur la fluoration de l'eau potable au Québec. Pour mener le projet, 125000 $ ont été octroyés au professeur titulaire à la Faculté de médecine dentaire de l'Université Laval, Christian Caron. Ce dernier est également chef du département de médecine dentaire au CHU de Québec.
Un autre montant de $180 000 a été octroyée par le MSSS à la Direction de la santé Publique de la Mauricie en décembre 2014. (voir le lien ci-joint en page 5 et 6 ) . Il y est écrit que les aides financières octroyées en 2014 pour ce mandat d'une durée d'un an sont « en continuité avec la Loi sur la santé publique », qui prévoit « que le programme national de santé publique doit inclure des actions pour inciter à la fluoration de l'eau » L'on peut y lire également l'importance de bien informer la population et « aussi pour assurer une bonne acceptabilité sociale de cette mesure de prévention de la carie dentaire» . À part l'embauche d'une personne ressource en promotion de santé bucco-dentaire par la DSP et quelques lettres d'opinion et communiqués de Mme Goupil-Sormany, quelle information la population a-t-elle reçue (si toutefois on peut considérer cela comme de l'information transmise à la population). Visiblement, l'acceptabilité sociale ne fait plus partie des priorités de la Directrice de la Santé Publique dans ce dossier. Y a-t-il d'autres sommes versées par SigmaSanté en décembre 2015 pour la prochaine année? Tant qu'à dépenser les fonds public !
Dans sa lettre d'opinion du 31 décembre 2015 elle rapelle son rôle de bien informer la population et tente de minimiser les résultats de l'étude de l'INSPQ qui démontre pourtant une nette amélioration de la santé buccodentaire des enfants Québecois. «De plus, bien que la carie dentaire ne touche pas tous les enfants, les données font état d'une réelle souffrance chez ceux touchés. En effet, un enfant sur quatre de 2e année du primaire cumule à lui seul 75 % des caries observées dans cette étude.» Si la santé Publique est capable d'autant cibler les enfants qui souffrent avec tant de précision, pourquoi n'offre-t-elle des soins directement à ces enfants au lieu de traiter toute une population qui n'en veut même pas de ce traitement médical, à coup de million, avec un produit peu efficace (l'efficacité est principalement topique) qui va aller aux égouts ?
http://www.msss.gouv.qc.ca/ministere/acces_info/documents/demandes_acces/2015-2016-009%20Document.pdf
Archives de Vigile Répondre
6 janvier 2016Le 31 janvier 2014, Dre Isabelle Goupil-Sormany affirmait en conférence de presse « Le fluor n'est pas toxique. » « Si une étude affirmait que le fluor est toxique, on vous l'aurait remise. » Pourtant, des dizaines d’études nous présentent des preuves de la toxicité du fluorure ajouté. Nous n’avons qu’à lire des études de Kathleen M Thiessen, Ph.D professionnelle en analyse de risque et en évaluation de toxicité, Stephen Peckham, Ph.D Centre for Health Services Studies, University of Kent, Paul Connett, Ph.D, chimie à l'Université St-Lawrence, NY, Christian Linard, Ph.D, DEPD, CSPQ, Biochimiste clinicien, Professeur à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Ashley J Malin et Christine Till, Departement of psychology, York University, Toronto dans leur étude du trouble du déficit de l’attention et de l’hyperactivité. Et pourtant, le MSSS et la DSP font la sourde oreille (ou plutôt agissent comme des aveugles) pour ne pas tenir compte de ces études. Ce n’est pas parce que la pratique de fluoration dure depuis 50 ans qu’il ne faut pas remettre en question cette pratique désuète. Pour citer Mireille Guay, Ph.D en chimie « Pensez-vous que la formation médicale prépare à dire « je me suis trompé?».
Serge Jean Répondre
6 janvier 2016Réponse: l'extermination de la race humaine d'origine et Madame Isabelle Goupil-Sormany ne le sait même pas elle-même.
Tout ce qu'elle sait cette dame, c'est qu'on lui met de la pression plus haut pour forcer la livraison du poison, tout en lui faisant comprendre (intuitivement) que son job de merde est en jeu; voilà. Tout ça fait partie du terrorisme planétaire déjà en place.
Philippe Giroul Répondre
6 janvier 2016Concernant les intérêts financiers et autres qui motivent tant les autorités du MSSS à poursuivre ce programme nocif et absurde qui sévit depuis trop longtemps au Québec , les députés pourraient questionner le MSSS sur l’organisme sans but lucratif « Sigma Santé » pour vérifier s’il n’y aurait pas apparence de collusion entre les producteurs des produits fluorés (américains et chinois), l’importateur/vendeur canadien des produits, Sigma Santé, le MSSS, les DSP, l’Ordre des dentistes, le personnel des villes fluorées ou en projet de fluoration, les firmes d’ingénieurs qui participent à la construction des équipements de fluoration.
Archives de Vigile Répondre
6 janvier 2016A Kingston, Ontario, il n'y qu'un quartier qui est fluoré et vous savez lequel ?
Celui où est installé la base militaire !
Vous savez pourquoi ?
http://alalumieredunouveaumonde.blogspot.ca/2013/09/dossier-complet-sur-le-fluor-et.html
http://www.youtube.com/feature=player_embedded
http://www.youtube.com/feature=player_embedded