Jacques Hogard n’est pas de ceux que l’on peut taxer de complotisme. Même les plus hardis des endoctrinés n’oseraient s’aventurer sur ce terrain, et pour cause. Le colonel Jacques Hogard est non seulement un témoin direct de beaucoup des évènements de la fin du siècle dernier mais, bien plus, il en a été un des acteurs sur le terrain. La machine à propagande, dans son vaste programme de désinformation dont nous savons qu’il n’existe aucune limite, l’a atteint de plein fouet, attentant à son honneur et celui de ses camarades, notamment concernant les évènements du Rwanda au sujet desquels il a écrit un livre, « Les larmes de l’honneur ». C’est que Jacques Hogard garde un regard lucide sur les actions dans lesquelles il est impliqué et, surtout, il écrit, et il s’exprime. Ceci explique peut-être cela. Il récidive avec un nouveau livre intitulé « L’Europe est morte à Pristina » où il relate les évènements de la guerre du Kosovo en 1999, tels qu’il les a vécus comme commandant d’un groupe interarmées de forces spéciales françaises.
Pour qui veut voir, Jacques Hogard ne fait que confirmer, en tant que témoin et acteur, une réalité qui, peu à peu, est en train de sortir de l’enfumage savamment entretenu par les médias internationaux, y compris les médias français travaillant activement et sciemment contre leur pays. Cette réalité se manifeste aujourd’hui à travers toute l’Europe (et ailleurs) à travers des évènements que l’on croit conjoncturels, mais qui entrent dans un cadre bien plus large.
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