Ce jeune politicien, (natif d'Ottawa en 1971), est en mode charme depuis longtemps. Il collectionne les cibles importantes qui représentent des dossiers émotifs et porteurs. Cela est noble de sa part, comme tous les autres politiciens le feront. Mais au-delà de sa volonté politique, Justin, sans surprise, ne saura tirer au centre d'aucune cible. Ce politicien me semble vide et sans expérience, il ne cultive que la façade. Ce ne serait pas déplacé de le percevoir comme un directeur des relations publiques et maître du maquillage; sans plus. Ce dont je crains davantage dans l'entourage de Justin Trudeau, c'est de voir des filles ou des femmes en pâmoison sur le bord de la défaillance qui voteront pour lui sans intellectualiser leur vote. On appelle cela: les émotions féminines.

Voter pour Harper, roi de la chimère, en 2015 représenterait un appui à la folie et à la vacuité intellectuelle. Notre cher Stephen, apôtre de l'ignorance du Québec et de l'égarement dans la logique, a poussé à la limite le seuil de tolérance du juste citoyen; assez c'est assez. Ne touche plus à rien Stephen, nous attendons encore un véritable essor économique, merci et bonsoir! Pour sa part, Mulcair (natif d'Ottawa en 1954), n'a pas du tout les lanceurs et les frappeurs dans son équipe pour jouer dans un niveau élevé. Un éternel rôle de figurant l'attend encore, il le sait très bien. Donc, à partir de mon analyse sommaire des prochaines élections fédérales en 2015, je ne voterai pas. Bonsoir Canada!

Mon pays est ici au Québec, ma langue et ma culture sont mon royaume.