Des équipes sportives québécoises sont un ciment rapide de l’identité nationale.
- « On peut même se risquer à prédire que l’excellente nouvelle du retour des joueurs de la LNH aux Olympiques dans deux ans n’en sera pas une pour le hockey francophone. Car il y a fort à parier que l’équipe canadienne ne comptera aucun joueur parlant français dans ses rangs.»
- « Si le sport, en particulier le hockey, que nous appelons encore « notre sport national », ne fait aucune place au français, peut-être faudrait-il en revoir certains fondements. Exiger que des clubs juniors comme les Voltigeurs lui fassent une meilleure place serait sans doute une première étape. Mais il faut faire davantage.»
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé