Donc, les journaleux...

Tribune libre - 2007

Bonjour à tous,
Je vous envoie un texte à publier. Je ne me prétends pas journaliste... et
de loin mais j'ai écrit un texte que je vous soumets et vous laisse en
juger de sa pertinence en cette campagne électorale. Le voici:
Et le prix citron de l'année 2007 va à..........
Aux journalistes Québécois qui couvrent cette campagne électorale de façon
odieuse.
Depuis qu'André Boisclair a été élu chef du parti Québécois, les
journalistes sont sur son dos avec des critiques qui frisent des fois
l'atteinte à sa réputation entraînant ainsi la population à faire un
mauvais jugement sur la personne qui nous offre une campagne électorale
exemplaire digne de l'intelligence du peuple québécois en essayant
d'expliquer sa plate-forme électorale et son programme contre vents et
marées.
Autant les journalistes se plaignent du manque de contenu dans cette
campagne autant ils en sont les instigateurs. Nous savons tous qui a à
perdre si le débat se dirige vers les enjeux réels de cette campagne, je
nomme l'ami des journalistes, Jean Charest et ses libéraux qui ont un bilan
épouvantable à défendre, bilan indéfendable... je n'oublie pas le IN et
ce n'est pas un "lapsus".
On dirait que quand une nouvelle journée commence, ils se demandent de
quelle façon ils vont "bitcher" André Boisclair et les péquistes.
C'est drôle mais plus le temps passe et plus les journalistes attaquent le
chef du PQ, plus on le découvre et plus nous trouvons qu'il est un leader
digne de ce nom.
De mon côté, j'ai critiqué le chef plusieurs fois dans le passé, mais
depuis que la campagne est commencée, je vois un leader qui finalement sera
peut-être l'homme qui fera du Québec un pays indépendant.
André Boisclair me surprend à tous les jours, sans être un chef "choc"
comme Mario Dumont, il est un chef qui est solide devant l'adversité, qui
se tient debout et livre son message tout de même, pour moi, ça en fait un
chef qui saura bien diriger le Québec.
Depuis le début, la promesse qui est la plus importante pour moi tous
partis confondus, c'est la promesse d'André Boisclair de respecter chaque
promesse électorale qui fera tout au long de la campagne, de s'être
engagé personnellement à les prendre comme une feuille de route pour quand
il sera premier ministre. Jamais on n'avait vu un candidat le faire comme
lui, prouvant son profond respect à l'endroit du poste qu'il demande et à
la population du Québec.
Donc, les journaleux, votre mission est en train d'échouer, les Québécois
vous voient de plus en plus.
Christian Pelletier
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/spip/) --


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