Les politiciens et l’argent se rassemblent

Doctrine d'État et les enseignement de Sun Tzu

Tribune libre 2010

J'ai déjà élaboré les éléments d'une doctrine d'État dans Géopolitique et avenir du Québec, livre qui m'a valu un commentaire favorable dans le Monde Diplomatique de septembre 1994 et aussi une mention spéciale et personnelle d'Ignatio Ramonent qui a déclaré que mon travail est "très bien".

Il m'a fallu plus de trente ans d'études et de recherches pour en trouver les éléments et les principes. La doctrine comme telle est primitive en ce sens qu'elle est complètement dans l'action et sa finalité l'Acte. Par conséquent, elle est entièrement fondée sur l'indispensable Acte de Présence, existentiel et relationnel de nature, puisque l'existence est relation en acte et en puissance.

Elle n'est pas rationnelle au sens discursif du terme. Et comme l'Acte de Présence est primaire, original et unique, il ne peut s'appuyer sur aucun modèle, seulement sur des axiomes et des principes.

Elle exige un perpétuel recommencement, étant en devenir et non arrivée et fixe. Exercice intellectuel et mental difficile pour des Occidentaux civilisés, lettrés et bourrés de préjugés, peu conscients de la signification, la portée, le sens et la dynamique de leurs discours. Pour en sortir, il faut beaucoup d'introspection et de psychanalyse.


Effectivement, pour y arriver, il m'a fallu entreprendre un programme de psychanalyse d'une durée de onze ans à Toronto, pendant que j'y enseignais. Et encore, je poursuis le travail psychanalytique par moi-même maintenant, tout en perfectionnant les notions apprises.

S'il n'y a pas de modèle en géopolitique et en stratégie d'État, il y a par contre des axiomes fondamentaux et des principes universaux qui gouvernent l'action entreprise. Pour s'en instruire, il faut apprendre par l'expérience des autres, non pour se donner des modèles mais pour renforcer les notions de base et les principes.

Lorsque, revenu au Québec avec mon livre, j'ai entrepris d'enseigner la matière, j'en ai réalisé les difficultés. Ceux et celles qui comprennent le mieux se caractérisent par l'absence de préjugés acquis par des études philosophiques et littéraires insuffisantes pour développer le jugement critique.

Ce sont les gens simples qui comprennent le mieux la signification, la portée, le sens et la dynamique de l'action entreprise et qui sont le mieux doués pour la présence. Je l'ai appris de plusieurs auteurs et j'ai pu le vérifier par moi-même.

Ce que je démontre dans mon ouvrage qui introduit à la géopolitique et aux principes de stratégie d'État, c'est que NOUS, Québécois, sommes devenus un peuple, puis une nation par le fait fondamental d'un investissement de 400 ans dans un territoire très peu habité parce que très peu habitable, en fait inhabitable, au point d'en faire notre fief et foyer national.

J'ai fait cette démonstration aux États Unis et en Europe et personne n'a soulevé d'objection. Je l'ai faite à Toronto et quelqu'un m'a fait remarqué que mes thèses sont valides mais qu'au Canada anglais, dans les milieux intellectuels et juridiques, on avait espéré que jamais aucun Québécois ne devait savoir pourquoi nous avons non seulement survécu mais progressé en force envers et contre l'adversité anglaise, loyaliste et orangiste, jusqu'à accomplir l'État Nation.

Avec l'acquisition des assises de l'État, ce qui est presque fait accompli, et avec l'argumentaire statutaire sur fond de principe que j'ai fini par découvrir, personne ou presque ne pourra s'objecter ni à la souveraineté ni à l'indépendance du Québec.

Tout comme les statuts impériaux qui ont reconnu la souveraineté des colonies, dont les Westminster Revised Statutes, il y a aura de nouveaux statuts pour reconnaître le Québec et qui serviront de précédents aux autres provinces et possiblement aux États américains qui aspirent au statut d'État avec la majuscule.

Mais il y a encore beaucoup de travail à faire.

JRMS

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René Marcel Sauvé217 articles

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J. René Marcel Sauvé, géographe spécialisé en géopolitique et en polémologie, a fait ses études de base à l’institut de géographie de l’Université de Montréal. En même temps, il entreprit dans l’armée canadienne une carrière de 28 ans qui le conduisit en Europe, en Afrique occidentale et au Moyen-Orient. Poursuivant études et carrière, il s’inscrivit au département d’histoire de l’Université de Londres et fit des études au Collège Métropolitain de Saint-Albans. Il fréquenta aussi l’Université de Vienne et le Geschwitzer Scholl Institut Für Politische Wissenschaft à Munich. Il est l'auteur de [{Géopolitique et avenir du Québec et Québec, carrefour des empires}->http://www.quebeclibre.net/spip.php?article248].





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10 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    12 octobre 2010

    Foglia n'a pas répondu à Monsieur Sauvé parce que Monsieur Sauvé n'a pas jugé pertinent de lui écrire. Monsieur Barberis devrait simplement méditer sur la sagesse de sa décision d'écrire à Foglia.
    (Non, mais c'est quoi l'idée d'écrire au sbires de La Presse? Les convaincre? Les ébranler? Leur fournir des munitions?)

  • Claude G. Thompson Répondre

    10 octobre 2010

    Monsieur Barberis-Gervais,
    votre réponse à monsieur Parent m'a rappelé Lao Tseu:
    “Le sage n'a pas d'opinions arrêtées. Son coeur bat au rythme du coeur de son peuple.
    L'homme bon, je le traite avec bonté, celui qui n'est pas bon, je le traite avec bonté. Ainsi s'obtient la bonté.
    L'homme sincère, je le traite avec sincérité, celui qui n'est pas sincère, je le traite aussi avec sincérité. Ainsi s'obtient la sincérité.
    Le sage se conduit avec équanimité. C'est lui que le peuple écoute et regarde. Le sage traite son peuple aussi tendrement qu'un nouveau-né.”
    Lao Tseu - Bonté et vertu.
    Claude G. Thompson

  • Archives de Vigile Répondre

    10 octobre 2010

    Extrait du Misanthrope de Molière, Acte i, scène 1
    PHILINTE
    145 Mon Dieu, des mœurs du temps, mettons-nous moins en peine,
    Et faisons un peu grâce à la nature humaine;
    Ne l'examinons point dans la grande rigueur,
    Et voyons ses défauts, avec quelque douceur.
    Il faut, parmi le monde, une vertu traitable,
    150 À force de sagesse on peut être blâmable,
    La parfaite raison fuit toute extrémité,
    Et veut que l'on soit sage avec sobriété*.
    Cette grande raideur des vertus des vieux âges,
    Heurte trop notre siècle, et les communs usages,
    155 Elle veut aux mortels, trop de perfection,
    Il faut fléchir au temps, sans obstination;
    Et c'est une folie, à nulle autre, seconde,
    De vouloir se mêler de corriger le monde.
    J'observe, comme vous, cent choses, tous les jours,
    160 Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours:
    Mais quoi qu'à chaque pas, je puisse voir paraître,
    En courroux, comme vous, on ne me voit point être;
    Je prends, tout doucement, les hommes comme ils sont,
    J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font;
    165 Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville,
    Mon flegme* est philosophe, autant que votre bile.
    ALCESTE
    Mais ce flegme, Monsieur, qui raisonnez si bien*,
    Ce flegme, pourra-t-il ne s'échauffer de rien?
    Et s'il faut, par hasard, qu'un ami vous trahisse,
    170 Que pour avoir vos biens, on dresse un artifice,
    Ou qu'on tâche à semer de méchants bruits de vous,
    Verrez-vous tout cela, sans vous mettre en courroux?
    PHILINTE
    Oui, je vois ces défauts dont votre âme murmure,
    Comme vices unis à l'humaine nature;
    175 Et mon esprit, enfin, n'est pas plus offensé,
    De voir un homme fourbe, injuste, intéressé,
    Que de voir des vautours affamés de carnage,
    Des singes malfaisants, et des loups pleins de rage.
    Robert B-G

  • Archives de Vigile Répondre

    10 octobre 2010

    M. Barberis-Gervais
    Oooooh !...le petit garçon n’est pas content….c’était, bien sûr, prévisible. Il n’est pas très élégant de vous servir de M. Bousquet comme faire valoir. M. Bousquet est très capable de se défendre tout seul et il l’a déjà fait, c’est de bonne guerre.
    Vous auriez pu écrire mon nom correctement depuis le temps que vous le voyez mais ce n’est pas très important vu la hargne qui a la fâcheuse tendance à alourdir la conscientisation des choses et des événements. La colère avait dû retomber quelque peu car un peu plus loin vous l’orthographiez correctement.
    Pour terminer, dans vos « débats » comme vous dites avec Richard Le Hir, il était malheureux de voir deux personnes valables se chicaner comme des enfants. Mon intervention mal avisée et pompier comme vous dites avait pour but d’arroser le feu sur lequel vous souffliez indûment. L’intervention était, semble-t-il en fait, tellement bien avisée, que votre sport de la prise de bec a cessé immédiatement. Votre réputation de chicanier est bien connue et ennuyeuse. Vous qui écrivez pourtant des textes très valables assez souvent, pourquoi préférer parfois la zizanie au bon sens ? Remarquez que j’ai flairé le piège de l’égo et je n’y suis pas tombé, ha ha !
    Dans son commentaire, M. Sauvé n’a pas cru bon, et avec raison, relever votre fogliamanie, cela n’avait rien à voir avec des propos très sensés.
    Si vous voulez, comme pour votre texte précédent, orienter votre mauvaise humeur contre moi, allez-y gaiement, ‘ya pas d’problème !
    Ivan Parent

  • Archives de Vigile Répondre

    10 octobre 2010

    
Dans un des textes écrits sur Foglia, j’ai ajouté un commentaire. C’est à ce commentaire que M. Yvan Parent répond ; celui-ci m’a, dans un passé relativement récent, considérablement déplu avec ses interventions mal avisées et pompier quand j’ai essayé de débattre avec Richard Le Hir.
    
Voici ce commentaire qui condamne la tendance à l’exclusion qui trouble l’âme de M. Parent et dont M. Bousquet a déjà été l’objet parce que l’appui de M.Bousquet à la souveraineté-association horripile le censeur.
    Je me cite:
    
"Si certains spécialistes de l’ego comme Ivan Parent lisent ces lignes, peut-être pourraient-ils essayer de comprendre la signification de ce qui arrive au lieu de brouiller les pistes avec leur fameuse balloune de l’égo qu’il faut crever. 
Gilles Bousquet, que vous vilipendez, ne tombe jamais dans ce piège de se servir de l’ego pour tuer un débat." (2 octobre)
    
Robert Barberis-Gervais
p.s.
    Mon commentaire récent s’adressait à M. René Marcel Sauvé (et non à vous M. Parent) qui non seulement ne s’en est pas formalisé mais a écrit un commentaire brillant qui m’a honoré et qui a donné l’occasion à M. Pomerleau d’ajouter son grain de sel. 

    Ivan Parent devrait laisser à Bernard Frappier le soin de contrôler Vigile. Et peut-être devrait-il crever la balloune de son propre ego tourmenté. S'il manque d'aiguilles, je pourrai lui en fournir.
    Un peu envieux et jaloux? C'est possible.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 octobre 2010

    Cette fois-ci M. Sauvé a écrit un très bon texte. Quelle est l’utilité pour M. Barberis-Gervais de publier des commentaires en supposant une réponse que peut-être Pierre Foglia aurait faite. Je conviens que M. Barberis-Gervais ait été frustré jadis par Pierre Foglia, mais ça devient extra redondant et super ennuyeux ces enfantillages de supposés textes qui en fait n’existent pas. N’y a-t-il pas suffisamment de vrais problèmes sans en créer d’autres de toutes pièces. M. Barberis-Gervais a déjà écrit d’excellents textes mais depuis près d’un mois il ne cesse de nous ennuyer avec ses démêlés pas toujours polis avec Foglia. À la fin, on s’en fout de Foglia même émaillé de stupidités et de vulgarités, il n’est pas obligatoire de les perpétuer. Est-ce pour se rendre intéressant ?
    Ivan Parent

  • Archives de Vigile Répondre

    9 octobre 2010

    "Ce que je démontre dans mon ouvrage qui introduit à la géopolitique et aux principes de stratégie d’État, c’est que NOUS, Québécois, sommes devenus un peuple, puis une nation par le fait fondamental d’un investissement de 400 ans dans un territoire très peu habité parce que très peu habitable, en fait inhabitable, au point d’en faire notre fief et foyer national."(JRMS)
    Et c'est magistral.
    Ce fut une révélation pour moi de découvrir cette réalité géopolitique, grâce à vous.
    Mais cet État, aujourd'hui, ne possède plus les leviers d'antant.
    Nous possédons toujours nos droits à cet État mais celui-ci a perdu ses pouvoirs.
    Le seul pouvoir qui nous reste est celui de notre collectivité historique. Notre peuple.

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    9 octobre 2010

    M Sauvé,
    Amazing !
    Vous êtes en train de nous dire que Lord Durham, qui voulait assimiler le peuple français, a été forcé pour des considérations géopolitiques à pratiquer une politique contraire à ses voeux !
    Pas simple la politique.
    JCPomerleau

  • Archives de Vigile Répondre

    9 octobre 2010


    En fait, le processus a commencé lorsque, lisant les Durham Papers à l'université, je suis soudainement tombé sur la dépêche No 420, datée du 16 juillet 1838.
    Durham était à Niagara et avait été invité par le gouverneur américain de Buffalo pour un dîner diplomatique. Le lendemain, il écrivit à Lord Gleneg, Secrétaire aux Colonies à Londres, que la vue de Buffalo l'avait vivement impressionné. Ce n'était plus des comptoirs du temps de la colonie mais une ville structurée, systématiquement organisée et politiquement solide, donc capable de déborder le Niagara et envahir le territoire de Sa Majesté Britannique dans les basses terres des grands Lacs, TOUT CELÀ À CAUSE DU CANAL ÉRIÉ CONSTRUIT TREIZE ANS AUPARAVANT.
    Le canal Érié??? Je n'y avais jamais pensé. Sans préparatifs, j'ai sauté dans ma voiture et parcouru de long en large le lac Champlain, la vallée de la Mohawk et la rive nord du lac Ontario et du Saint Laurent jusqu'à temps que la lumière se fasse dans ma tête. Ah c'était donc çà!!
    Ce canal me donnait la réponse à une énigme que je cherchais à découvrir depuis longtemps: Comment se fait-il que, à partir de 1860 jusqu'en 1960, les Anglais ont déménagé leurs pénates vers les basses terres des grands Lacs,inaccessibles par la mer sauf en empruntant des canaux artificiels. Comment se fait-il donc qu'ils ont insisté pour quitter le Québec, qui était leur principal centre de gravité, pour se réinstaller dans les basses terres des grands Lacs? Mystère ? La dépêche no 420 de Lord Durham m'apportait le premier élément de la réponse.
    J'ai suivi cette première veine jusqu'au bout et j'ai compris pourquoi nous avons survécu et progressé et pourquoi les Anglais, Orangistes et Loyalistes ont tant insisté pour créer un État centralisateur et unitaire afin de nous contrôler à distance au fur et à mesure qu'ils abandonnaient le Québec pour occuper en force un espace géographique stratégique de premier ordre pour eux.
    Du sud du Québec, la menace newyorkaise et américaine s'était déplacée vers les grands Lacs, à cause du canal Érié et par après, de la construction des chemins de fer dans la vallée de la Mohawk. Toutes ces communications jouaient en faveur de New York et des États Unis contre l'Amérique Britannique du Nord.
    J'ai ensuite vérifié en Estrie que, grâce à nos Caisses populaires, nous avions effectivement acheté les terres,propriétés et domaines des Loyalistes du sud du Québec. Plus de 98% des propriétés des Loyalistes avaient passsé dans nos mains entre 1875 1960.
    Ceci vous démontre comment on travaille en géopolitique et en stratégie d'État.
    Salutations et merci de votre commentaire, monsieur Barberis-Gervais.
    JRMS

  • Archives de Vigile Répondre

    9 octobre 2010

    M.Sauvé
    Comme j'ai lu votre livre Géopolitique et avenir du Québec poussé par Claude G. Thompson, j'apprécie énormément que vous racontiez le processus personnel que vous avez suivi pour arriver à vos conclusions sur le Québec.
    On appelle ça de l'autobiographie. Et je vous invite à continuer en ce sens car vous êtes une personnalité forte qui a des idées originales et qui enrichit le mouvement indépendantiste.
    Ceci étant dit et qui est le plus important, pour vous aider à comprendre mes frustrations récentes (mais pas si graves que cela), je vous soumets à une expérience amusante et instructive.
    Supposons que vous ayez eu l'idée d'envoyer votre texte à Pierre Foglia (comme je l'ai fait avec mon article sur "Nous ne faisons pas de politique" Pierre Boivin. Voici ce qu'il vous aurait répondu à votre premier paragraphe qui se lit comme suit:
    "J’ai déjà élaboré les éléments d’une doctrine d’État dans Géopolitique et avenir du Québec, livre qui m’a valu un commentaire favorable dans le Monde Diplomatique de septembre 1994 et aussi une mention spéciale et personnelle d’Ignatio Ramonent qui a déclaré que mon travail est "très bien".
    Il m’a fallu plus de trente ans d’études et de recherches pour en trouver les éléments et les principes."
    Commentaire de Foglia:
    De : Foglia, Pierre
    Objet : RE : Doctrine d'Etat et les enseignements de Sun Tsu
    Date : 9 octobre 2010 14h00 HAE
    À : René Marcel Sauvé
    comment on fait pour écrire: j'ai élaboré les éléments d'une doctrine d'Etat, j’ai écrit un livre qui m’a valu un commentaire favorable dans le Monde Diplomatique de septembre 1994 , j'ai reçu aussi une mention spéciale et personnelle d’Ignatio Ramonent qui a déclaré que mon travail est "très bien" , l m’a fallu plus de trente ans d’études et de recherches donc DONC, j'ai raison.
    fuck off
    je ne suis pas allé plus loin que le premier paragraphe mais j’imagine que vous dites dans le second que vous êtes indépendantiste, moi aussi figurez-vous et j’ai vraiment pas hâte de vous avoir pour ministre de la Défense.
    fuck off again
    pf
    M. Sauvé, comme vous avez eu le bon jugement de ne pas envoyer votre texte à Pierre Foglia, vous ne recevrez pas ce genre de fuck off vulgaire.
    Dans sa chronique d'aujourd'hui "Le passé, suite", il ne répond pas aux nombreuses contestations de son affirmation gratuite et fausse: "L'indépendance est morte avec la mort de Pierre Laporte." Altier, arrogant et toujours aussi méprisant,, il continue son monologue narcissique et autosuffisant. C'est son moi qui compte pas la réalité historique.
    Robert Barberis-Gervais, 9 octobre 2010