Québec, le 21 juin 2011
D’accord avec Jacques Parizeau
Dans une lettre envoyée au Devoir, douze jeunes députés du Parti québécois demandent à l'ex-premier ministre Jacques Parizeau de leur laisser toute la place pour s'exprimer et pour représenter l'avenir.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/325246/crise-au-pq-les-jeunes-deputes-demandent-a-parizeau-de-leur-laisser-de-la-place
Je suis entièrement d’accord avec la réponse de Jacques Parizeau transmise aux : Pascal Bérubé, Étienne-Alexis Boucher, Benoit Charette, Alexandre Cloutier, Sylvain Gaudreault, Nicolas Girard, Véronique Hivon, Martine Ouellet, François Rebello, Mathieu Traversy, Guillaume Tremblay, Dave Turcotte. Prenez-là votre place car ça se gagne par la volonté et le bon vouloir et le travail.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/325463/parizeau-desavoue-marois
Jacques Parizeau est l’un des politiciens qui s’est présenté le plus souvent devant les étudiants dans les universités, collèges et autres en essayant de les intéresser et en leur demandant de s’impliquer davantage. M. Parizeau fait partie des politiciens qui auront marqué l'histoire du Québec, représentant l'intellectuel fougueux, le politicien franc et accrochant, celui qui ne passe pas par quatre chemins pour exprimer sa façon de penser.
Je suis également d’accord avec Jacques Parizeau lorsqu’il écorche la chef du parti Québécois Pauline Marois qui a endossé les yeux fermés le projet de loi privé 204. Je suis un souverainiste de première heure MSA, RIN, RN, et Péquiste impliqué depuis sa fondation mais là je viens d’avoir mon voyage avec la performance d’Agnès Maltais et du PQ à la commission parlementaire sur le projet de loi privé. Elle m’a royalement déçu en cohabitant joyeusement avec les libéraux.
Merci Monsieur Parizeau.
Jocelyn Boily
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
1 commentaire
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2011D'accord aussi avec Jacques Parizeau.
La lettre des "jeunes" députés était d'une maladresse extraordinaire. Devrait-on comprendre qu'ils seraient incapables de se faire valoir ou de faire valoir leur point de vue eux-mêmes et qu'il leur faille demander qu'on leur fasse de la place. Ils ne seraient capables de s'exprimer qu'à défaut d'autres intervenants.
Quand on pense que Pauline Marois aurait lu cette lettre avant sa parution.