Carré noir : le Québec en deuil de ses Libertés !

Tribune libre

En anéantissant la démocratie étudiante, et en décrétant une restriction majeure de la liberté d’expression, ce qui ne mérite plus le nom de “Gouvernement du Québec” mais plutôt de “Honte nationale”, a franchi la ligne rouge de la légitimité.
La Loi Courchesne, loi scélérate édictée au nom du Ministère de l’éducation, discrédite non seulement ses auteurs, ses approbateurs soumis et ses commanditaires, mais aussi l’École, un élément majeur de notre Bien public. Elle plonge le Québec dans une Noirceur face à laquelle tout citoyen honorable a le devoir de défendre la Liberté et la Démocratie.
L’Histoire jugera ceux et celles qui, en service commandé, ont piétiné leur propre honneur, ou ce qui en restait à travers la corrosion morale; ceux et celles qui ont osé marquer notre État du sceau de l’infamie.
La Loi Courchesne prétend «préserver la paix, l’ordre et la sécurité publique» : elle constitue en fait une déclaration de guerre, ainsi qu’un facteur de désordre et d’insécurité publique !
«Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?»
Yves Claudé

Laissez un commentaire



10 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    21 mai 2012

    L'arrogant roi nègre Charest imbu de lui même et parti en toute gloire de Calgary avec l'ordre formel de ses maitres anglo fédéralistes de sauver le Canada au Québec as lamentablement rater et échouer sa sortie pour l'histoire .
    Le Québec , son peuple et sa jeunesse dont il s'est moquer outrageusement ,qu'il as fait gazer et matraquer impitoyablement se rappelleras de son arrogance, de son gouvernement corrompu et surtout de son nom qui seras aussi maudit dans notre histoire que celui de Duplessis et de sa grande noirceur.
    On connais le sort que les Québécois ont réservé a l'Union Nationale de Duplessis qui as été rayé de la carte quand la grande noirceur as été remplacé par la lumiere et le souffle chaud de la liberté.
    Il en seras de même pour le parti politique du funeste fossoyeur de nos libertés et de nos aspirations qu'est Jean Charest.
    Notre devise comme peuple est je me souviens et les Québécois dans leur ensemble vont se souvenir longtemps de son mépris envers la jeunesse,de son arrogance ,de ses procédés anti démocratique ,de sa répression ,de ses magouilles , de ses liens incestueux avec le gouvernement privé de Sagard appuyer et supporter par les éditorialistes a gage sans scrupules de Gesca comme le laquais André Pratte qui as chanter jour après jour les louanges de ses dérives anti démocratique en les présentant comme une fine politique de Charest qui n'est rien d'autre qu'un chef de clan qui as déshonnorer le poste qu'il occupe.
    Jean Charest as définitivement raté sa sortie .

  • Archives de Vigile Répondre

    19 mai 2012

    Monsieur Goyette,
    J'ai lu le lien sur La Presse que vous avez inclus dans votre commentaire. On y lit ceci:
    «Les gens sont inquiets, ils ne reconnaissent plus leur Québec, leur société consensuelle. Ils veulent retrouver la sécurité et l'ordre, aussi ils se rallient très nettement au gouvernement», observe Youri Rivest, vice-président de CROP."
    Ce qui me fait rire, c'est de lire que les Québécois ne reconnaissent plus leur société "consensuelle".
    Ce qu'il faut comprendre avec ce terme "consensuelle", ça veut dire que ceux qui sont exploités, ceux qui ne mangent pas à leur faim (et il y en a au Québec; l'ONU vient de le révéler), les étudiants qui ont de la difficulté à payer pour leurs études, les chômeurs, les assistés sociaux à 575$ par mois et tous ceux qui ont une vie brisée à quelque part doivent continuer à fermer leur gueule.
    Voilà pour la définition de "consensus" aux yeux de certains sondés.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 mai 2012

    Selon le sondage "douteux" Crop La Presse paru ce matin, une majotité de répondants triés sur Internet serait en faveur de la ligne dure, cela même avant l'issue du débat sur l'adoption de cette loi matraque.
    Ce qu'il faut se demander c'est précisément quelle tranche de la population manifste et où se situe t'elle?
    Pas de quoi pavoiser si parmi ceux qui s'opposent à cette loi matraque sont des étudiants concentrés dans les centres urbains, loin de la paisibilité campagnarde.
    http://www.lapresse.ca/actualites/dossiers/conflit-etudiant/201205/18/01-4526881-sondage-en-faveur-de-la-ligne-dure.php

  • Archives de Vigile Répondre

    19 mai 2012

    Carré noir : le Québec en deuil de ses libertés !
    Ce que j'ai constaté hier c'est pourquoi Charest est
    resté sourd aux appels répétés de la Chef du Parti Québécois !
    Charest avait la garantie d'avoir le vote des
    Caquistes
    Si ce n'est pas de la trahison, on peut au moins
    penser que c'est de la couardise.
    Maintenant on sait Legaul = Charest
    Caquiste= libéral
    Ce n'est pas vrai qu'on va nous fermer la gueule !
    J'ai la liberté de penser tout comme vigile a le droit
    de s'exprimer
    coco rico ! roco !

  • Archives de Vigile Répondre

    18 mai 2012

    Le problème, c'est que partout en Occident, la classe dirigeante perd de son autorité morale. Alors, elle recourt à des lois contraignantes pour se maintenir.
    Depuis les tristes attentats du 11 septembre 2001 en particulier, les gens se méfient de leur classe dirigeante car pour la population, ces événements sont restés nébuleux et le rôle de la classe dirigeante dans ces tristes événements, suspect.
    Et il y a eu plein d'autres choses depuis: les guerres sous des prétextes qui se sont avérés faux, comme la supposée présence d'armes de destruction massive en Irak.
    Et il y a eu un peu partout en Occident le renflouement des banques à coup de milliards pendant qu'on prône l'austérité aux citoyens ordinaires; les subventions aux grandes entreprises etc...
    La classe dirigeante ne s'est vraiment pas aidée ces dix ou douze dernières années pour se donner de la crédibilité et cela finit par les rattraper.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 mai 2012

    À 21h 24 je lis : Carré Noir, Le gros bâton libéral et La fin des haricots.
    Cette loi ne vise pas que les étudiants, mais bien l’ensemble des revendicateurs.
    Toi, moi, n’importe qui!
    Tin! Tchèk pour voir.
    Un exemple :
    " EEEuh…Tu r’vendique quoi?"
    "… … … … "
    " Aaaah!!! … Z’êtes souêssant’é-quinze!… … Beieien???… … va fawoir woir"...
    T’a kètch-tu?

  • Archives de Vigile Répondre

    18 mai 2012

    La démocratie n'a jamais existé. Comme dans les pays autoritaires, elle sert d'écran à une réalité qui dépasse l'homme. Et pourtant, il faut croire en la démocratie, il faut la vouloir et la faire advenir. Résister à la bêtise actuelle est nécessaire. Sinon, pourquoi vivre?

  • Archives de Vigile Répondre

    18 mai 2012

    Décrètons ce jour, le jour du CARRÉ NOIR!
    Nous devons maintenant tous, en tant que citoyens et citoyennes du Québec, réaliser que nous devons maintenant et pour toujours nous transformer en PATRIOTES à partir de ce jour.
    Ces chiens des maîtres de l'ombre viennent de nous montrer le chemin à prendre jusqu'à la liberté.
    Ils nous imposent de devenir libres maintenant!
    Le peuple du Québec doit imposer un changement inattendu encore hier! Un changement immédiat.
    IL FAUT QUE LE QUÉBEC SE LÈVE ET PARLE FORT!!!
    SOLIDARITÉ SOLIDARITÉ SOLIDARITÉ !
    Tous unis...
    Un peuple uni jamais ne sera vaincu !

  • Archives de Vigile Répondre

    18 mai 2012

    «À ceux qui frappaient à la porte ce matin, on pourrait leur offrir un emploi... dans le Nord, autant que possible» Jean Charest
    Finalement c'était sérieux, ce n'était pas une blague de dictateur débile.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 mai 2012

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne?
    Pierre Cloutier

Tribune libre

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l'entière responsabilité du contenu de leurs textes.

Chroniques

Tribune libre -> Envoyer un texte