Contrairement à François Hollande, l’État islamique en France tient ses promesses.
Contrairement à François Hollande, l’État islamique en France tient ses promesses. On l’attendait durant l’Euro, il a frappé à Magnanville en assassinant deux policiers chez eux. On l’attendait lors d’une grande fête populaire, il a tué plus de 80 personnes lors du 14 Juillet à Nice. Les terroristes « français » sortent tous du même moule : des Franco-Maghrébins, souvent avec un lourd passé de délinquance, parfois déjà connus des services de renseignement. Le conducteur du camion de Nice ne dérogeait pas à la règle, étant un Tunisien, avec un permis de séjour et sous contrôle judiciaire depuis un mois. Merci, Nicolas Sarkozy, pour la suppression de la double peine !
Tout ça, nous le savons, nous le répétons quotidiennement. Pourtant, ce constat implacable n’entraîne aucune réaction particulière des autorités chargées d’assurer notre sécurité. Les binationaux ne sont pas déchus de leur nationalité et expulsés ; les mosquées radicales ne sont pas fermées ; l’immigration massive n’est pas combattue. Pourquoi la France est-elle plus touchée que les autres pays occidentaux ? Parce qu’elle paye 50 ans d’immigration non assimilée, 50 ans de repentance, 50 ans de laxisme, 50 ans de propagande multiculturelle, 50 ans de « dhimmitude ». Les défenses immunitaires des Français ont été méthodiquement détruites. À tel point qu’une majorité des Français ne parvient pas à entendre que le terrorisme en France n’est que le cache-sexe du tiers-mondisme, de la haine de l’Occident issue du marxisme culturel.
À l’évidence, l’État islamique en France prospère sur le ressentiment de la jeunesse issue de l’immigration. La racaille, victime ontologique, trouve en l’islam radical un moyen d’exprimer sa haine. Radical comme racine, comme retour aux sources pour ces nouveaux apatrides. Cette jeunesse combattante, parfois aguerrie sous le feu des combats en Irak et en Syrie, profite d’un réseau complexe de quartiers dits « populaires », de l’économie parallèle et de la bienveillance d’une partie des mosquées qui servent de refuges et de lieux de formation spirituelle. Osons le dire, le silence des babouches est aussi assourdissant que le silence des pantoufles.
Le directeur des services de renseignement avait prévenu, relayant les informations communiquées par l’État islamique. Enracinés en France, les terroristes veulent muter et réaliser des attentats « à l’irakienne » : camions fous, voitures bourrées d’engins explosifs… Nous ne sommes donc pas arrivés au bout de nos surprises. Pour toutes ces raisons, il faut dire et il faut montrer. Par respect pour les victimes de Nice et les futures victimes d’attentats sur notre sol.
On nous dit qu’il ne sert à rien de supprimer la double nationalité ou de fermer des mosquées salafistes. On nous parle de la nécessité de « surveiller ». Je crois personnellement que nous avons dépassé ce stade. Il faut désormais agir sur le plan symbolique, et, comme le disait Charles Pasqua, « terroriser les terroristes ». On ne luttera pas contre ce fléau sans faire de dégâts collatéraux. Que faire ? Expulser massivement. Interner administrativement les fichés S pour islamisme. Fermer les frontières. Désarmer des quartiers entiers. Casser les trafics illégaux qui alimentent matériellement l’État islamique en France. Arrêter de faire la promotion de l’infraculture islamo-racaille.
Plus important encore : il faut sortir les sortants. Deux ans de terrorisme n’ont pas refroidi les ardeurs de nos maires, de nos députés, de nos ministres. Gérard Collomb finance un immense centre culturel islamique. Christian Estrosi projette la construction d’une mosquée géante dans sa ville, après avoir refusé de voter un vœu pour la suppression de l’UOIF… Pour s’attaquer au mal, il faut s’attaquer à sa racine, et cesser d’appuyer l’islamisation de la France et ceux qui la soutiennent.
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