Quel ton méprisant!
Notre bas de laine devrait-il investir dans la sainte Flanelle? Surtout pas!
Le problème, dans le cas du gouvernement québécois, c'est que les déficits prévus pour les quatre prochaines années ne sont pas causés par le plan de relance, mais par la croissance continue des dépenses ordinaires de l'État.
Michael Ignatieff réussira-t-il là où Stephen Harper a échoué? Plus précisément, réussira-t-il à desserrer l'emprise du Bloc québécois sur la province? Rien n'est moins sûr.
L'épisode renforce l'impression que le premier ministre, redevenu majoritaire, a décidé comme après son élection en 2003 de faire à sa tête, peu importe ce que pensent les Québécois (qui croit les sondages de toute façon?), les médias (M. Charest s'en moque) et même les militants libéraux.