« Ce fatalisme n’est peut-être pas étranger à l’absence de rapports de force que tous les gouvernements québécois passés ont entretenus à des degrés divers avec Ottawa »
Le Québec dos au mur
Il y a une semaine, j’écrivais une chronique intitulée « Le fatalisme des Québécois ». Je cite : « La détérioration des institutions québécoises, jadis notre fierté, s’accentue inexorablement. Aujourd’hui, nous nous découvrons dans une société où règnent la gabegie, l’incompétence, une moralité publique douteuse et des politiciens dépassés par les événements. »