L'homme qui manque de jugement
Après un tel parcours, André Boisclair aurait dû avoir la décence de démissionner le soir même des élections. Eh bien non, il s'accroche, il manoeuvre, il gagne du temps, il divise, il vocifère, il plastronne. Aux députés et aux présidents des associations du parti de prendre alors leurs responsabilités, de faire preuve de courage et de lui indiquer la porte de sortie. Non pas à l'automne ou au printemps 2008 mais dès à présent.