Les Québécois sont lents mais le PQ est patient
5 janvier 2010
@ Gilles Bousquet:
«...pour franciser et gagner à la souveraineté du Québec, nos immigrants qui arrivent au rythme de 50 000 par année et aussi nos Premières nations, Cris et Inuits et autres, qui réclament 50 % du territoire québécois, principalement, du Nord Québécois...»
La difficulté face à la francisation des immigrants, tient notamment au fait qu'eux peuvent dire n'importe quand, qu'ils ont choisi d'immigrer au Canada, où il y a bel et bien deux langues officielles, soit l'anglais et le français. Et que personne ne peut absolument les forcer à dopter le français, car cela serait, selon cette constitution qu'on nous a rentrée dans la gorge, illégal. Anticonstitutionnel.
Quant à ceux qui réclament environ 50% de notre territoire, alors que ces mêmes groupes ethniques qui, avant l'arrivée ici des Européens, n'en occupaient qu'une petite partie, et de façon nomadique ou semi-nomadique... Je n'écrirai pas grand chose à leur sujet, à part le fait que nos véritables adversaires, à Ottawa, s'en servent contre nous, pour ajouter à nos difficultés à faire respecter nos droits et protéger nos acquis...