Stéphane Dion : un «mal-aimé» au Québec
31 août 2008
C'est quand même comique, de voir que nombre de Canadiens du ROC seraient prêts à élire premier ministre, un Québécois qui ne parle à peu près pas anglais, à toute fin pratique! Eux qui font tout pour nous assimiler, de leur côté...
Mais, sérieusement, Dion est un ex-professeur de sciences politiques qui joue à l'avocat de droit constitutionnel. Et ça donne des résultats, disons, au mieux discutables. Son tristement célèbre "Clarity Bill", avec ce droit que voudrait s'octroyer Ottawa de reconnaître ou non le résultat d'un référendum (après coup!) selon un critère fixé arbitrairement, de ce que constituerait "une majorité claire", est une abomination!
Selon l'ONU, une majorité, en démocratie, c'est 50% des votes plus une voix. Oui, plus une et une seule voix!
Stéphane Dion devrait-il s'inquiéter de la possibilité, un jour, de se retrouver devant un tribunal international?
J'aimerais bien, un jour, voir cet espèce d'incompétent, ce triste personnage aigri, arrogant, et efféminé, avoir à se tirer de pareille situation!
Jean-François
Québec