SARKOZY: «Vive le Québec prisonnier»
19 octobre 2008
De toute façon, si l'indépendance se réalise, se sera parce que nous aurons fait ce qu'il faut pour avoir, enfin, un vrai pays pour notre peuple, et non parce que la France nous en aura fait cadeau! Ça remet les choses en perspective, je pense...
Par ailleurs, pour ce qui est de notre "frère" surnommé Sarko, examinons le spécimen en question d'un peu plus près...
Ce tout petit homme (physiquement, et autrement) est un politicien de l'Hexagone; le fils d'immigrants hongrois venus s'établir en France (d'où ses traits exotiques). Ce même petit homme, à la solde du Grand Capital international, a affirmé peu après avoir pris le pouvoir, que d'ici quelques années "l'expression français de souche" (sic) aurait "complètement disparu". Ce même personnage, c'est lui qui a parlé de "la racaille des banlieues" (en fait, des immigrants ou enfants d'immigrants, comme lui-même)...
Quand il est allé, l'an dernier, à Washington, il a, si j'ose ainsi dire, fait un fou de lui-même en prononçant un discours dans un anglais exécrable devant la House of Representatives. Et, au lieu de leur parler, par exemple, de la vieille amitié entre la France et les États-Unis... il leur a fait un discours sur "Elvis, et Marylin" (l'Amérique des années 1950). En fait, il n'a pas fini son "speech": un interprète a pris la relève assez vite!
On parle ici d'un président français, hongrois de souche, qui veut vite angliciser la France, alors que lui-même zézaye plus qu'il ne communique, en ESSAYANT de parler cette langue... Et puis, son argument d'efficacité à communiquer, dans le domaine des affaires, pour angliciser la France, ne tient pas : est-ce que les Japonais, quand ils ont réalisé leur boum économique des années 1970 et 1980, ont abandonné la langue nippone? Ils ont appris l'anglais (et mieux que nos amis français), mais n'ont pas enterré des millénaires de culture, d'identité et de tradition!
C'est notre frère, ce gars-là? C'est lui qui le dit; moi, ce que je vous dis, est que que je suggérerais qu'on le renvoie vite en sa Hongrie qu'il aime tant, et avec un bon coup de pied dans le derrière!
... ou, en tout cas, reconnaissons que la France est une grande nation, qui a créé une civilisation remarquable. En cette civilisation résident nos racines profondes, et pour rien au monde, l'on ne doit laisser cet individu méprisable en faire une sorte de succursale outre mer de Power Corporation, où l'on ne parle qu'anglais.. mais en zézayant!
La France doit demeurer la France!