Faut-il débrancher les Québécois du respirateur artificiel ?
9 octobre 2012
@ S. Longval:
«... les jeunes idéalistes de ON vont aussi avoir à gérer la durée réalité d’un peuple apathique pour qui le confort et l’indifférence sont les deux mamelles d’une vie relativement heureuse ou à tout le moins stable...».
Justement, ce confort et cette stabilité tirent probablement à leur fin.
Le confort? Avec une immigration massive de gens dont beaucoup utiliseront la constitution de PET-Trudeau pour reproduire leur toute vie étrangère (à nos valeurs) ici, nous nous sentirons de moins en moins chez nous.
Toujours en rapport avec le confort, mais aussi la stabilité, le déclin de l'économie américaine, et le vieillissement de notre population, vont finir par avoir de sérieuses répercussions économiques ici. Même à Québec, ville prospère, avec son économie où les différents palliers gouvernementaux sont le plus gros employeur.
D'être un peuple insouciant, reportant à plus tard la prise en main de ses propres affaires et de son destin, tout cela sera bientôt un luxe que nous ne pourrons plus nous offrir...
Est-ce que c'est ça que ça prend, pour vraiment (enfin!) réveiller les Québécois...? Nous verrons.