Sacs mortuaires

Tribune libre

Depuis quelques semaines on entend et lit beaucoup de choses sur la grippe H1N1, au départ appelée grippe porcine. Cette grippe porcine n'aurait cependant infecté aucun porc, et ces derniers n'en étaient nullement la cause. Que viennent-ils faire dans tout ça?
Des analyses poussées ont déterminé que le virus en question n'existe pas à l'état naturel, il a été fabriqué!!! Par qui et pourquoi? C'est fait aux USA mais ici même, au Québec, les médecins sont en trains de s'organiser pour avoir des primes à la vaccination ($$$$) comme si ce n'était pas leur rôle de protéger le public de la maladie, mais ce qui est plus inquiétant, c'est que ces mêmes médecins veulent faire voter une loi pour empêcher toute poursuite judiciaire dans le cas de complications suite à la dite vaccination, c'est donc qu'ils savent ou du moins se doutent que cette vaccination est dangereuse et se préparent en conséquence. Cette dernière assertion n'est pas l'œuvre de sombres complotistes, c'est une réalité vérifiable.
C'est pour le moins très inquiétant.
Autre question. Comment se fait-il que les gouvernements du monde dépensent des miilards pour acheter des vaccins à une soi-disant grippe qui n'est pas encore là mais qu'on attend de pied ferme à une date assez précise comme si on l'avait commandée dans le catalogue de Sears?
En lisant, comme à l'habitude, mon Devoir hier, le 17 septembre, je vois en page A-2 ce titre qui m'a fait dresser les poils (virtuels) sur la tête: « H1N1: des autochtones espéraient des vaccins, ils ont reçu des...sacs mortuaires ».
Si c'était de la parole je pourrais parler de lapsus, je ne sais pas mais un lapsus de ce type est pour le moins inquiétant. Bien sûr la ministre fédérale de la « santé » est confuse, on le serait à moins.
La question fondamentale est, pour moi, celle-ci: Que viennent faire des sacs mortuaires avec les vaccins sinon souligner ce qu'on entend de plus en plus?
Le Devoir étant un journal sérieux, je n'ai aucun doute sur ce scoop. On ne publierait pas une nouvelle semblable qui risque d'éventer le complot des vaccins si c'était faux!
Matière à intense réflexion!
Vu que le Québec n'a pas encore osé se prendre en main et est encore sous la coupe des Harper de ce monde et que nos dirigeants sont des lavettes à son service, chaque Québécois, dans les temps qui viennent, devra réfléchir et prendre les graves décisions qui s'imposent dans les circonstances.
Ivan Parent

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Pianiste pendant une trentaine d'années, j'ai commencé
à temps partiel d'abord à faire du film industriel, de la vidéo et j'ai
fondé ma compagnie "Les Productions du LOTUS" Les détails seront visibles sur mon site web.
Site web : prolotus.net





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7 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    20 septembre 2009

    "Une souche unique
    Il existe plusieurs variétés de virus de la grippe qui infectent les humains ou différentes espèces animales. La souche A (H1N1) a d'abord été classée comme un virus de la grippe du porc. Il arrive en effet que la grippe porcine se transmette à l'humain.
    Mais ce virus s'est plutôt transmis en sens inverse. Dans un élevage de l'Alberta, la transmission s'est faite de l'humain au porc. Auparavant, ce virus n'avait jamais été trouvé chez des porcs, selon l'Organisation mondiale pour la santé animale (OIE).
    Cette souche du virus est unique et complexe. Elle contient du matériel génétique qui provient de quatre virus différents: deux virus porcins, un virus aviaire et un virus humain."
    SRC 20 septembre 2009

  • Archives de Vigile Répondre

    20 septembre 2009

    Si ce Michel Clermont avait un tant soit peu d'honnêteté intellectuelle il aurait remarqué que je n'ai pas fait de déclarations péremptoires et aussi intransigeantes qu'il l'affirme mais que j'ai justement posé des questions et non fait des affirmations. Ces propos de Michel Clermont me font penser aux âneries de M.Pratte, éditorialiste de La Presse et qui s'amuse à faire de la déformatin de textes pour mieux les critiquer et de la démolition systématique sur ce qu'il semble incapable de comprendre. Dommage.
    Ivan Parent

  • Michel Clermont Répondre

    20 septembre 2009

    Mon éducation m’a enseigné de ne rien prendre pour acquis et de vérifier mes assertions. Malheureusement, tous n’ont pas cette rectitude intellectuelle. C’est pourquoi je suis toujours impressionné de la facilité avec laquelle on peut faire croire n’importe quoi à n’importe qui, pour peu que l’esprit critique soit endormi, par paresse ou par instruction.
    Comme d’habitude, le texte de M.Parent contient au mieux des demi-vérités, au pire des croyances sans recherche, non fondées, mais présentées comme vérité…
    « Cette grippe porcine n’aurait cependant infecté aucun porc, et ces derniers n’en étaient nullement la cause. Que viennent-ils faire dans tout ça ? »
    Réponse : (excusez l’anglais…)
    H1N1 Strain May Have Been Undetected in Pigs for Years
    Source: http://www.medpagetoday.com/InfectiousDisease/SwineFlu/14352
    By Michael Smith, North American Correspondent, MedPage Today
    Published: May 22, 2009
    Reviewed by Zalman S. Agus, MD; Emeritus Professor
    University of Pennsylvania School of Medicine and
    Dorothy Caputo, MA, RN, BC-ADM, CDE, Nurse Planner
    TORONTO, May 22 -- The novel H1N1 flu virus may have been propagating in pigs for years without being detected, according to researchers who studied the genetic sequences of more than 70 samples isolated from patients in Mexico and the U.S.
    Action Points
    ________________________________________
    • Explain to interested patients that the precise origins of the current H1N1 flu remain a mystery.
    • Note that this study suggests -- based on genetic analysis -- that the strain may have been circulating for years in pigs before making the jump to humans.
    It's likely that other novel strains have also emerged but have not been noticed, according to Rebecca Garten, Ph.D., of the CDC and colleagues.
    The circumstances that led to the development of the current novel strain and its emergence from animal hosts to cause human disease remain unknown, Dr. Garten and colleagues said online today in Science.
    But the "relative lack of surveillance for swine influenza viruses" -- combined with molecular evidence of the ancestry of the genes in the current strain -- "suggests that this virus might have been circulating undetected among swine herds somewhere in the world," they said.
    The current novel strain is a so-called triple reassortant -- meaning it has genes from pig, bird, and human flu.
    But while such reassortants have been circulating in pigs for several years, the precise combination of genes in the current strain had not previously been detected, according to Nancy Cox, Ph.D., director of the CDC's influenza division and one of the authors of the Science paper.
    That could be because surveillance of pig flu viruses in the U.S. "is not very systematic" and elsewhere is even less so, Dr. Cox said in a telephone press conference.
    Animal flu researchers around the world, she said, are now going back through their stored samples to see if they can find the "missing link" between known reassortant viruses and the current H1N1 strain.
    She added that the gap in knowledge points out the "global need" for a closer watch on animal viruses.
    Dr. Cox said all influenza genes ultimately derive from avian flu, but they can swap around among hosts.
    In this case, all of the genes in the current strain are found in pigs, although one -- the polymerase basic B gene -- is recently derived from a human flu strain and two others are recently derived from birds.
    H1N1 viruses were first isolated from pigs in 1930 and are highly similar to a reconstructed version of the human 1918 Spanish flu virus, which was also H1N1.
    From then until the late 1990s, so-called "classical swine influenza" viruses circulated in pigs and remained relatively stable in terms of how they react with antibodies, Dr. Garten and colleagues said.
    Meanwhile, H1N1 viruses circulated in humans until 1957 and then re-emerged in 1977 -- having changed significantly -- with the result that classical pig viruses and human H1N1 strains are now very different.
    "Pigs have become a reservoir of viruses with the potential to cause significant respiratory outbreaks or even a possible pandemic in humans," Dr. Garten and colleagues said.
    The designation H1N1 refers to two surface proteins -- hemagglutinin and neuraminidase -- that serve to identify different varieties of the flu. But even within a category such as H1N1, the proteins can vary substantially, causing marked differences in how they interact with antibodies.
    Antibodies to the currently circulating seasonal H1N1 flu -- derived from ferrets -- did not react with the novel strain, Dr. Garten and colleagues found. But humans have a more complex immune system than ferrets, so the tests aren't definitive proof that there's no cross-immunity.
    On the other hand, while most people may not have antibodies to the virus, many of the molecular markers predicted to be associated with adaptation to a human host or to the generation of a pandemic virus haven't been found in the current strain.
    For instance, the 1918 virus and the current avian H5N1 strains have a section of their NS1 protein that delivers enhanced virulence. But in the current H1N1 strain, the gene for that protein has a premature stop that eliminates that section.
    Other elements known to promote transmissibility and virulence are also missing, the researchers said, suggesting that previously unknown molecular factors are allowing the virus to spread in humans.
    The tested isolates are very similar to each other in how they react to antibodies -- with less variation in the hemagglutinin gene that would be seen in a seasonal circulating strain -- and also similar to other swine viruses seen in recent years.
    That implies, Dr. Cox said, that the viruses crossed into humans in either a single event or multiple events with very similar viruses. But where and when that took place remains a mystery, the researchers said.
    The novel strain was first identified late in April, in two unrelated pediatric cases in San Diego, as an un-subtyped H1N1 virus.
    Within days, experts were aware that a rash of influenza-like illness in Mexico was being caused by the novel virus, which has since caused more than 11,000 confirmed cases in 42 countries, according to the World Health Organization.
    There have been 86 deaths from the illness, according to the WHO.
    Primary source: Science
    Source reference:
    Garten RJ, et al "Antigenic and genetic characteristics of a novel A(H1N1) influenza virus circulating in humans" Science 2009; DOI: 10.1126/science.1176225
    “Des analyses poussées ont déterminé que le virus en question n’existe pas à l’état naturel, il a été fabriqué !!! Par qui et pourquoi ? (... ) Cette dernière assertion n’est pas l’œuvre de sombres complotistes, c’est une réalité vérifiable »
    Des analyses poussées ??? Quelles analyses ? Vérifiable ? Quelles sont vos sources (en avez-vous ou vous contentez-vous de faire la courroie de transmission de créations d’insignifiants n’ayant rien de mieux à faire que d’inventer des canulars-à-gogos sur Internet ? Dans des boîtes de Cracker Jack ? La création de ce pseudo-complot émane de la télévision russe : c’est ça, vous « réalités vérifiables » ? N’importe qui, sans fondement, peut inventer n’importe quoi ! Internet est rempli de ces assertions créées de toutes pièces ! La dernière partie de cette phrase est également faussée : ça peut fort bien être l’œuvre des théoriciens du complot (les extra-terrestres, selon eux, seraient responsables de l’acné chez les ados… Des preuves ? euh… laissez-nous quelques jours, nous allons vous en inventer…).
    Le problème, c’est qu’à se contenter de lire ce qui nous conforte dans nos opinions, on en arrive à développer une pensée unique, tronquée, en croyant tout savoir alors que cette pensée s’apparente plus à de la démagogie intellectuelle qu’à une véritable recherche objective des différents aspects d’une situation afin de la comprendre et non de déblatérer des inexactitudes (synonyme : confondre préjugé et connaissance).

  • Archives de Vigile Répondre

    19 septembre 2009

    Et si on nous refaisait le coup des couvertures infectées à la variole? Qui sait?
    Curieusement, c'est dans des réserves indiennes et métisses que la grippe semble avoir été la plus virulente. Ou tout au moins la plus connue. Il s'agit peut-être d'un exercice pour en voir les résultats et ensuite en faire l'application sur le plan mondial. Qui peut faire confiance à ces individus sans foi ni loi.
    Quant à la situation des Indiens dans les réserves, il faudrait peut-être aussi interroger, non seulement le gouvernement canadien, mais aussi les Conseils de bande...
    Fabulation? Je ne suis pas certaine...
    Marie Mance Vallée

  • Archives de Vigile Répondre

    19 septembre 2009

    ....il a été fabriqué !!! Par qui et pourquoi ? ....
    Le brevet pour ce vaccin a été demandé et obtenu en 2007 aux USA !!! Cherchez l'erreur.
    Moi je ne me ferai pas vacciner, je ne l'ai jamais été, et si quelqu'un veut me forcer, j'irai en prison 30 jours comme il est écrit dans la Loi sur la santé publique du Qc.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 septembre 2009

    La situation des autochtones, plus encore dans le Canada Anglais est préoccupante. Il est fait état de réserves dans lesquelles les installations n'étant pas entretenues, des familles sont contraintes de quitter leur logement trop insalubre (humidité suintante sur les murs par exemple) et se voient obligés d'aller vivre sous le même toît que d'autres familles voisines. Dans certains lieux, l'eau courante n'existe même pas.
    Aussi dans la perspective de cette fameuse grippe ( mais pas seulement, les autochtones sont très touchés par la tuberculose aussi ) il me semble tout de même qu'il serait urgent si on voulait améliorer leur sort (taux d'alcoolisme record, obésité pareil etc....) de commencer par améliorer leurs conditions d'existence et notamment leur situation économique. N'oublions jamais que le chauffage central, l'eau courante potable, le tout à l'égoût, le ramassage des ordures ont toujours bien plus fait dans l'histoire des pandémies humaines que n'importe quel vaccin ou médicament.
    Sans doute que les médicaments coûtent moins chers que ces mesures sociales pourtant élémentaires, et je gage que les qsacs mortuaires sont encore moins chers que les médicaments .... On me taxera de cynisme sans doute mais pourtant les faits semblent prouver que c'est bien le cas.
    Tant que le Canada laissera ses populations autochtones vivre dans une telle misère je ne vois pas bien par quel miracle la cause indépendantiste Québécoise pourra être défendue.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 septembre 2009

    A mon avis cette affaire de sacs mortuaires pour amérindiens ressemble étrangement à un comportement raciste.
    « L'hypocrisie se cache parfois sous la franchise du regard. »

    Adolphe Brassard
    Romancier québécois
    Extrait de Racisme meurtrier